Au loin, l’entrée d’une ville apparut, la fameuse Platt. de loin, elle semble être tout ce que je déteste. Fumée, saletée, une ville comme les autres, détestable.
Je fis à peine quelque pas dans l’enceinte de ce monstre que je trouvais ce pourquoi j'étais ici. Un avis de recherche, apparement, un homme semble penser qu’il est en droit de faire ce que bon lui semble. Bien.
J’arrache nonchalamment l’affiche, et commence mes recherche.


Cela fais maintenant quelque jours que je traîne dans cette ville pourrie jusqu'à la moelle, a la recherche de ce criminel.
Impossible de trouver la moindre information fiable, tout le monde semble ignorer ou il ce trouve.
Si seulement je n'étais pas si affaiblie, je pourrais leurs extorquer les information, ou simplement le trouver par moi même mais la… Mon travail est devenus compliqué. Après être passé dans une auberge, ou soit disant, la propriétaire n'avait pas entendu parler de lui, je pris la direction de la caserne des garde, espérant qu’aujourd’hui, l’un de ses incompétent ai pus recueillir un témoignage, ou au moins quelque chose me permettant d’avancer.
Sur la route, je me rendis compte des effets que peuvent avoir un simple criminel sur toute une ville.
Les femmes désertent de plus les rues alors que quelque temps auparavant, elle remplissaient les trottoir, les hommes se regardent les un les autre méfiant, presque agressif s’il sont accompagné, les enfants sont au abonné absent, hormis ses pauvres petits abandonné que l’on retrouve partout ici, se cachant tant bien que mal.
On me jette même des regard, stupéfait que j’ose me promener seule, alors qu’un violeur est possiblement dans les parage. En fait si vraiment il me tombe dessus, au moins cela m’épargnera la tâche fastidieuse qu'est de le retrouver.
Alors que j’arrive devant la caserne, j'aperçois un jeune enfant, qui semble désespéré, et en pleine discussion avec quelqu’un qui semble d‘a peu pres mon age, un rapide scan de leurs aura m’indiqua que le jeune homme était bien plus puissant qu’il ne semblait l'être, peut être même plus que moi, et j’y perçut une sorte de vide, je ne saurais décrire cette chose, elle apparaît dans une aura après que l'être ai vécus une sorte de traumatisme.
Sans vraiment me poser plus de question sur le jeune homme, je m'inquiétait plutôt de l’enfant qui semblait vraiment désespéré.
En m'approchant de lui, je projetais ma voix, de façon a ce que je jeune homme m'entende aussi