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 Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?

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Ivan Braginsky
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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 23 Sep - 0:50

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie




Alors que je venais de me faire aspirer par cette espèce de portail, je me fis violemment expulser et fit quelque roulade avant de terminer ma course tète première au sol. Je pris quelques instants avant de me relever, car mes muscles me fessaient atrocement souffrir, puis observa les environs.

J'étais dans une rue assez passante et les gens continuaient leur chemin en m'observant comme si de rien n'était. Que se passait-il au juste? Débarquer de nulle part au beau milieu d'un chemin bondé n'était pourtant pas fréquent... Chez moi en tout cas... Je me sentais également tout drôle, comme si le processus qui désintégrait mon corps un peu plus tôt avait complètement cessé. Je ferma le poing et éclata de rire, faisant stopper quelque passant qui m'observait avec de grands yeux intrigués.


«Fufufu, je ne vais pas mourir en fin de compte... C'est une bien mauvaise nouvelle pour vous mes chers anciens amis et traîtres...»

Une aura violette et peu rassurante flotta soudainement autour de moi et je me sentis revivre malgré la force que j'avais perdue. Je ne savais toujours pas où je me trouvais, mais le portail m'avait sauvé la vie et je comptais bien me venger de ses ordures qui avaient voulu me réduire au silence. Je commençai à marcher lentement, observant les lieux avec attention afin de savoir dans quel pays je pouvais bien être. Il faisait chaud ici, mais il ne me passa même pas l'idée de retirer un quelque onques bout de vêtements, du coup on me lançait souvent des regards surpris ou amusés.

Après un long moment de marche, je m'éloignai du centre-ville pour me reposer un peu. Je me sentais faible suite à cette longue journée et finis par m'asseoir sur le coin d'une fontaine. J'avais passé un long moment à chercher où je pouvais bien être, sans succès, je n'avais aucun indice et soupira bruyamment.

Malgré ma survie, je ne sentais pas mes forces revenir, probablement dû à mon déplacement dans cette espèce de tourbillon, j'étais quelque peu inquiet, mais ne le montrais absolument pas, me contentant de sourire et regarder le ciel en silence.


«Je poserai des questions aux passants et... torturerai si nécessaire pour obtenir des réponses...Kolkolkol...»

(J'ai fait de mon mieux, mais quand je commence un rp, ma rep est toujours un peu plus courte. Les autres seront plus longues ^^)


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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 23 Sep - 18:43







Triste realitée
feat Un russe et une prussienne







Les bras croisés et la tête penchée de coté, Prussia fixer depuis une bonne dizaine de minutes une carte dont le dessins sembler grossièrement dessiné. Derrière elle, se trouvait un étalon brun, en sueur, sans doute parce que l'ancien pays l'avait utilisé au maximum. En tout cas, le cheval allait devoir se reposer un bon moment avant d'etre en mesure de transporter Maria loin d'ici.

Mais, il n'y avait pas qu'un cheval! Il y avait aussi un homme fort âgé avec de grossières lunettes qui parler à la demoiselle, lui montrant la carte tout en lui parlant. Sans doute lui expliquait-il le chemin jusqu'à la destination qu'elle avait demandé. Toutefois, vu la tete que faisait le Royaume déchu, elle ne devait pas comprendre grand-chose.

En voulant retourner à Celestii, l'endroit où elle avait atterri dans ce monde fort étrange, la jeune fille c'était...on va dire...tromper de chemin et a atterri chez les conquérants. La description qu'on lui avait donnée de ce camp ne disait rien de bon à la prussienne. Une nouvelle fois, une guerre allait éclater. Mais cette fois-ci, si cela devait arriver, Maria n'y participera pas. Pourquoi devrait-elle se battre, alors que sa nation n'est plus? Et aussi...elle avait vu à quelle posséder encore moins de force que la normale. Maria n'aimer pas ça, mais comme pour le moment ce monde était calme, elle ne s'inquiète plus. Voir même, les pensées qui allaient généralement vers son frère ne faisaient plus surface. Allait-elle l'oublier ?


- G-Grand père! J-J'ai vu..j'ai vu un monstre !

Une petite fillette, vêtu d'une robe rouge et les cheveux attachés accourut vers le monsieur qui tenter d'expliquer à Prussia le chemin jusqu'à Celestii. Le vieil homme s'excusa et se tourna vers la gamine. La fillette semblé affolé, voire même apeurée, comme si elle avait vu quelque chose de terrifiant. La petite parlait d'un homme plutôt grand, entourée d'une aura étrange et qu'à sa simple vue, elle en avait eu des frissons.

- Oh non...je n'y crois pas...

Lacha Maria au fur et à mesure de la description. Non...c'était impossible, le Soviétique ne pouvait pas être ici! Ça ne devait être qu'une personne qui ressembler beaucoup au russe...pas Russie lui-même! En tout cas, c'était ce que la demoiselle espérée. Trop de mauvais souvenir lui revenait en mémoire.

Posant un genou à terre et mettant ses deux mains sur les frêles épaules de la gamine, Maria lui offrit un sourire éblouissant, dégagent une grande confiance en elle.

- Hey, tu pourrais me montrer dans quelle direction est parti le monstre?

L'enfant hocha la tete et commença à marcher, suivit de Prussia qui avait posé une main tremblante sur son fleuret. Arme inutile. Elle prier Dieu silencieusement que le monstre ne soit pas la personne de ces cauchemars.

La petite fille s'arrêta et lui montra une ruelle et refusa d'aller plus loin. Prussia lui ébouriffa les cheveux avant de s'aventurer dans la ruelle...et d'éternuer sans le vouloir. Alors à ce moment précis une sorte de nuage de fumée engloba la Prussienne durant quelques secondes... Pour disparaître et laisser place à une silhouette masculine que certains connaissaient sous le nom de “ Gilbert”.

Et comme Maria et Gilbert sont une seule et même personne...eh bien... On peut dire que le prussien continua à marcher, jusqu'à voir une silhouette immobile. Grommelant une insulte en allemand, Gilbert haussa la voix.

- Entschuldigung,Russland...Mais le génialissime moi te conseil de quitter cet endroit. Tu effrayes les enfants même ici....

Il ne devait surtout pas tremblez, ni montrer sa peur. Gilbert est un soldat, et même si son adversaire s'appelle Russie, il devra rester fort vaillant...et classe.


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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyJeu 24 Sep - 2:15

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie




Demander mon chemin à cette fillette n'était peut-être pas la meilleure idée du monde en fin de compte. Je l'avais approché, m'était agenouillé afin d'être à sa hauteur et ne pas l'effrayer, mais en quelques minutes à peine, elle m'avait tourné le dos et hurler à tue-tête :

«Au secours!!! Un MONSTRE!!!»

Elle avait ensuite fui à une vitesse pas possible. Je ne comprenais plus rien, j'avais pourtant été gentil avec elle, je n'avais pourtant rien dit de fâcheux lorsque je l'avais menacé de l'étriper, puis d'exposer son corps sur la place publique si elle ne répondait pas à mes questions.  Dans tous les cas, elle avait fui et je n'avais juste plus du tout envie de courir après quelqu'un pour des réponses... Du moins pas maintenant.

Je me forçai à garder un sourire et m'adossai contre un mur de la ruelle où je me trouvais. Alors que je fermais les yeux pour me reposer j'entendis des pas se rapprocher, puis stopper et enfin, une voix que je connaissais très bien m'adressa la parole.

«Entschuldigung, Russland...Mais le génialissime moi te conseil de quitter cet endroit. Tu effrayes les enfants même ici....»

J'ouvris aussitôt les yeux et tournai la tête vers la personne, me redressant du même coup et me posta à quelques mètres devant lui. Je n'en croyais pas mes yeux, c'était Prussia... Le Prussia qui avait disparu il y avait de cela si longtemps. Celui pour qui j'avais tué par colère de l'avoir perdu, ainsi que celui pour lequel j'avais pleuré en secret... Toutes ces années, je l'avais cru mort, et je me rappelle clairement avoir été celui à qui on avait jeté le blâme au début.

«Gil...bert...»

Un sourire radieux et empli de bonheur illumina soudain mon visage et je me jetai littéralement sur l'ancienne Nation, la serrant très fort contre moi. J'étais tellement content de voir un visage connu, et encore plus que ce soi lui.

«Gilbert! Prussia!! Je suis si content de te voir! Je te croyais mort...tout le monde te croyait mort!! Tu vas bien da? Tu t'alimentes correctement? Je te trouve un peu maigrelet.»

Je déballai toutes mes questions d'un coup, oubliant que j'étais dans un autre monde, trop occupé par l'homme en face de moi. Je passa mes mains sur son coup, ses épaules, ses bras, ses hanches en fronçant les sourcils. Il avait effectivement maigri et je me prenais à espérer qu'il soit en bonne santé. Je le lâchai quelque peu afin de le regarder tout sourire aux lèvres. Puis sans crier gare, une lueur de sadisme passa dans mon regard et une aura macabre m'entoura.

«Dis-moi Gilbert... Puisque tu es en vie...pourquoi ne pas m'avoir donné de nouvelles... Je te signale que quand tu as disparu tu m'appartenais...»

J'étais en colère maintenant, vraiment en colère, mais mon sourire était toujours présent. J'agrippa lentement ses avant-bras et serra fortement ma prise afin qu'il ne pense même pas à s'enfuir.

«Tu avait une bonne raison da?»

Une légère neige se mit à tomber sur la ville, rendant l'atmosphère vraiment étrange. C'était une ville chaude pourtant, comment la neige pouvait-elle pointer le bout de son nez...

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyJeu 24 Sep - 19:36







Rebellion
feat Un russe et une prussienne







Le voici, l’homme qui était la cause de tous ces problèmes. Lui, qui faisait partie des personnes qui avaient voté sa disparition. Oh bien sur, ce n’était pas la seule raison pour laquelle le Prussien haïssait autant l’homme à l’écharpe…il y en avait tellement...

Et aujourd’hui, voilà que son pire ennemi se trouvait là, sans armée, sans tank. Gilbert aurait pu  brandir bêtement le fleuret, mais il ne voulait pas voir le sourire trop enfantin du pays froid s’agrandir. Il en avait horreur.

Mais...ce qui se passa surpris beaucoup le Prussien qui eut le souffle coupé au moment où Russie le serra dans ces bras. Il avait l’impression d’entendre ses propres os grincer sous l’etreinte un peu trop chaleureuse du soviétique.

D’ailleurs, celui-ci commence à agir étrangement, lui posant pas mal de questions sur sa santé tout en le touchant un peu partout, comme pour s’en assurer. Gilbert grimaça et recula dès que le russe l’eut enfin lâcher. Le génialissime Prusse n’était pas en sucre ! Et il n’allait pas tranquillement lui expliquer que s'il était si maigre ...c’était qu’il n’avait plus pensé à manger. À part boire quelques bières une fois sur deux infectes, c’était tout.

Et l’ambiance changea radicalement, dévoilant ainsi le sombre coté que nombre de pays fuyer d'Ivan. Et pourtant, malgré qu’une petite voix lui disait de s’enfuir tant qu’il en était encore temps, Prusse resta planté là à regarder l’effrayant Russie avec un air de défi.

Prussia n’appartenait à personne.

- A vrai dire,depuis que je suis arrivé ici je t’ai complètement oublié. Je pensais que je resterais seul,je ne savais pas que tu allais venir me chercher ici …

C’était faux. Bien qu’il le dît avec son assurance habituelle, le prussien n’avait oublié personne, bien au contraire.

-Kesesese..une raison ? La liberté m'a appeler, je l’ai suivie.

Un flocon de neige atterri sur son nez et l’ancien royaume leva la tête pour regarder le ciel. De la neige ? Ici ? Maintenant ? Impossible…sauf si on avait une certaine personne imprévisible en face.

- C’est quoi ça ? Encore une de tes ruses de losers ?

Prussia ne pouvait pas reculer,puisque le russe le tenait un peu trop fort à son gout. Il ne put que soutenir son regard.



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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyVen 25 Sep - 1:57

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Je me sentis mal...triste et trahi en apprenant que la Prusse nous avait complètement oubliés, m'avais oublié. Rien ne le montrait sur mon visage, mais j'étais vraiment en colère, voire même dans une rage noire. Je resserrai ma prise sur lui alors que la tempête de neige autour de nous allait en s'intensifiant.

Puis, il osa dire que j'utilisais des tactiques de looser contre lui. Ce n'était pas ma faute s'il n'avait pas pu être une Nation assez grande et assez vieille pour obtenir des dons spécifiques à sa patrie. Je détestais qu'on me traite de looser, même si habituellement une telle réplique ne m'aurais fait ni chaud, ni froid, le fait que ça vienne de lui, à ce moment précis, me mit hors de moi.


«Prussia... J’ai une question très importante à te poser...»

Je le regardai droit dans les yeux, perdant mon sourire et étant plus sérieux que je ne l'avais jamais été dans toute ma vie. Je pris une grande inspiration pour me calmer un peu, sentant que je pouvais éclater d'un moment à l'autre.

«West...Tu te fiches de West? Je comprends pour moi, je comprends pour moi parce que tout le monde me déteste malgré mes efforts. Mais tu te fiches vraiment de ton petit frère?»

Malgré que je veuille rester calme, je finis par hausser la voix. J'étais vraiment en train de défendre l'amoureux d'Italie et le frère de ce stupide Prussien ignorant et insensible aux autres? Tss...je me dégoûte presque. La tempête était intense maintenant, le vent soufflait fort et les passants commençaient à paniquer, ce n'était certainement pas naturel pour eux de voir de la neige dans la région. Je me remis à sourire, mais la colère et le dégoût étaient visibles dans mes yeux.

« Ufufu, tu me fais pitié Prussia.»

Je le lâchai et me mis à tourner autour de lui. Pour une raison que j'ignorai, j'avais toujours eu un dans pour la torture psychologique et j'avais très envie d'en faire à cet instant. J'utilisa ma voix douce et enfantine pour lui parler en continuant de lui tourner autour comme un fantôme.

«Tu sais... Toi tu nous as peut-être oubliés, mais ton frère lui a pleuré toutes les larmes de son corps. Ils te croyaient mort, on te croyait toute mort, mais toi tu menais la belle vie ici et tu n'as donné de nouvelles à personne. Kolkolkol...»

Il se stoppa derrière la Prusse et posa ses mains sur ses épaules en lui murmurant de manière totalement effrayante.

«Et tu sais...Parce que tu es "mort" en étant sous mon contrôle...Tu l'es toujours.»

Il ne bougea pas, souriant victorieusement derrière le pauvre homme qu'il pouvait presque sentir trembler sous ses doigts. Il avait peut-être été trop loin, mais il s'en fichait éperdument. Gilbert l'avait mérité et rien au monde ne le ferait regretter ses paroles. (Ou pas...)


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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyVen 25 Sep - 19:57







Le force du desespoir
feat Un russe et une prussienne







Rien ne s’arranger entre les deux hommes et l’ambiance  devenait pesant voire même électrique. Mais Prussia tenait bon, malgré  l’emprise qu’il avait sur lui. Russia possédée une force surhumaine, comparé à la sienne. Il était beaucoup trop fort et c’était pour cette raison qu’aucun des Baltes ne pouvait pas dire ces quatre vérités au russe, puis s’enfuire. Ivan était terrifiant..

La tempête faisait rage, comme si la simple présence d'Ivan l’avait déclenché. Ce n’était pas du tout normal, si cela continuait il risquerait d’y avoir des victimes… La petite fille ! Elle l’attendait encore, c’est donc vrai ! Gilbert espéra du fond du cœur que la gamine ait prise l'initiative de se mettre à l’abri. Il ne laissera personne mourir à cause du coté sombre de Russie. Plus jamais.

D’ailleurs, en parlant de lui, il avait cessé de sourire. Tiens ? Qu’est-ce qui lui prenait maintenant ? Il allait lui annoncer une terrible nouvelle ? Austria a cessé de faire du piano ? France ne fait plus grève ?. Mais non, il lui parla de Ludwig..

Son cœur se serra en se rappelant d’Allemagne, l’empire qui avait vu le jour grâce à ça génialissime idée . Il se souviendrait toujours de cette bataille contre Austria afin de pouvoir « élever » son petit frère. Lors du vote pour la disparition du Prussien, Ludwig n’avait pas pu le sauver…il sembler le regretter. Ce fut Feliciano qui lui sauta littéralement dessus en pleurant , qui lui avoua que dorénavant… La Prusse n’était plus.

Étrangement, Gilbert avait certes perdu tous ses « pouvoirs », mais il avait pu rester vivant. Certains racontent que c’était grace à Allemagne, d'autres que la volonté de rester en vie empêcher Gilbert de disparaitre. C’était et ce sera un grand mystère.

Malheureusement… Un mur le sépara à jamais de son petit frère, créant un grand vide dans sa poitrine. Prusse était un solitaire, mais il aimait beaucoup son frère. Lorsqu’il fut obliger de vivre avec Russie et les Baltes, il avait cru qu’il allait devenir fou…

- West ? Pleurer ? Tu ment… C’est devenu un grand homme, et il est beaucoup trop sérieux pour devenir aussi émotif. Et si j’aurais pu envoyer de mes nouvelles à Lud', crois- moi, je l’aurais faits depuis un bon moment.  

Il n’aimait pas voir le grand russe tourner autour de lui, cela ne lui disait rien de bon, comme s’il prépare un mauvais coup qu’il avait fait depuis des lustres.

Effectivement, le coup fit mal. Très mal. Oh, Russie n’avait pas sorti d’arme tranchante, mais parfois les mots pouvaient devenir de longue lame tranchante qui restait alors plantée dans votre esprit.
Gilbert se dégagea brutalement, fit volte-face et dégaina le fleuret...chose qui ne devait pas etre très efficace pour le moment. Il ne voulait pas devenir un chien qui suivait Ivan, la tette baisser et la queue entre les jambes. Il en avait trop souffert dans le passé.

-Mon genialissime moi est  LIBRE ! Je ne veut plus etre dépendant de quelqu’un…Et surtout pas de TOI ! Si je suis parti de ta maison…Crois tu que je vais à nouveau devenir un de tes larbins ?

La haine et la colère du Prussien avaient pris le dessus et s’il trembler, ce n’était pas de peur. Il savait très bien que le russe s’en ficher complètement, il avait entendu comment Ivan avait eu le pauvre Lituanie. Cet homme n’était qu’un monstre..

Alors, une seule solution apparut dans son esprit . S’il ne voulait pas re-devenir dépendant de quelqu’un, il n’avait pas d’autre choix que de tenter le tout pour le tout. Dans le désespoir, beaucoup de personnes tenter des choses folles.

Gilbert se jeta sur Russia,tenta d’étrangler l’homme devant lui avec ces maigres forces.

Il avait perdu son pays,son frère et ces rares amis…Allait-il perdre sa liberté ?




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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptySam 26 Sep - 8:13

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Je savais que le provoquer allait créé chez lui une envie de meurtre extrême à mon égard, mais je n'avais tout simplement pas pu m'en empêcher. Ces crises de colère...son tempérament pas possible, le simple fait de me défier alors que personne ne le fessaient jamais...tout ça m'avait tellement manqué, sa simple présence m'avait manqué.

Il finit par se dégager de ma prise, vraiment très furax et ne bougea pas, je laissais la neige tomber sur la ville sans m'en soucier, appréciant que mes émotions du moment sois clairement visible à tous les habitants de cette endroit, mais surtout à l'homme en face de moi. Je le vis dégainer son arme et recommença à sourire, vraiment amusé par la tournure que prenaient les événements.

Puis sans crier gare il me sauta littéralement dessus, ses mains agrippant mon coup avec une telle violence que je tombai à la renverse. Lorsque mon dos toucha le sol je ressentis une légère douleur, mais rien de bien méchant, toutefois, le Prussien était au-dessus de moi à califourchon me tenant le coup, et à voir son expression, il n'était pas près de me lâcher.

Commençant à suffoquer j'agrippai violemment ses bras et retournai la situation à mon avantage, nous faisant tourner. Maintenant c'était lui qui était en dessous et malgré que ses mains soient toujours présentes sur mon coup je ne fis que raffermir ma poigne afin de lui faire mal et qu'il me lâche. Je voyais bien qu'il était enragé, et comme je suis une bonne personne j'allais gentiment le calmer. Je fis donc la première chose qui me passa par la tête et changea mes mains d'endroit, agrippant fermement le coup du Prussien sans aucune douceur et serrant.


«Tu vas me lâcher Da? Si tu le fait je le fais aussi.»

Quand je parlais, ma voix était légèrement étouffée, mais je ne cessais de raffermir ma poigne là où mes mains se trouvaient. Malgré la violence qu'il y avait entre nous mon sourire était toujours plaqué sur mon visage et mon aura sombre flottait autour de nous. Je n'y pouvais rien, ce qui se passait à cet instant me fessait un bien fou, enfin quelqu'un osait m'attaquer.

La neige continuait de tomber, mais la tempête diminuait peu à peu pour ne devenir qu'une brise. Les flocons tombaient maintenant de manière douce et régulière et une mince couche de neige était présente sur le sol et nos vêtements. Cet affrontement me calmait peu à peu..La météo en témoignait.


«Dis-moi Prussia... Ne t'es-tu pas un peu ennuyé de nos prises de tête et affrontement...moi j'y pense souvent avec nostalgie.»

Mon aura n'était plus présente, mais mes mains restaient bien placées sur la gorge du Prussien sous moi et je le regardais avec une telle tristesse dans le regard. Même si j'avais voulu le cacher, même mon sourire ne pouvait camoufler une telle lueur dans le fond de mes yeux.

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptySam 26 Sep - 18:40







Nostalgie?
feat Un russe et une prussienne







Etrangler Russie devait être l’une des choses que personnes au monde n’auraient pu faire, mais  qu'ils auraient aimer pouvoir faire. Qui n’a jamais voulu, à un moment de sa vie, laisser sa haine et sa colère prendre le dessus pour pouvoir affronter l’un de ces pires ennemis ? Normalement, Gilbert n’était pas vraiment comme ça, mais les mots du russe l’avaient énervé. Ce n’était pas de sa faute mais de la sienne.

Toutefois, Ivan décida de reprendre le dessus et ce fut le Soviétique qui fut au-dessus de lui. Chose qui était normalement très dangereuse. Si l’ennemi reprenait l’avantage, c’était fichu et l’affrontement se terminerait avec un mort…Peut-Être que Prussia penser un peu trop comme un soldat pour le moment…

Russie l’étrangla aussi,  faisant l’odieux chantage d’arrêter s’il faisait pareil. Comment pouvait-il le croire ? Qui ne lui disait pas qu’au lieu d’arrêter il allait continuer, jusqu'à voir la dernière etincelle de vie quitter Prussia ? De plus, ce sourire enfantin était toujours dessiné sur le visage d’Ivan… Impossible de deviner la moindre de ces attentions. Un jour, il effacera son sourire de son visage, pour toujours.

L’air commencé à lui manquer, et ça vue devenait flou, à ce rythme il n’allait pas tarder à sombrer dans l’inconscience. Alors, Gilbert laissa tomber ces bras, n’étranglant plus le Soviétique. Il n’avait plus la force de faire quoique se soit et il ne regardait même plus Ivan, mais plutôt le ciel. Est-ce que le vieux Fritz le voyait se faire aussi facilement maitriser par un russe ? Celui-ci avait raison… Il était pathétique.

- Le lac…quand j’étais un adorable et génial petit garçon…Je me rappel encore du jour ou à cause de tes ruses de loser ,la glaçe sous moi c’est effondré .

Même sa propre voix ne lui était plus familière. en même temps…quand on venait de se faire étrangler, on ne devait plus ressembler à grand-chose.

- Enfaite,je n’ai jamais compris pourquoi tu ma sauvé,Braginsky.

La tempête de neige s'était calmée tout doucement et le regard que lui lancer la nation froide le rembrunit tout de suite. C’était quoi ça ? De la pitié ? De la tristesse ? Gilbert n’en voulait pas.

- Ah et aussi…

Et sans avoir pu finir sa phrase, il éternua. Sans doute à cause de la neige, ou bien du froid qui c’était un peu installé. Une fumée blanche engloba le Prussien sous le russe...puis disparu pour laisser un corps féminin. Maria était de retour et elle continua comme si de rien était, la phrase que son homologue masculin n’avait pas pu finir.

- …Qu’est-ce que tu fiche ici ? Tu est vraiment venue pour me chercher ?




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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyDim 27 Sep - 6:04

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Je continuai de l'étrangler encore un moment, puis sentis ses forces diminuer et il me lâcha enfin. Pourtant, je n'avais pas envie de sourire cette fois, je l'observais calmement et il commença à parler du passé, d'événement très lointain qui me rendit malgré moi nostalgique. Je finis par le lâcher, posant mes mains de chaque côté de sa tête, mais restant à quatre pattes au-dessus de lui.

Soudain quelque chose de vraiment étrange se produisit. Alors qu'il me demandait si j'étais vraiment venue pour le chercher, il éternua et devint... Une femme? J'écartai les yeux de surprise et ne pus tout simplement pas répondre à sa question. Il venait de se passer quoi là? Pourquoi Gilbert était devenu tout maigrichon, avec des formes féminines? Et en plus... Elle était tellement jolie.

Je me sentis rougir violemment et mis l'une de mes mains devant ma bouche pour cacher ma gêne. Le plus troublant c'était qu’elle ne semblait même pas se rendre compte qu'elle n'était plus un homme, comme si elle croyait être une femme depuis le début. Gardant la main devant ma bouche pour cacher un tantinet ma gêne je lui parla.


«Eeeeh...Gilbert? Tu hum...tu es...une femme maintenant...»

J'avais complètement oublié la dernière question qu'elle m'avait posé et ne savait plus quoi faire. Il était très rare de me déstabiliser, mais ça...c'était vraiment intense. Je me relevai soudainement afin de ne plus ressentir cette gêne et...l'aidant à se remettre debout. Était-ce la gêne ou la surprise qui me faisait agir ainsi? Je n'en savais rien, mais je le fessais et c'était tout.

La neige autour de nous avait complètement cessé, et la seule preuve de ce drôle d'événement météorologique était la mince couche de neige encore présente au sol, et qui ne serait bientôt plus.

Je la regardais dans les yeux encore un peu déstabilisés... Ce changement de forme allait'-il faire changer la personnalité du Prussien? J'espérais au plus profond de moi que non, sinon je n'aurais plus personne d'assez fou pour me défier. Je me raclai la gorge et posai mes mains sur ses épaules en la fixant, puis sourit comme à mon habitude avant de pouffer de rire.


«Fufufu Prussia. Tu es vraiment une très belle jeune femme, je ne t'aurais jamais cru capable de vouloir devenir une dame, mais ça te va bien.»

Malgré mes efforts, je n'arrivais juste pas à m'arrêter de rire. Je n'étais plus du tout gêné de la situation, juste très amusé.

«Cette forme doit toute foi comporter des inconvénients Da?»

Et comme pour affirmer mes dires, je l'agrippai soudainement et la posai sur mon épaule en poche de patates et recommença à sourire.

«Eeeehhh! Comme tu es léger maintenant Gilbert! C'est vraiment très amusant! Tu devrais faire ce genre de tour de magie plus souvent Da!»

Je commençai donc à marcher, la traînant sans aucune gène et me fichant de ses plaintes. J'étais très content en ce moment et je sentais que mon séjour ici allait être bien plus agréable. Je me rappelai soudainement de la question du Prussien avant qu'il ne devienne cette magnifique créature.

«Oh! Et sache que je suis tombé ici par hasard alors que j'allais disparaître. Et non, je ne te cherchais pas, car te croyait décédé. Mais si j'avais su avant que tu était ici... Ufufu.»

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyDim 27 Sep - 12:14







Was?
feat Un russe et une prussienne







Au-dessus d’elle, le visage de l’effrayant Russie changea de teinte pour devenir aussi rouge qu’une tomate de Romano, et il plaqua une main sur sa bouche, pour cacher quelque chose. Il ne semblait pas à l’aise, comme s’il venait de soudainement voir quelque chose de très dérangeant. La Prussienne haussa un sourcil, ne comprenant pas vraiment la réaction du russe. Il allait bien  au moins ?

D’ailleurs, pourquoi le Soviétique l’appeler « Gilbert » ? Aux dernières nouvelles, Prussia avait l’apparence d’une jeune demoiselle...porter un nom masculin serait absolument débile. Mais elle devait avouer que si elle aurait été un homme, nul doute qu’elle se serait nommé Gilbert. Pour la raison que ce prénom était « classe », d'après elle.

- Hoy, j’ai toujours été une fille, je ne vois pas de quoi tu parles… Et cesse de m’appeler Gilbert ! Je ne suis pas un homme!

Puis, Ivan prit enfin la bonne décision de se lever et permis à la jeune Prussienne de se relever. De toute façon, elle avait trouvé que dans cette position, Russie avait trop l’avantage. .et qu’il était un peu trop proche à son gout.

Russia agissait de manière très étrange, posant à nouveau ses mains sur ces épaules pour la fixer droit dans les yeux. Regard que Prussia soutient, comme d'habitude. Il était vraiment étrange.

- Puisque je te dis que j’ai toujours été comme ça!

Et le voila qui rigoler à présent. Bon sang, qu’est-ce qui lui prenait là ? Il se moquait une nouvelle fois d’elle ?Les poings de Maria se fermer et elle dut faire un immense effort pour ne pas essayer de le frapper, une nouvelle fois.

Soudainement,le grand russe l’attrapa pour la jeter sur son épaule,comme lorsqu’on porter un vulgaire sac à patate. Comment ça,un inconvénient ? Son corps était parfait, elle était geniale !

Maria commença donc à se débattre et à taper de ces poings sur Ivan, mais celui-ci ne sembla pas s’en préoccuper grandement.

- LACHE MOI ! Et je ne m'appel pas Gilbert, je suis Maria ! Maria tu entends ! Alors imprime-le-toi dans ton cerveau de loser !

Elle ne faisait plus attention à ce que disait Russie, enfin si, elle écouter distraitement, trop occupé à essayer de se dégager. Elle avait l’air d’une gamine, comme ça, mais tant pis… Toutefois, elle crut comprendre que le grand et effrayant Ivan était voué à disparaitre lui aussi.

C’était impossible, sans doute encore un mensonge qu’il avait inventé juste pour pouvoir voir sa réaction. Elle arrêta de se débattre et se moqua de son kidnappeur.

- Le jour ou la Russie sera voué à disparaître, l’Italie surpassera l’Allemagne et le petit Sealand sera enfin reconnu en tant que pays..

Dit-elle sur un ton moqueur . C’était vraiment absurde,cette histoire.



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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyLun 28 Sep - 6:24

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Maria? C'était un très joli nom et cela lui allait à merveille, mais c'était vraiment très troublant de se rendre compte que La Prusse était une femme et ne semblait même pas savoir qu'elle était un homme quelques instants plus tôt. Décidant de ne pas vouloir chercher plus loin pour sa propre santé mentale, il considérerait maintenant Gilbert, comme étant Maria, jusqu'au prochain événement bizarre.

Continuant de marcher dans les rues enneigées, en la traînant avec moi, je l'écoutais me parler et ne pue pas répondre à sa dernière parole. Je savais que, peu importe ce que je disais, sur ce point elle ne m'écouterait pas...pas maintenant du moins. Je passai à côté de la petite fille de plus tôt, elle me regardait tétaniser. Je soupirai et passai mon chemin fessant fit de ses cris de terreur lorsqu'elle vit qui je tenais sur mon épaule.

Elle partit ensuite en courant et moi je continuai mon chemin, ne sachant pas vraiment ou aller. Seul mon instinct guidait mes pas et dieux seuls sait que j'ai marché un bon moment gardant la jeune femme avec moi. Je finis enfin par me fatiguer et décidai de me reposer déposant la Prusse à côté de moi sur un banc de la ville.

La neige était totalement fondue maintenant, tout ce qui restait de l'événement météorologique était les quelques flaques d'eau restante au sol et les toits humides. Je me mis à contempler le ciel, me demandant si la jeune femme allait me fossé compagnie où allais rester à mes côtés. Je fermai les yeux, profitant de la brise chaude.


«Dis-moi Prussia... Quand toi tu as su que tu allais disparaître. Est-ce que tu as eu ne serait-ce que l'envie de te laisser aller... Juste pour que ton âme puisse enfin trouver un peu de paix?»

J'avais rouvert les yeux et observais à nouveau le ciel nuageux, un air triste et nostalgique au visage. Aucun sourire en vue, je n'en avais pas envie, mes émotions étaient clairement visibles pour la première fois depuis très longtemps et cela me fessait un bien fou.

«Moi j'étais prêt, résolu à mourir et à disparaître de ce monde qui m'avait vue naître tant de siècles aux parts avant. Personne n'était triste pour moi, et sur le moment je n'étais même pas en colère. Je considère encore maintenant...que je le méritais.»

Je tournai la tête vers la Prussienne et lui sourit tendrement, un sourire tellement sincère que je ne savais pas comment elle allait y réagir. Probablement qu'elle allait se moquer, me trouver stupide et me laisser en plan là, mais je m'en fichais. Tout ce qui contait sur le moment c'est que j'étais moi-même, un petit garçon perdu. Ce monde était peut-être la chance de me racheter pour toutes les fautes que j'avais commises dans le passé.

Pourtant, je ne voyais qu'une chose... Mes mains tachées du sang de millier d'innocents et mon sourire carnassier réclament encore plus de tueries. Je pris ma tête entre mes mains et regardai le sol tentant de chasser cette image de mon esprit, mais rien n'y faisait. Peu importe ce que je ferai, que ce soit ici ou ailleurs, je resterai ce monstre que tout le monde déteste et craint plus que tout.


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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyLun 28 Sep - 10:36







Une perte commune
feat Un russe et une prussienne







Un long silence s'était installé et Prussia avait cessé de se débattre, acceptant à regret son nouveau statut. Elle avait perdu, peu importe la tentative, Ivan la maitriser avec une facilité déconcertante. C'était donc à ça que ressembler l'invincible Prussia? Heureusement que Ludwig ne la voyait pas, son ego et sa fierté en auraient pris un coup.

La fillette l'avait attendu sagement et lorsqu'elle vu l'homme designer comme un monstre portant la demoiselle sur son épaule, la petite s'enfuit . Maria avait fait un bref salut à la gamine, mais elle ne l'avait pas vu. Peut-être que des gardes finiront par arriver, alerter par les cris....

Maria se demanda où est-ce que le russe compter l'emmener, ou l'enfermer...peu importe, les deux étaient pareils. Le temps qui passa lui sembla une éternité ! Puis, Russia décida de faire une pause et la posa sur un banc. Elle avait une chance, elle pouvait encore s'enfuir loin de ce tyran soviétique! Et peut-être que même son cheval était encore là-bas!

Et pourtant...la jeune demoiselle ne bougea pas d'un poil, malgrès l'envie de partir. Pour la bonne raison qu'elle voulait écouter ce que la Russie disait. Après, elle s'enfuira, loin de cet ennemi trop puissant.

Mais...les paroles du grand homme la troublait. Elle ne voulait pas croire qu'un homme comme Ivan puisse disparaitre, c'était un fait impossible, qui ne pouvait se produire! Mais elle sentait que le russe disait la vérité, sans doute parce qu'elle était passé par là, elle aussi.

Lorsque le Soviétique se prit la tete entre ses mains, Maria n'avait plus du tout envie de fuir, bien au contraire. Elle regarde le russe sans savoir comment réagir, cherchant des mots qui ne venaient pas. Maria se moquer des autres normalement, elle ne les consoler pas...

Ivan avait la même posture que West avait eu, quelques heures après l'annonce de la disparition de sa soeur( ou frère), c'était sans doute pour cela qu'elle ne savait pas quoi dire.

Alors, elle fit la première chose qui lui passa par la tete. Prussia se tourna un peu, puis passa ces bras autour du corps du soviétique, lui faisant une sorte de “câlin”. Certes, ce n'était pas dans ces habitudes mais c'était la seule chose à laquelle elle avait pensé. Et son coeur batter un peu trop vite, sans doute à cause du stress car elle ne savait pas si Russie allait le prendre mal ou pas.

Elle finit par lâcher Ivan et se racla la gorge, fixant elle aussi le sol un petit moment avant de se forcer à sourire. Ainsi, le grand et puissant Russie, avait subi la même chose qu'elle? Enfin...il était plutôt entrain de broyer du noir, chose que Prussia avait aussi faite, au début.

- Donc le petit Sealand est vraiment recconu comme étant un pays,puisque tu n'est plus...?

Cela n'avait strictement rien à voir, elle tenter de changer un peu l'atmosphère à sa façon, chose qui n'allait sans doute pas fonctionner.


- Tu sais... On a tous commis des atrocités que l'on aimerait oublier, même moi. Tu n'es pas le seul à être un monstre...

La seule chose qu'elle n'arriver pas à comprendre, c'était que des pays avaient décidé de dissoudre la Russie. C'était l'un des plus grands et puissant des pays du monde !...Puis lui vint l'idée certaines personnes pouvaient en etre jaloux de cette puissance... Non, c'était absurde !

- Rhaaaa !Ich verstehe nicht! Et si tu m'expliquais un peu ce qui  c'est passé depuis que je suis partie? En échange je ne partirais pas.

Du moins...pas tout de suite. Elle termina sa phrase avec un immense sourire,sans etre moqueur cette fois.



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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMar 29 Sep - 7:09

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Alors que mon corps ne souhaitait que mourir et que mon esprit était en miettes, je sentis soudain une douce chaleur contre moi. C'était doux, tendre et surtout bienfaisant. Je retirai ma tête de mes mains et la tournai vers la Prussienne qui était en train de me serrer dans ses bras. J'écarquillai les yeux sous la surprise, mais appréciai le contacte, la laissant totalement faire me contentant de la regarder avec mon expression de tristesse. Toute foi, cette étreinte me fit sourire à nouveau et je me sentais déjà un peu mieux.

Quand elle me lâcha, j'en fus quelque peu déçu, car sa présence me rassura. Puis elle voulut me changer les idées en fessant tourner la conversation sur le petit sealand. Ce qui me fit avoir un sourire amusé malgré moi, mais je ne répondis pas. Ensuite elle me dit de ne pas culpabiliser sur le passé, que tout le monde avait du sang sur les mains...je doutais toutefois qu'il en soit autant que pour moi...

Puis vin la question que je savais qu'elle poserait. Je soupirai et me remis à regarder le ciel en prenant de grandes respirations. Elle devait savoir, après tout c'était également son monde. Je reportai mon attention sur elle et commençai à lui expliquer les grandes lignes. Si elle avait des questions plus spécifiques, j'y répondrais plus tard...mais pas maintenant.


«Après la Seconde Guerre mondiale, il y eut un long moment où il n'y avait plus vraiment de conflit, puis le terrorisme commença. Beaucoup de pays d'Europe finirent par être engloutis par les marées d'immigrants et une guerre éclatât entre les États-Unis et les pays Arabes. Au début, je ne me suis pas impliqué, je ne voulais pas avoir rapport avec ses idiots, mais les pays Arabes ont kidnappé certains de mes politiciens et ont tué des citoyens Russes. »

Je regardai calmement Prussia et continua mon récit.

«À cause de cela, je m'engageai dans le conflit et rasai littéralement les pays Arabes de la carte...Tuant femme, enfant...tout le monde. Je me suis ensuite emparé de leurs territoires. America n'a pas du tout apprécié et m'a déclaré la guerre. Voyant qu'il ne pouvait rien seul contre moi, il a demandé l'aide de tous les pays d'Europe. Ceux-ci l'ont tout de suite soutenue et j'ai été vaincu. Ils ont ensuite voté ma dissolution et je n'ai rien fait pour les en empêcher...Je considérai que je l'avais mérité, et encore maintenant, je le crois encore.»

Ayant terminé les grandes lignes je cessai de parler. Je n'avais pas envie d'aller plus en profondeur pour le moment, les cris des innocents tués dans la guerre recommençant à m'envahir et me hanter.

Soudain, je fus sorti de mes pensées sombres, par des bruits de pas se rapprochant de nous à grande vitesse. Puis, arrivant d'une ruelle, un groupe de voleurs fonça vers nous et nous encerclât. Sur le moment je ne compris pas ce qui se passait, mais le message fût très clair lorsque le groupe d'hommes dégaina leurs armes, des sourires amusés aux lèvres.


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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMar 29 Sep - 9:23







Mécréants
feat Un russe et une prussienne







Finalement, Ivan commença à lui raconter l’Histoire qu’elle avait manquée depuis son absence. Une bataille à laquelle elle n’avait pas pu participer et une partie d’elle ne pas sembler très heureux de ne plus pouvoir être sur un champ de bataille. Maria ne voulait plus y retourner…c’était fini.

- America  a fait quoi ?

Comment un individu qui passait ses journées à s’empiffre d’immonde hamburger pouvait soudainement vouloir dissoudre un pays ? Juste parce que qu’il n’arrivait pas à affronter un ennemi seul. Quel lâche, demander de l’aide aux autres dans un contre un… Mais le fait que d’autres pays est put accepter une telle chose ne la laisser pas indifférente. Le monde avait bien changé depuis sa disparition …ou bien il était toujours comme ça et elle n’avait jamais remarqué.

- West était avec America ? Lui aussi à voter contre toi? Ah…je ne peux pas lui en vouloir pour ça, s’il la fait c’est sans doute dû à de vieilles rancœurs …

Elle soupira . Maintenant, elle n’avait aucune envie de retourner chez elle, dans un monde où tout est prétexte à la guerre pour dissoudre l’ennemi. À ce rythme, si tous les pays qui meurt se retrouvent ici, Austria ne tardera pas à venir lui aussi. Prussia se rappela de jour où elle avait pris ces « région vitale » et cela lui arracha un sourire victorieux. Ça, c’était cool !

Puis, une bande d’individus louches s’approcha, armée d'armes bien pointues qui n’étaient sans doute pas là pour faire décoration. D’un bond Prussia se leva et voulut attraper son fleuret sauf que...

- Scheiß ! Je l’ai laissé la -bas au moment ou j’étrangler Russland !

Pesta-t-elle contre elle-même. Oh, elle pouvait user de ces poings, mais elle posséder peu de force que même un simple coup de poing ne ferait pas grand-chose. Maria refusée aussi de se cacher derrière Ivan…elle savait qu’elle était faible et même si le russe n’était plus un pays, pour elle Ivan restera à jamais Russie. Se cacher derrière lui ne pourra que démontrer encore plus qu’elle était pathétique et inutile.

Maria essaya d’envisager une échappatoire, mais la bande formée un cercle. La fuite était impossible. Se mettant en position de combat, comme si c’était de la boxe, Maria se tint prête à tout.

- Vous vous mettez en groupe pour vous en prendre à deux personnes ? Ah,laissez moi rire ! La genialissime moi va vous montrer comment un vieux pays se défend !

Elle n’était pas du tout confiante en ces propres paroles, malgré son aire déterminée.


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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMar 29 Sep - 22:01

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



L'heure n'était plus aux grandes cérémonies, si nous ne faisions rien, nous allions, mourir, tous les deux. Ou peut-être juste être dépouillé de nos biens et ensuite laissé pour mort dans un trou quel qu'on que. Pourquoi j'imaginais toujours les pires scénarios en premier? Probablement pour être prêt à affronter la dure réalité par la suite.

L'un des bandits ou mercenaires s'approcha un peu de nous, souriant comme un bien heureux, très satisfait de son effet et s'inclina humblement devant nous, conservant son air hautain et sûr de lui. Je n'aimais pas sa, mais me contentai de lui offrir ma plus belle expression, sois un doux sourire qui n'atteint pas mon regard.


«Bonjour à vous deux jeunes gens! Je suis un humble homme, vous savez, et vous êtes sur mon territoire. Il ne vous sera fait aucun mal si vous nous donner gentiment tour les objet et vêtement que vous possédez et que vous nous obéissez sans rechigner.»

Le groupe se mis à rire sadiquement et certains même regardait Maria avec une lueur qui en disait long sur ce qu'il avait en tête la concernant. Ils nous donnèrent ensuite quelques instants pour obéir, mais je ne bougeai pas d'un poil. Je voyais bien que Maria était en position défensive, mais n'avait pas d'armes probablement à cause de moi plus tôt.

Je gardai mon expression et ouvris lentement mon manteau, ne voulant pas leur donner une raison d'attaquer la jeune femme. Au fond de moi j'étais en colère, je bouillais, j'avais pris la résolution de devenir une meilleure personne en venant dans ce monde, mais la vie me donnait maintenant un ultimatum. Je sortis de mon manteau ma faux et mon marteau et les lançai rapidement à Maria.

Ce mouvement de ma part fit sourire de joie le groupe de mécréant qui ne se fit pas prier pour nous attaquer. Je ne voulais pas tuer, je ne voulais plus faire de mal aux autres, alors quand ils se mirent à m'attaquer je me contentai d'esquiver, mon tuyau de métal en main au cas où je serais obligé de frapper.

Je surveillais Maria du coin de l'œil, j'avais peur qu'il lui arrive malheur, mon cœur se serra à cette simple pensée. Elle était forte, elle était la Prusse, elle pouvait se débrouiller, mais ma tête me disait que ses hommes étaient trop nombreux. Si je me contentais uniquement d'esquiver, elle n'arriverait pas à les vaincre... Je vis un homme plus loin bander son arc et viser la Prusse, il allait tirer...et elle allait mourir.

Il était hors de question que je la perde encore une fois. Je m'élançai et me pris la flèche à sa place. Elle s’était plantée dans mon épaule et je serrai les dents pour ne pas penser à la douleur qui me tenaillait. Je me positionnai ensuite entre la jeune femme et le groupe, voulant la protéger d'autre coup traître.

Tournant la tête vers elle, je souris gentiment

«Maria, il faut faire attention à tes arrières d’accord »

Ma voix était moqueuse, mais j'avais mal à l'épaule et était soulagé qu'elle n'est rien. Je retirai la flèche d'un coup, retenant un cri de douleur et me concentrai sur les hommes en face de nous.

«Onnnnn si c'est tu pas mignon en les gars? Il a protégé sa petite copine...»

Ils se mirent tous à rire en cœur et le chef continua.

«Mais tu n'aurai pas dû, si tu n’avais rien fait, elle serai morte, il ne resterai plus que toi et BAM!! Voilà fin de l'histoire! Tes morts aussi et ses touts »

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMar 29 Sep - 23:18







Flèche
feat Un russe et une prussienne







Ces humains étaient tout emplie de noirceurs et ne penser qu'àune seule chose : faire le mal sur quiconque oser s'approcher de leurs fameux territoires. Elle n'avait pas vu un panneau indicateur disant que le banc appartenait à telle ou telle personne. C'était désespérant.

Le russe lui avait lancer de droles d'armes qu'elle attrapa de justesse. Il semblerait bien qu'aujourd'hui elle n'allait pas avoir besoin d'user de ces poings, mais de chose qui devait avoir fauché bien des vies. Pendant un moment elle en oublia où elle était et regarda mieux ce qu'on lui avait donné. C'était...étrange....

Comme aucun des deux anciens pays n'avaient obéi au gang, les jeunes gens décidèrent de les attaquer. Maria faisait son de son mieux, esquivant de justesse certains couteaux, et frappant d'autres avec les armes du russe. D'ailleurs, c'était juste une impression ou elle avait entendu un craquement sinistre provenant d'un des hommes lorsqu'elle l'avait frappé sans réfléchir ?Maria ne voulait pas y penser.

Trop occupé à se défendre, la demoiselle ne fit pas attention à la flèche qui lui était destinée. Hors un manque d'attention attirait toujours la Mort, sur un champ de bataille. Quelle piètre soldate elle faisait.

- RUSSLAND ART VON SCHWACHKOPF !

Lacha-elle en allemand en se retournant voyant que le russe avait pris le coup à ça place. La Prussienne n'arrive pas à comprendre pourquoi la nation froide avait eu envie de la protéger, elle, un pays qui n'avait pas existé longtemps... De plus, il venait de lui prouver sans le vouloir à quel point elle était devenue une simple humaine faible et inutile. Et encore, il y avait pire maintenant !

Prussia était redevable à Russia.

Cette simple dette allait devenir son pire cauchemar, si elle s'en sortait vivante, bien sure. Les voleurs se moquer de l'action d'Ivan, énervant un peu plus la Prussienne. Ils ne pouvaient donc jamais se taire .

Maria prit la décision la plus sage, celle de faire taire cet idiot de chef de groupe. Premièrement, elle avait une nouvelle vie, ce n'était pas la peine de la perdre à cause d'être qui sont aussi bete que leurs pieds décidément....

- Je ne suis pas la copine de Braginsky !

Et elle lança la faux et le marteau de toutes ses forces sur le chef. Action complètement débile, vu qu'elle était désarmée à présent. Chose que les autres comprirent tous deux suites en abandonnant le russe pour se diriger vers Prussia..

On attaquait souvent le plus faible dans ce genre de situation. Et pour le moment, cette personne aussi faible qu'inutile n'est autre que la jeune demoiselle, qui recula, alors que les humains s'approcher toujours et encore.

C'était ça fin.




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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 30 Sep - 1:19

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Même si la jeune femme trouvait que sa force n'était plus rien, je fus extrêmement admiratif de la force de son lancer. Le chef des bandits avait reçu le projectile dans le ventre et se contorsionnait au sol comme un ver de terre. C'était une vue des plus plaisantes, mais je fus brusquement ramené à la réalité par les hommes enragés du groupe. Ils voulaient venger leurs chefs et n'étaient vraiment pas d'humeur à rire.

Mais eu lieu de s'en prendre à moi, ils se jetèrent tous sur Maria. J'écarquillai le regard totalement apeuré maintenant. Elle allait mourir! Elle allait mourir et je n'allais rien faire pour ma simple résolution de ne plus tuer?

Quand elle reçue le premier coup de couteau je figeai, au deuxième j'affichai une expression horrifier. Elle ne pouvait rien faire et je restais planté là à la regarder mourir. Le chef se releva finalement et passa à coté de ses hommes, il allait lui asséner le coup final en compensation de la blessure qu'il avait subie.

Cette fois je ne pus rester indifférent, je serrai les poings et les dents, vraiment en colère.


«Laisser la tranquille...laisser la tranquille où je vous tue...»

Les hommes se retournèrent vers moi et éclatèrent de rire comme des idiots, pas du tout intimidés par un homme seul ayant comme arme un tuyau. Ils reportèrent leurs attentions sur Prussia et laissa du même coup tomber ma promesse.

«Pardon Prussia....Je...Je vais rompre une promesse que je m'étais faite à mon arrivée...»

Je lâchai lentement mon arme et un son métallique se fit entendre lorsqu'il toucha le sol faisant se retourner deux des hommes. Je sortis mon fusil de mon manteau à une vitesse folle et tuai les deux hommes qui s’étaient retournés d'un tir bien placé entre les deux yeux. Le bruit de l'arme à feu fit se retourner les autres qui comprirent que c'était probablement une meilleure idée de tuer le tireur que la femme désarmée en premier.

Ils se jetèrent sur moi en vitesse, mais j'esquivai habilement leurs coups comme plus tôt. Mon arme ne me servait à rien de prêt, mais je finis par enfoncer le canon de celle-ci dans le fond de la gorge de l'un des hommes et appuyai sur la détente, un sourire malsain et cruel aux lèvres. Son cadavre tomba au sol, son sang ayant taché mes vêtements, je me retournai vers les deux autres, sois le chef et un dernier larbin.

Il avait reculé ne sachant plus vraiment quoi faire pour me gérer. Je les esquivais trop facilement et quand je recevais un coup, je n'en avais cure. Mon sourire dément s'agrandit encore plus et le sbire décida de prendre ses jambes à son cou, chose que je n'approuvai pas et comme récompense, il reçut une balle.


«Je...Eheh eheheh..Hum écoute mon gars, je, j'étais pas sérieux tu sais! Je te jure que je ne voulais pas vous faire de mal...L...laisse-moi partir!»

Je ne l'écoutai même pas, m'approchant de lui et l'agrippant au coup, le soulevant d'un bras et le regardant tout sourire. Je serrai de plus en plus, à ce rythme j'allais lui broyer les os du coup. Mais je lui rendais un service non? Il allait mourir de sa blessure au ventre de toute façon...

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 30 Sep - 18:01







Meurtres en série
feat Un russe et une prussienne







Prussia avait appris à ne jamais montrer sa peur à ces ennemis, bien que la situation soit désespérée. Elle regarde les hommes s'approcher, tous avec cette même soif de sang. C'était à ça, que ressembler les humains de ce monde ? Prussia allait se défendre jusqu'au bout, quitte à tout perdre, elle ne laisserait pas cette vie si précieuse perdue sans s'etre battu . Comme ça, quand elle rejoindra le vieux Fritz, il pourra être fière d'elle.

Le premier coup qu'elle reçut fut à son épaule gauche, tachant son uniforme qui commença à changer de couleur. Elle ignore la douleur de son mieux, malgré qu'elle sentait le sang couler de la plaie. Le deuxième coup fut porté à son bras, ouvrant ainsi une plaie un peu plus importante qui fit grimacer la demoiselle.

Afin d'arrêter un peu l'hémorragie, la prussienne pressa sa main sur la plaie au niveau du bras, fixant les individus avec un air moqueur. Certes, elle ne pouvait plus rien faire, ces hommes avaient bien visé affin e l'empêcher de bouger. Elle espéra que Russia s'était enfuie, il n'avait pas besoin de la sauver encore une fois.

Alors qu'elle attender le coup final du chef, un bruit resonna qui rappela pas mal de souvenir à demoiselle. Un coup de feu ?...Ce n'était pas Ivan tout de même . ? Voilà qu'il lui sauvait la vie une deuxième fois. Une fois de trop.

Maria pouvait regarder le massacre qui se dérouler sous ces yeux et fut tout de même contente de ne pas être l'ennemie du russe. Elle n'aurait pas tenu longtemps, régénération ou non. La jeune fille jeta un coup d'oeil à ces plaies qui allait mettre plusieurs heures à se « réparer » tout en se maudissant. Si seulement elle pouvait servir quelque chose....

Voyant que le russe allait en finir avec le chef de la bande, Prussia s'avança faisant comme si tout allait pour elle , bien que ce ne soit pas le cas. Elle était la grande, l'invincible, la géniale Prussia, ce n'est pas de simple plaie qui allait l'arrêter.

- Arrete toi Ivan. C'est finit....Tu peut le lâcher maintenant,il n'en n'a plus pour longtemps...

Dit-elle en posant une main sur le bras qui tenait le vil voleur. Elle n'avait pas envie de créé du grabuge dans un pays, une ville qu'elle ne connaissait pas. Avoir des ennemies tout de suite ne lui plaisait pas le moins du monde. De toute façon, elle devait avoir cassé des choses dans l'humain en lançant les armes du Russe sur lui. Dommage que ça ne l'est pas tué tout de suite.

- On ne devrait pas rester là !

Elle souriait alors que le processus de regenaration qu'elle avait perdu dans son monde d'origine se metter en marche. Et ce n'était pas doux, bien au contraire. Mais elle ne devait pas le montrer, c'était un signe de faiblesse et la faiblesse...c'était pour ceux qui ne savent rien faire d'autre que se cacher.




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Ivan Braginsky
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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 30 Sep - 19:06

Ivan and Maria





Ma tendre Ennemie



Lorsque la Prussienne arriva finalement à côté de moi, elle me demanda de lâcher l'homme, qu'il allait bientôt partir de toute manière. Elle posa ensuite sa main sur mon bras avec une expression qui visait probablement à me calmer. Cela fonctionna puisque je sentis mes doigts desserrés lentement, puis entendit le bruit d'un corps s'écrasant sur le sol.

Je ne souriais pas, regardant Maria calmement, la détaillant lentement. Elle était blessée et c'était ma faute. Je passai doucement mes doigts sur l'une de ses blessures, une expression de tristesse au visage. Je regardai ensuite le sang sur mes gants et soupirai avant de lui sourire gentiment.


«Tu à raison...nous devons partir d'ici...»

Je retirai doucement sa main de mon bras et me détournai d'elle allant chercher mes armes éparpillées un peu partout sur le terrain. Ils étaient tout tachés de sang, mais je m'en fichais. Je les remis dans ma veste à leurs emplacements respectifs et refermai mon manteau après avoir pris une bouteille de vodka.

J'ouvris celle-ci et en but une grande quantité avant de commencer à m'éloigner de la Prussienne décidée à partir de cette ville et ne plus y revenir avant un long moment. Je cessai de marcher pour me retourner à moitié vers elle. Il ce remis à neigé, une neige douce et calme cette fois. Mon foulard était bercé par la douce brise et je la regardai un moment avant de déclarer.


«Tu es libre Prussia...»

Ça me fessait terriblement mal de lui dire, mais je voulais qu'elle sache que je ne la tenait plus en laisse désormais.

«Si tu le souhaites, tu peux m'accompagner, mais je ne forcerai pas si tu n'en as pas envie. J'ai vu une auberge non loin d'ici, tu pourras t'y rendre le temps de soigner tes blessures et repartir où tu veux ensuite.»

Je lui souris comme à mon habitude, une expression joyeuse qui n'atteignait pas mes yeux puis me détourna d'elle, recommençant à marcher, ma bouteille d'alcool pour seule compagnie. Au fond...j'étais autant démolie qu'heureux de l'avoir délivrée. Elle pourrait vivre sa vie comme elle l'entendait et être heureuse.

La neige continua de tomber, laissant sur le sol la marque de mon passage...


Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? 473773Sanstitre2

(Voila Maria, reste plus que ta rep à toi et on à terminé celui-là ^^ tu me suis? Ou pas?)

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Maria Beilschmidt

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MessageSujet: Re: Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?   Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie? EmptyMer 30 Sep - 22:07







Suivre le tyran
feat Un russe et une prussienne







La raison atteignit le grand russe qui lâcha l'individu sur le sol. Cela devait être la première fois que Russie n'achever pas ses victimes...ou qu'il arrive à contrôler sa soif de meurtre. La jeune fille le regarda un moment puis fixa le voleur qui allait agoniser un bon moment. Cette petite bagarre avait enfin était terminée et aucun ses deux anciens pays n'avaient péri.

Prussia grimaça quand le grand homme toucha une de ces blessures. Il pouvait faire attention quand même ! Ce n'était pas là pour faire décoration non plus !

Puis vient l'heure tant attendue des séparations et lorsque Ivan déclara qu'à présent elle était libre, Prussia était interloqué ne sachant pas si elle devait etre heureuse ou en colère contre l'homme qui lui avait causé bien du mal par le passé.

Le grand russe lui tourna le dos et commença à marcher. Quelque chose n'allait pas...pourquoi était-elle triste d'un côté ? Ce dont elle avait toujours rêvé, ce rêve inaccessible lui était enfin accordé.

- Libre...hein ?

Même ce mot n'avait plus aucun sens. Depuis qu'elle était ici, elle voyait les choses sous un autre angle et ce nouveau monde n'était pas si different du sien. De plus, le russe lui avait sauvé la vie deux fois, elle ne pouvait pas le laisser seul sans payer cette dette...ou plutôt ces deux dettes. Quitte à ce que cela prenne des années, Maria le faisait juste pour elle.

Alors elle se mit à courire afin de rattraper Russie et attrapa un bout de son manteau,un sourire narquois sur le visage.

-Kesesesese...tu penses vraiment que la génialissime moi va laisser son « sauveur » ? J’ai deux dettes envers toi… Je vais te faire l'honneur de ma présence à tes côtés, que tu le veuilles ou non !  

Obstinée, elle suivit donc le grand russe, oubliant complètement qu'elle était blessée. Comme s'il allait se débarrasser d'elle aussi facilement !



[Hors rp ] J'te suis 8D]


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Ma tendre ennemie, voudrais-tu devenir une amie?

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