Une ville, une vraie ville… C'est la première chose que j'ai pensé en arrivant ici. C'est la première fois que j'en vois une, et je trouve cela magnifique.
En entrant, quelque garde me regardèrent de travers a cause de Dragibus , je lui conseillait alors de rester au dessus de la ville, je l'appellerait pour qu'il me rejoigne plus tard. Je déambule maintenant dans les rue, l'air béat. Aïdolerion m'a expliqué, ce lieu est une sorte de refuge pour ceux qui comme moi, souhaitent rester ici et vivre en paix, les Exalté. Un lieu où je pourrais sûrement aider.
En me baladant, je vis des choses que je n'avais jamais vus, certaines magique, mais d'autres électroniques, mais la technologie est bien plus avancé que ce que je connais.
Je vis même dans un coins une sorte de boule blanche munie d'un spot jaune éclairant très faiblement, et qui laissait s'échapper quelque bruit a moitier couvert par des grésillement.

- Sp...a…ceee

Curieux, je demande au marchand quel est cet objet, il me répond qu'il en a aucune idée, il en possédait une autre, avec une lumière bleu mais il s'en est débarrassé. Je lui demande ensuite de me garder celle ci de côté, je la lui achèterais pour l’étudier plus tard. Ce qu'il accepta, de toute façon personne d'autres ne veux l'acheter.
Un sourire accroché aux lèvres, je m'apprêtais a reprendre ma balade à la recherche de quoi travailler, mais je ne savais où aller, le marchant me conseillât l'auberge a quelque rue de la, les gens y passent souvent des annonces.
Ce sera donc ma prochaine destination. Je remerciait poliment le marchand, puis je repris ma balade, je comptais ben explorer cette ville avant de m'y installer.
Je partait donc vers les immeuble abandonné, ce qui fut sûrement le meilleurs aperçus de ce a quoi pouvais ressembler mon monde avant la grande guerre sur toute sa surface.
J'y trouvais de quoi refabriquer mes bombes et de quoi recharger mes Drakes. Et de une bonne nouvelle. Mon escapade me menât alors vers la grande tour qui surplombait toute la ville, malheureusement, le soleil était en train de ce coucher, j’y ferais un tours demain me dis-je, direction la taverne.
En y entrant, le monde présent me frappa encore plus qu'à l’extérieur, la ville étant déjà pleine de vie, on aurais dit que je venais de trouver son poumon.
Péniblement je fis quelque difficile pas pour atteindre le comptoir tant la foule était compacte.

- Tien un nouveau !

Une voix féminine était parvenue à surpasser le bruit ambiant, Pourvus que ce ne sois pas moi pensais-je…
Un bras puissant m'agrippât alors l’épaule pour me retourner, c'était un homme de large carrure, visiblement bien alcoolisé.

- Hey! Oui les gars! Alors gringalet, que viens tu faire ici?

Je n’étais qu’à quelque centimètre mais il hurlais de toute ses force

- Euu… Je cherche du travail

Dis-je timidement, quand un poing s’ecrasat à quelque centimatter derrière moi sur le comptoir, avec la même voix féminine qui ce mit à retentir.

- Marcus laisse le. Viens par ici toi , avec le sac.

L’homme le lachat dans un grognement, je me dirigeait alors vers le comptoir sans demander mon reste et je vis une femme, brune, peu être la trentaine, plutôt bien formée. Je me demandait comment une femme si frêle pouvais tenir tête à un homme de sa carrure mais je n'en fis rien.

- Merci beaucoup

- C’est rien mon ptit. Faut bien que je tienne mes clients. Alors, tu cherche quoi comme travail ?

- Ben, je sais pas trop, je cherche de quoi me nourrir, je suis très bon mécaniciens et je roule ma bille en informatique.

Elle pris quelque temps pour réfléchir, regardat dans ses fiches et repris la parole

- Nop désolé j'ai pas ce genre de travail, ou alors faudrait que tu ai fait tes preuves, donc ils te refuseront

Dépité, je m'apprêtais à partir en la remerciant quand elle m'arrêtât.

-  Attends je te propose quelque chose. Dehors cette ville ne fera qu'une bouchée de toi la nuit tu n'est pas prêt, crois moi. Moi je t'embauche, tu t'imagines bien qu'avec des finaud comme eux, les objet brise j'en manque pas.

Elle sortit une clope, la mit dans sa bouche et cherchat vraisemblablement un briquets. Je sortis le miens de mon sac


- Tenez, mais vous devriez arrêter

Elle me regardat perplexe, et attrapat l'objet. Elle l'examinat, et cherchat à s'en servir. Je lui fit tirer la queue du petit dragon et une flammèche s'échappat de sa gueule. Elle allumat donc sa cigarette, amusé de mon petit gadget.

- Merci, je disais donc, bosse ici je n'ai pas le temps ni l'argent de racheter tout ce qu'ils brisent. J'imagine que je dois te fournir le gîte, pour le couvert tant que c'est toi qui te le prépare je ne demande rien.

Je pris quelque seconde pour réfléchir, mais le réponse était déjà trouvée, je n'avais pas le choix.

- D'accord, vraiment merci beaucoup.

- Hum tu ne discute pas le salaire ?

- Pourquoi faire ? Si je refuse je n'ai nulle part ou aller, donc fixez le vous même, je vous fais confiance, je n'ai pas le choix.

Elle pris une mine étonné mais hochât la tête. Avant de me rendre mon briquet

- Bien, tien va voir ta chambre, et redescend, j'ai déjà du travail pour toi

Un sourire sur les lèvres, je pris la clef qu'elle me tendait, chambre 42 , je la remerciait encore et courut dans les étages. Et bien !  Tout s'est plutôt bien passé.
Je posais rapidement mon sac et sortis quelques outils.
Avant de redescendre, je mettais un oeil global à ma chambre, elle était plutôt petite, mais elle avait un lit et un peu de place, avec un bureau et une petite table avec deux chaises. Largement suffisant.
Je courrais alors vers le bas, et vis en arrivant, que effectivement j’aurais du travail, une bagarre avait éclatée et les tables volaient dans tout les sens .
La femme légèrement dépitée, me vis et me fis signe de venir.

- Tu vois, je te l’avais dis j’ai du travail pour toi, mais attend que ça ce finisse tout de même

- Je vois oui. Puis-je savoir votre nom tout de même ?

- Erika, et toi?

- Et bien… disons Dragauneau

Elle me regardat bizarrement mais vis bien que je voulais pas parler plus de ça.

- Et bien, bienvenus chez les exaltés Dragauneau

- Merci, j'ai une question, les animaux ça dérange ici ?

- Euuu non pourquoi ?

Je demandais alors mentalement à Dragibus d'entrer par la fenêtre de la chambre qui était ouverte

- Vous verrez,  je vous le montrerais

Mes lèvres ce fendirent alors d'un sourire. Enfin, j'ai trouvé une place.