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 Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.

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Wolodymyr Chevchenko

Wolodymyr Chevchenko
Messages : 2
Date d'inscription : 27/08/2016

Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. Empty
MessageSujet: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. EmptyMer 5 Oct - 20:10





Présentation de Chevchenko Wolodymyr






Fiche d'identité


AvaPres
Pseudo : Wolodymyr Chevchenko.
Provenance : Inventé.
Sexe : Masculin.
Âge :  19 ans.
Capacités :  Wolodymyr est un guérisseur, autrement dit il peut soigner les gens et même lui-même de maladies, de blessures ainsi que soulager les douleurs. Plus efficace qu'un Doliprane classique vous allez me dire. Mais malheureusement il y a des contre-coups comme par exemple une vue qui commence à se détériorer.



Mental



« Un jour je serais le meilleur de tous les danseurs ! »

Des rêves, il en a tant. Combien de personnes lui ont fait croire à milles promesses comme celle de se voir un jour heureux ? Il n’est pas triste, loin de là, mais il n’est pas pour autant heureux. Quelque chose lui manque, quelque chose ne va pas. Il se complexe, énormément. C’est ce qui le bloque. Il a à vrai dire plusieurs frères et sœurs qui ne l’ont jamais aidé. Tous talentueux dans des domaines différents, ils ont eu la chance du soutien de leurs parents pour partir dans des études qui leur plaisait. Pas de chance pour notre jeune adolescent, il est nul dans toutes les matières qu’on peut lui proposer. Quoique polyglotte car il a dû apprendre plusieurs langues différentes en plus de l’ukrainien -et encore a-t-il du mal à s’exprimer- il n’a jamais été bon dans les matières sauf dans le sport pour la raison suivante ; il est un danseur étoile hors pair. En effet, il a commencé à suivre la voie de sa mère, une grande danseuse appréciée par le monde entier tout petit le rendant ainsi accroc à cette discipline. Il a beau avoir appris les autres types de danse mais c’est la classique qu’il préfère, la trouvant plus poétique. S’il pourrait avoir un avenir de danseur malheureusement il possède un don, celui de guérisseur qu’il a hérité de son père. Ce dernier le forçant ainsi à devenir médecin et lui criant dessus à la moindre mauvaise note en science et lui refusant un brillant avenir a rendu quelque peu mal à l’aise son propre rejeton. Wolodymyr ne sait pas vraiment quel avenir se choisir, s’efforçant chaque jour à devenir meilleur élève et enfant mais finissant toujours par tomber de haut en voyant qu’il n’y arrive, créant ainsi chez lui un énorme complexe d’infériorité et se comparant facilement aux autres. Il vit donc persuadé qu’il n’est qu’un cafard entouré de classieux papillons.

Mais il ne se laisse pas faire. Certes il peut se montrer extrêmement pessimiste mais il est toujours poussé par son familier Lubia pour aller de l’avant. Ainsi il fait toujours encore plus d’efforts, tant pis s’il tombe encore et se blesse encore plus. Même si cela l’attriste il sait que ce n’est qu’un mauvais cap qu’il doit franchir pour réussir à faire quelque chose. Après tout, ne s’est-il pas battu longtemps pour arriver finalement à devenir le président du club de danse ? Si en peaufinant ses techniques, en s’intéressant aux autres types de danse pour pouvoir aider les autres,…  Ses qualités, il ne les voit même pas et pourtant notre jeune ukrainien est quelqu’un que l’on souhaiterait avoir comme ami et le garder pour toujours de son côté. Il est aussi serviable qu’un chevalier blanc, aussi généreux que Robin des Bois sans compter les vols et aussi honnête qu’un enfant de trois ans. Il pourrait être apprécié par les autres si seulement il n’était pas aussi timide qu’une jeune collégienne devant son sempai. En effet, Wolodymyr a beaucoup de mal à aller vers les autres et leur parler. Il n’a jamais eu la chance d’avoir autrefois des amis si ce n’était que pour servir aux autres de bouche-trou et ne sait donc pas comment commencer une conversation.

La seule personne avec qui il a de réelles conversations et encore … c’est avec Hanabi et Lubia. Oh Hanabi… Hanabi… La femme de ses rêves, la renarde qui hante sa vie, la Kitsune qui préoccupe ses nuits…. Il l’aime, l’adule… Il lui a fait sa déclaration mais au final n’a jamais pu avoir sa réponse. S’est-il ridiculisé ? Peut-être, mais il aimerait tant le savoir. C’est grâce à elle qu’il a appris à devenir un homme, un vrai. Certes il n’ose pas trop se mêler aux conflits mais il arrive un peu plus à se défendre souhaitant également protéger sa dulcinée. Il a donc pris un peu de caractère mais pas trop non plus, il ne vaut pas pousser mémé dans les orties. Il a appris grâce au soutien de son lamachondinde la répartie. Quoiqu’il n’ose pas encore répondre trop à voix haute et sans craindre de s’en prendre une ou de mettre quelqu’un d’autre en danger. Pleutre ou non, ça dépend également de son humeur mais aussi des personnes qui sont à ses côtés.

Autre que ça, parlons à présent de ses goûts. Il serait plutôt intéressant d’en parler puisqu’il a plusieurs passions et pour commencer la danse. Certes il sait que cela peut être sujet de moqueries vu qu’il est surtout un danseur étoile mais ce n’est pas pour autant qu’il lâche l’affaire. Il fait tout pour perfectionner ses techniques d’autant plus qu’il trouve que cela peut être utile dans plusieurs cas par exemple marcher sur les pointes lors d’une mission d’infiltration. Certes jamais il en a fait mais peut-être aura-t-il l’occasion d’en faire à l’avenir, on ne sait pas ce que ce dernier peut vous réserver comme surprise. Sinon, il aime la musique et aussi lire. Ne lui parlez pas de romans à l’eau de rose je vous en prie, Twilight et 50 Nuances de Grey ne sont pas de réelles littératures. Non, il préfère surtout tout ce qui est histoire de cape et d’épées, des pièces de théâtres qu’il pourrait mettre en scène, etc… Et comme tous les jeunes gens de son âge, il appréciait parfois jouer aux jeux vidéos. Il affectionne également le fait d’apprendre de nouvelles choses même s’il a souvent du mal à y assimiler et aussi… se sentir utile.





Physique




« On m’insulte de grande perche ou de sardine. Mais ce que les gens oublient, c’est que l’un est utile tandis que le second est bon à l’intérieur. »
On ne fait que juger les gens par leur physique, par leur façon de conduire. C’est une bien mauvaise chose que voilà mais nul ne peut passer en travers le filet des critiques que tout le monde. Wolodymyr en est bien la preuve. Chaque jour il essuie les commentaires et les insultes de tout le monde. Il fait souvent mine de ne pas y faire attention mais chaque jour qui passe est comme un moment de torture pour lui. Il ne peut rien faire pour ce qu’il ressemble même s’il essaie de faire au plus d’efforts pour ne pas être sujet de moquerie. Il faut dire aussi que s’il a une tendance à être extrêmement discret (même s’il rêve en soit de se faire remarquer un tout petit peu car il en a marre d’être seul), notre jeune ukrainien est d’une taille qu’on ne peut ignorer. En effet, imaginez faire face à un adolescent de dix-huit ans qui mesure presque un mètre et quatre-vingt-seize centimètres, autant dire qu’il a du mal à passer les portes surtout lorsque celles-ci sont faites pour des personnes de petite carrure comme au Japon par exemple où il a passé ses études. Ce qui lui fait le plus peur dans cette histoire est qu’il est encore dans une période de croissance, autrement dit, il sera beaucoup plus grand dans les années à venir. S’il promet de dépasser facilement les deux mètres il prie pour ne pas être comme une énorme girafe. Notre garçon a un corps dont les proportions et la musculature sont correctes. Non il n’a pas des épaules aussi larges qu’une armoire à glace et des jambes qui pourraient l’aider à grimper aux escaliers en ne serait-ce qu’un seul pas mais il ne faut pas nier qu’il a des muscles. Athlétique ? On peut le dire ainsi puisque notre guérisseur n’est autre qu’un…. Danseur étoile ! Il n’a pas honte de ce qu’il fait, il adore danser. Si son paternel l’avait destiné à devenir un grand médecin grâce à ses pouvoirs de guérison il préfère largement suivre la voix de sa mère qui lui a fait connaître le goût de la danse. Si la danse classique est son dada il pratique tout de même d’autres types comme le popping, la danse de salon, etc… A vrai-dire, il a touché à toutes les sortes de pratiques et ne s’en plaint pas puisque cela lui a donné de bons réflexes (et avouez que lorsque quelqu’un vous esquive en effectuant un pas de danse ça reste surprenant), un sens du rythme dans le combat (une légende raconte qu’il se mettrait une musique en tête pour le tempo, même si en soit il déteste la violence) et surtout une bonne musculation.

Si vous avez la chance de regarder sa peau qui bronze très facilement vous pourrez remarquer qu’il n’a aucune cicatrice comme si jamais il ne s’était blessé ou fait frapper. Tout est complètement parfait, à croire qu’il est une machine qui a été fabriqué dernièrement. Ceci est facilement explicable : du fait qu’il est guérisseur ses pouvoirs lui permettent de se soigner lui-même. Autrement dit il n’a été, n’est et ne sera jamais malade, à moins qu’il ne perde soudainement ses talents de soigneur ce qui serait très moche pour lui. Allez choper votre premier rhume à cet âge-là, vous allez voir comment vous allez vous éclater. Malgré le fait que son corps est quelque peu parfait Wolodymyr a une tendance à le cacher. Il est dans sa nature d’être aussi pudique qu’une chaste demoiselle destinée au couvent comme le dirait si souvent son familier lamachondinde Lubia. Il préfère largement porter des chemises avec un polo par-dessus avec un pantalon noir assez ample pour ne pas mouler les formes de ses jambes qui font parties de l’un de ses multiples complexes ceci-dit, il peut changer facilement de tenue pour en adopter une autre lorsqu’on le lui demande tel qu’un uniforme ou lorsque la situation le lui demande. Aussi son familier n’hésite pas à jouer les Cristina Cordulas en lui présentant les habits dont elle souhaite qu’il porte rien que pour se moquer de lui, pour plaisanter ou tout simplement parce qu’elle se prend des délires étranges. Pour vous donner un exemple : une fois Wolodymyr a été à un bal d’hiver à son ancien internat puisqu’à sa grande surprise la chimère avait invité une jeune demoiselle à danser avec lui, tout habillé comme un prince (de Lu, il ne faut pas se mentir) à cause de la même créature qui lui avait volé ses autres vêtements.  

Arrivons ensuite enfin à son visage. Oui ! Enfin ! C’est quand même important de parler du faciès n’est-ce pas ? Surtout lorsque celui-ci est le plus gros complexe de l’ukrainien. Il a un visage plutôt long, ce qui lui déplait énormément. Il n’est pas beau et pas particulièrement mignon comparé à d’autres garçons de son âge. Il a un nez tout aussi long qu’on n’hésite pas à pincer pour le forcer à bien être attentif ou pour le taquiner. Ses cheveux noirs sont coupés courts pour qu’ils ne le dérangent pas sans ses chorégraphies et surtout pour une question d’hygiène puisque devant parfois suivre son père il a dû entrer une bonne centaine de fois dans des hôpitaux. Puis aussi Lubia n’arrêtait pas autrefois de lui tirer la crinière, il a dû la tondre pour éviter de nouveaux incidents dans ce genre. S’il y a bien une autre partie de son corps dont il aurait pu être fier c’est bien son regard. Certes il n’arrête pas de fixer les gens avec un air de chien battu mais ses yeux sont plutôt jolis. Ils changent de couleur en fonction du temps, virant du brun au gris en passant parfois par du vert. Malheureusement pour lui, plus le temps passe et plus les dons de guérisseurs de Wolodymyr deviennent meilleurs et comme nulle chose ne peut avoir d’impact, ses capacités de soigner le rendent de plus en plus myope. Si ce n’est pas moche.




Histoire



CHAPITRE I :

Ha l’Ukraine, quel magnifique pays dont la culture s’est mêlée de force à celle de la Russie, l’URSS laissant ainsi sa trace sur elle. L’hiver est rude là-bas, on a difficilement chaud lorsque les premières neiges tombent mais celles-ci faisaient le bonheur des enfants. Quatre petits marmots jouaient dans le jardin en chantant les musiques traditionnelles. Pour une fois qu’ils passaient les vacances chez leurs grands-parents près de Nikopol, ils n’allaient pas pleurer. Tous étaient habillés de couleur flashies histoire à ce qu’on puisse mieux les discerner sur ce matelas glacé. La première était en rouge, le second en jaune, le troisième en bleu et le dernier en vert.

« Allez Wolo ! Viens ! On va faire une baboussia de neige ! »

L’enfant regarda ses frères silencieusement, n’osant rien dire. Il s’emmitoufla dans son écharpe en se déplaçant jusqu’à eux. Il se demandait si encore une fois il allait servir juste de poteau à côté ou si tout simplement il aurait la chance de pouvoir lui aussi toucher la grand-mère en flocon de neige. Peut-être que s’il était chanceux il pourrait lui mettre le foulard rouge emprunté à leur baboussia, ce serait tellement bien. Il s’approcha d’eux en les regardant faire, chantant une comptine.

« Pourquoi il tire cette tête ?
-Laisse tomber. Il est toujours en train de faire de tirer cette tronche. Allez Taras, tu t’occupes de la tête, moi je m’occupe du corps. Wolodymyr tu vas avec la petite Vlada chercher du bois d’accord ? »

L’enfant de dix ans opina de la tête et partit à la recherche de quelques bâtons en accompagnant sa petite sœur. Encore une fois Yasia allait jouer sa cheffe mais d’un côté, n’était-elle pas l’aînée ? Lui n’était que le troisième, il n’avait pas son mot à dire, ou du moins c’était comme ça que ses ainés lui présentaient les choses. Il jeta des regards curieux en direction de Taras qui essayait de faire une énorme boule avec ses petites menottes avant d’arriver jusque vers les buissons. Vlada sautilla tout autour de lui :

« Oh oui ! Du bois ! Du bois ! Il faut prendre du bois !♫ Laisse-moi m’en occuper ! »

Son sourire caché par son vêtement, le jeune garçon ne dit rien, laissant sa cadette de deux ans de moins que lui se baisser. Alors qu’il la surveillait un croassement le fit sursauter. Il leva le visage et remarqua alors le corbeau qui semblait chercher à manger au loin. Le pauvre, il devait avoir faim. Wolodymyr chercha dans sa poche le paquet de biscuit qu’on lui avait donné avant de l’ouvrir et le lui jeter. L’oiseau se jeta dessus pour y dévorer et l’enfant sourit de plus belle, content d’avoir fait une bonne action.

« A L’AIDE AU SECOUR ! »

Il se retourna et ô que malheur ! Vlada était coincée sous les buissons : elle s’y était faufilée tandis qu’il avait le dos tourné. Il voulut courir vers elle mais ses aînés l’en empêcha, Taras le bousculant sur son passage.

« Tu étais censé le surveiller !
-…Je suis… désolé…
-Tu as intérêt ! Quand on va le dire à tato et mama. »

Wolodymyr regarda son grand-frère qui réussit à sortir sans problème Zlada de sa prison de branches avec les larmes aux yeux. Il avait envie de pleurer mais il savait qu’il devait se retenir. Après tout son tato lui répétait sans cesse qu’il devait se montrer aussi fort qu’un cosaque. Alors qu’il souhaitait retourner voir ses grands-parents il remarqua les plaies de la petite dont les joues promettaient d’être marquées par des traces de larmes. Il s’approcha d’elle.

« Zlada je…
-VAS-T’EN MECHANT ! »

Elle le repoussait violemment mais ce n’était pas pour autant qu’il allait la laisser avec de telles plaies. Il insista dans son approche malgré les râles de Yasia, se culpabilisant d’avoir laissé sa cadette sans surveillance.

« Dégage !
-Mais je… »

Il réussit à lui prendre le bras ou du moins à le lui toucher. Là il sentit son sang se glacer. Que se passait-il ? Il avait plus froid à présent et il tremblait comme une feuille. Taras regarda le bras censé être blessé de Zlada, surpris.

« Elle… elle ne saigne plus… déclara-t-il.
-Tu es sérieux ? demanda l’ainée.
-Je suis guérie ? » questionna Zlada.

Wolodymyr se laissa tomber à genoux, complètement fatigué alors que les autres le regardaient. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Soudainement, la petite dernière se mit à courir en direction de la maison en hurlant :

« Baboussia ! Didous ! Wolodymyr est un sorcier ! »




CHAPITRE II :

« Est-ce que je peux venir avec vous ?
-Non, toi tu restes là ! Chouchou va !
-D’accord. »

Wolodymyr regarda ses frères s’en aller voir avec Yunusa et Oksana (les deux jumeaux qui sont venus au monde après la petite Zlada) les poissons rouges que leurs parents avaient achetés. Malheureusement pour lui il n’était pas apprécié d’eux. Pourquoi est-ce que les pouvoirs chez les mages ne se transmettaient qu’à un seul enfant ? Et pourquoi pas deux ? Voilà qu’à présent il était destiné à devenir un médecin comme son père, un véritable guérisseur. Il était ainsi le centre d’attention contre son gré de son paternel attisant ainsi la jalousie de sa fratrie. Balançant ses jambes, le garçon de huit ans espérait que n’était qu’un simple mauvais cap dans sa vie comme le lui répétait sa baboussia. Certes à l’école il n’avait aucun ami à cause d’une mauvaise réputation que lui faisaient ses frères mais ça allait passer. Vraiment. Monsieur Chevchenko passa devant lui.

« Qu’est-ce que tu fais là Wolo ?
-J’attends.
-Tu attends quoi ?
-Je ne sais pas. »

L’homme soupire et lui frotta la tête.

« Tu devrais peut-être aller te chercher un jeu. Ne t’inquiète pas. Dans quelques heures je pourrais t’aider à contrôler un peu mieux ton don. »

Mitya lui adressa un clin d’œil avant de lui embrasser sur le front et de partir, mallette en main. L’enfant le regarda faire avec un grand sourire, tout content que bientôt il pourrait soigner des animaux. Ce qu’il ne savait pas était que ces derniers étaient blessés volontairement par son père dans le but de l’entraîner. Depuis qu’on a découvert son don de guérisseur, on l’entraînait tous les jours à contrôler son don pour qu’il ne soigne pas les gens rien qu’en les touchant : ce serait un gros risque vu la société actuelle qui refusait les mages comme son père et lui. Puis plus le temps passait et plus le petit arrivait à soigner de grosses plaies et même quelques petits maux de tête. Bien sûr il y avait toujours des retournements de situation en ressentant la douleur des « patients » mais il n’avait plus autant envie de s’évanouir ou encore de vomir. Il arrivait à supporter l’entraînement intensif de son paternel. Dommage que sa mère n’était pas là pour voir ça. D’ailleurs qu’est-ce qu’elle lui manquait. Cela faisait un an qu’il ne l’avait pas vu, faute de tournée mondiale.

Le téléphone sonna et le garçon accourut.

« Allô ?
-Wolo ? »

L’enfant sourit.

« Han ! Mama ! »





CHAPITRE III :

« Mama, pourquoi je suis le seul à venir avec toi ? »

Kseniya Chevchenko ne lui répondit rien, se contentant tout simplement de lui adresser un sourire. Lorsqu’elle a su par ses parents que son époux avait profité de son absence pour entraîner leur enfant à la magie elle avait aussitôt appelé la maison. Manque de pot, la vérité sort toujours de la bouche des enfants et le petit Wolodymyr avait aussitôt raconté ô combien il aimait soigner des animaux blessés. Il l’épuisait, le fatiguait. Quel monstre n’était que ce Mitya de faire ça à leur progéniture. Il n’était pas un père digne de confiance. En rentrant à la maison elle s’était disputée avec son mari et emmena avec elle le petit guérisseur. Ce dernier cherchait à comprendre en quoi soigner des gens était mal mais surtout pourquoi il n’y avait pas ses frères avec lui. Il craignait les représailles et qu’on soit encore jaloux de lui.

« Mama, qu’est-ce que tu vas faire ?
-Je vais m’entraîner avec mes collègues, répondit-elle. Nous devons faire Lac des Cygnes. Tu connais l’histoire ? »

L’enfant secoua la tête.

« C’est ce que je me disais. Je vais te montrer la danse et ce soir à l’hôtel je te raconterai l’histoire. Ça te va ?
-Tak !
-Mais pour ça, il va falloir être sage. »

Le petit guérisseur sourit avant de se faire embarquer dans un long corridor. Il pouvait entendre déjà de la musique classique qu’il avait déjà entendu autrefois. Il regarda ensuite sa mère qui, vêtue d’un tutu, était pareil à une princesse de conte de fée. Il comprenait pourquoi elle était connue mondialement pour ses prestations de danse classique. Enfin ils entrèrent dans une salle d’entraînement. Là ! L’enfer pour un enfant ! Pleins de femmes en tutu et des hommes en collant qui vinrent aussitôt le voir pour lui tirer ou lui embrasser les joues.

« Oh qu’il est mignon !
-Il a vraiment ton air !
-C’est ton fils ? Il est drôlement chou ! Je peux l’adopter ?
-Il est graaand pour son âge !»

Alors que sa mère riait avec ses collègues, les remerciant de tous les compliments faites sur sa progéniture, le pauvre Wolodymyr lui tentait de résister à toute l’affection qu’on lui donnait. Soudainement une femme tapa dans les mains et tous retournèrent à leur position en lui adressant un grand sourire. Kseniya lui caressa les cheveux :

« Va t’asseoir.
-Kse-Kse… Pourquoi y’a ton morveux avec nous ? »

La danseuse étoile se retourna.

« Ce « morveux » s’appelle Wolodymyr et il viendra avec moi, mademoiselle Bujak.
-Oh et pourquoi donc ?
-Mon mari n’est pas capable de le garder avec lui. Il restera donc avec nous. »

Wolodymyr déglutit et se cacha derrière sa mère en voyant l’interlocutrice de celle-ci, une femme aigrie dont toute la jeunesse s’était envolée depuis belle lurette. Il avait entendu parler d’elle comme étant une femme qui semblait être mauvaise mais qui en soi avait bon fond.

« Dobriy dièn, lâcha-t-il.
- Dobriy dièn mon garçon…. Répondit Bujak avant de regarder sa mère. Tu ne vas pas le garder tout le temps avec nous ? Il rentre quand chez lui ?
-Au bout d’un mois ou deux ? fit Kseniya en grimaçant.
-UN MOIS ? Mais tu vas faire comment pour l’école du petit ?
-T’inquiète, je gère. Allez, c’est quand qu’on s’entraîne ? Allez, go go go !

Wolodymyr se fit entraîné jusque vers les bancs. Il s’assied en regardant sa mère qui l’embrassa sur le front.

« Reste sagement ici. Je reviens. »

L’enfant ne répondit rien et la regarda s’éloigner. Les heures auraient pu être longue pour quelqu’un de son âge mais les scènes qui se déroulaient devant lui l’intéressèrent. Certes les échauffements l’avaient quelque peu déconcerté mais il avait adoré ensuite le reste : les danseurs qui faisaient des mouvements gracieux semblant presque glisser sur le sol ou même ne pas les toucher, des figures incroyables… tout avait émerveillé le guérisseur qui changea soudainement d’avis : il souhaitait lui aussi apprendre la danse classique et devenir un danseur étoile. Il se tu durant tout le spectacle, ne ratant pas une miette de ce tableau féérique et admirant tous les moindres faits et gestes. Il voulait devenir comme eux. A la fin, il applaudit tout content. Sa mère vint vers lui avec quelques-unes de de ses collègues.

« Alors ça t’a plu ? demanda Kseniya en souriant.
-J’ai adoré ! répondit-il. Mama. Est-ce que moi aussi… enfin… Je peux te demander quelque chose ?
-Quoi donc ?
-Je peux devenir danseur étoile comme toi ? »


CHAPITRE IV :

« Z dnem narodjennia! »

Le jeune garçon de douze ans souffla sur ses bougies, tout content. Il avait remarqué qu’il était plus grand que ses frères et sœurs, sa croissance lui promettant plus d’art d’être une véritable perche. Ces dernières années avaient été les plus merveilleuses pour lui : en effet sa mère l’avait pris avec elle pour lui enseigner la danse classique mais pas aussi intensivement que son père pour les cours de magie. Il avait pu voyager dans beaucoup de pays et même s’il n’avait pas participé aux spectacles il avait pu avoir l’honneur de voir sa mama être acclamée par le monde entier. Bien sûr il n’avait pas faire exception à l’apprentissage scolaire ; on lui payait des instituteurs capables de voyager avec la troupe pour lui apprendre l’Histoire, la littérature, les math… bref… tout ce qu’un primaire devait apprendre. Chaque semaine il envoyait une lettre à ses frères craignant quand même qu’ils le jalousaient. Inconsciemment il savait qu’il leur manquait tout comme eux lui manquaient énormément. Il pouvait les voir au moins deux fois par an donc à Noël et pour son anniversaire. Pour celui des autres, il avait parfois la chance d’y aller et s’il n’y pouvait pas se contentait d’un simple coli.

« Alors Wolo ? Tu as fait un vœu ? »

L’enfant fit un « oui » de la tête avant de voir la tête attendrie de sa mère, celui un peu inquiet de son père et le sourire joyeux de sa fratrie. Ça lui faisait grand bien de pouvoir être avec eux en même temps, juste dommage que ses grands-parents n’avaient pas pu venir cause de fatigue.

« Allez, allez ! Dis-moi c’est quoi ton vœu ?  insista Vlada.
-Dis-nous ce que c’est ! » supplia presque Yunusa.

L’ukrainien regarda son père avec un gros doute. Il savait que si celui-ci n’aimait pas son vœu il s’en prendrait plein la face. En effet ce dernier voulait qu’il devienne médecin mais maintenant qu’il avait goûté à la discipline de la danse c’était autre chose. De plus, il n’était pas au courant que son rejeton avait appris la danse classique ; c’était un secret entre celui-ci et sa génitrice. L’enfant hésita un instant mais il ne pouvait pas cacher la chose plus longtemps. On lui avait demandé quel était son souhait et il n’était pas capable de laisser la question sans réponse. Il déglutit et répondit en baissant les yeux :

« Je veux devenir danseur étoile comme maman. »

Il eut un moment de silence. Seuls ses cadets semblaient ravis de ce qu’il souhaitait tandis que ses aînés se fichaient de lui.

« Mais c’est un métier de femme ça ! se moqua Taras.
-En effet, et papa dit bien que les hommes qui dansent sont destinés à manquer de virilité, renchérit Yasia qui répétait généralement ce que lui apprenait son paternel.
-Mais… mais j’aime danser moi… murmura l’enfant, mal à l’aise.

Mitya regarda sa femme qui se mordit les lèvres inférieures en le fixant. Elle savait quelle dispute les attendait. Il laissa échapper un soupire :

« Wolodymyr, tu n’as jamais dansé au moins ?
-A vrai-dire… si… »

L’enfant baissa les yeux, sentant déjà qu’il allait pleurer. Pourquoi avait-il avoué son vœu ? Il savait pourtant quels conflits allaient naître entre ses parents mais aussi il ne voyait pas la raison pour laquelle il garderait longtemps le secret d’aimer la danse puisque plus tard il serait obligé de l’annoncer. Aussi fallait-il habituer son père à l’idée de voir sa progéniture partir un jour dans une école de danse.

« Kseniya, faut qu’on parle… » annonça monsieur Chevchenko d’un ton sec.


CHAPITRE V :

« Bien voilà, je vais devoir y aller, hein ? »

Il remit son chapeau correctement en regardant les membres de sa famille. Personne ne lui adressait vraiment la parole, préférant retenir quelques larmes ou plutôt lui tirant la tronche. Son tato lui jetait un regard dur, fier d’avoir envoyé sa progéniture loin, de se débarrasser de lui. Par sa faute, ses parents avaient divorcé. Son père n’avait pas accepté que son fils se projette un avenir de danseur alors qu’il avait hérité de son don. Quant à sa mère, elle avait balancé tous les arguments pour qu’il puisse faire ce qu’il en voulait de sa vie. Une semaine suivant le douzième anniversaire du jeune ukrainien, le couple avait été voir un avocat pour annuler l’union qu’était le mariage. A présent il vivait dans la culpabilité d’avoir fait divorcer ses parents. A présent, il devait s’en aller pour le Japon : une école de magie l’attendait. Certes à Kiev il y en avait une mais Mitya avait préféré savoir qu’il s’en aille loin de sa famille pour ne pas rester accroché à Kseniya. N’ayant que quinze ans, il aurait aimé pourtant rester auprès de ses frères et sœurs mais malheureusement il n’avait pas le choix. Soi-disant on irait le rejoindre plus tard au pays du soleil levant mais il ne le croyait pas trop malgré sa candeur.

« Dopobatchennia… »

Il les embrassa une dernière fois avant de prendre ses valises et partir en compagnie des autres voyageurs. Il ne se retourna pas, même s’il l’aurait rêvé il était conscient que personne n’irait le rattraper et demander à son paternel de revoir son jugement, les plus âgés le méprisant et les plus jeunes embobinés dans cette histoire de conflit familiale. Il présenta son billet d’avion, attendit ensuite dans la salle d’attente pour pouvoir embarquer. Son cœur faisait des bons et ses glandes lacrymales faisaient leur travail malgré lui. Les gens le regardaient mais aucun n’osait le voir pour essayer de le réconforter. Au bout d’un moment une voix féminine invita les voyageurs à monter dans l’avion et il s’exécuta. Installé entre une fenêtre et une vieille dame qui semblait ne pas avoir dormi depuis des lustres, Wolodymyr regardait le dernier paysage que lui offrait l’Ukraine avant son départ autrement dit un aéroport. Enfin l’avion décolla. Il espérait que celui-ci se crash, qu’il ne reste plus de lui qu’un corps inerte et abîmé. Il ne savait même pas ce qu’allait lui offrir la vie, peut-être un enfer. Il laissa échapper un long soupire et ouvrit un livre qui allait lui servir pour plus tard, un ouvrage que lui avaient offert ses aînés « Parler Japonais pour les nuls ».



CHAPITRE VI :

Tous les élèves de première année marchaient tranquillement entre les pentacles. Chacun devait invoquer son familier, une créature qui serait alors le compagnon de chaque mage. C’était un rituel obligatoire au lycée de Tadakai et comme toujours Wolodymyr s’y était mentalement préparé. Il se demandait ce qu’il allait avoir, pas un dragon pour sûr, avec sa chance il aurait plutôt un poisson rouge. Il regarda ses camarades : tous jouaient déjà avec un animal fantastique ou bien complètement banal, heureux de leur nouvel ami. Un ami… Ce serait bien s’il en avait un, n’est-ce pas ? A vrai-dire, cela faisait deux mois qu’il était au Japon et personne ne lui adressait l’ombre d’un regard. Il n’était qu’un étranger qui avait du mal à parler le japonais, une sorte de discrimination. Un jeune hybride -un homme qui avait des oreilles d’ours, le type bizarre quoi- avait tenté de communiquer avec lui mais en vain. Le jeune homme devait donc subir la malédiction d’être seul dans son nouvel établissement.

Il posa la main sur le pentacle et se concentra : une lumière bleue jaillissait alors des écritures sur le sol. Il se rappelait des mots qu’on lui avait fait apprendre par cœur, fort heureusement des mots simples et faciles à prononcer. Il ne devait faire aucune erreur, il n’avait pas envie d’être la risée de tout le monde. Après tout, s’il était difficile de se faire remarquer il était d’autant plus simple d’être sujet de moqueries. Le professeur regardait ce qu’il faisait, il veillait à ce qu’il n’y ait aucun problème : un seul mot de travers et il partirait ailleurs pour un monde qui sait peut-être meilleur. Soudainement la lumière vira de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et le jeune soigneur se mit aussitôt à paniquer.

« Qu’est-ce que j’ai fait ? » demanda-t-il, inquiet.

Il devait sans doute avoir fait une erreur d’incantation et pourtant il avait récité plusieurs fois dans sa chambre la phrase à dire afin de ne faire aucune faute. L’adulte arriva en fronçant les sourcils et le jeune adolescent se mit à paniquer de plus belle surtout lorsqu’une patte griffue lui agrippa la main.

« N’aie pas peur…. » disait une voix féminine et à sa grande surprise en ukrainien.

L’ukrainien déglutit, craignant d’avoir invoqué un démon. Soudainement une chose sortit de la lumière, une créature quelque peu surprenante. En effet, elle semblait être le mélange d’un cobaye sheltie et d’un lama. Elle avait le pelage aussi long que soyeux, des griffes aux pattes avant, des sabots aux pattes arrières. Elle était quelque peu surprenante et ses yeux d’un beau violet le fixaient.

« Je…. Je… Enfin….
- Dobriy dièn mec ! T’arrête de faire cette tête on dirait que tu as peur ! »

A vrai-dire, il avait peur. Elle fixait noir les autres élèves, comme si elle était prête à les bouffer.

« Wesh, mais qu’est-ce qu’ils ont tous à nous fixer comme ça ? Ils veulent que les envoient bouler c’est ça ? Qu’ils viennent, je vais leur coller une, ils ne vont rien comprendre ces imbéciles.
- Dobriy dièn…
-HA ENFIN TU REAGIS ! J’ai cru que j’allais mourir de vieillesse avant même que tu ne me salue. Bon gros bêta, tu me donne ton blaz’ ?
-Mon quoi ?
-Ton prénom ! Non mais c’est bon, j’ai été invoqué par le plus gros attardé du Japon. »

Wolodymyr adressa un regard au professeur qui ne comprenait pas leur conversation. Comment cela se faisait-il qu’il était le seul de sa promotion à avoir pu invoquer une chimère, aussi agressive soit-elle ? Il devait bien le prendre d’un côté, certes, mais avoir une chose qui l’insultait déjà à ses côtés pour le restant de ses jours l’inquiétait.

« Je… je m’appelle Wolodymyr Chevchenko.
-Who ! Wolodymyr ! Faut que je te donne un surnom, c’est trop long….
-Et toi… tu t’appelles comment ?
-T’es flic peut-être ? Ecoute, cette paille, elle m’appartenait, j’ai repris ce qui m’était dû. »

Le danseur étoile essayait de chercher du soutien dans le regard de ses camarades, mais personne ne le regardait, préférant discuter avec leur familier ou bien débattre sur telle chose. Le professeur semblait rassuré que rien de mal ne s’était passé avant de retourner voir quelques cas sociaux comme lui. La lamachondinde se cura la truffe avec l’une de ses griffes.

« En fait je n’ai pas de nom. Tu n’as qu’à m’en donner un. D’ailleurs je ne comprends pas pourquoi tes parents t’ont donné un nom à rallonge parce que t’as pas l’air d’une lumière….
- Diakouyou... »

Quel prénom pouvait-il lui donner. Il fallait un truc court, quelque chose qui sonne bien. Pas quelque chose de japonais, non, c’était ridicule. Après tout cette chimère parlait ukrainien. Il fallait un prénom venant de son pays…

« Que dirais-tu de « Lubia » ?  lui demanda-t-il avec un léger sourire.
-Ouai… Ça ne sera jamais pire que ton blaz’… Ça me va. »

Elle prit une position d’héroïne avant de s’écrier :

« Je suis maintenant Lubia… euh… C’est quoi ton nom de famille ?
-Chevchenko…
-Ha mais c’est quoi ce patronyme à rallonge ? Tes parents ne devaient vraiment pas t’aimer à la naissance ! »



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Cendres

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MessageSujet: Re: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. EmptyMer 26 Oct - 18:06

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Wolodymyr Chevchenko

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MessageSujet: Re: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. EmptyJeu 27 Oct - 1:11

Non monsieur ( ° 3°)
Pas encore, mais ne vous inquiétez pas! Smile
Elle sera normalement terminée dans les jours qui suivent. é_è
Vous me comprenez monsieur, ze suis tout nouveau ici et ze dois m'habituer au contexte, le relire, le rerelire et tout ( ° >°)
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Nevyo

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MessageSujet: Re: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. EmptyJeu 3 Nov - 3:36

Rebienvenu sur Horizon Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. 1940534857 ! J'espère que cette fois ils effaceront pas encore ta fiche!
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Cendres

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MessageSujet: Re: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. EmptyLun 5 Déc - 16:51

Alors mimi, cette pres ?
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MessageSujet: Re: Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.   Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais. Empty

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Si tu tombe, je te relèverai. Si tu te blesse, je te soignerais.

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