Danse avec les afrelins [PV TRACYN]

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L'air sentait bon, c'était là la première constatation de Demi-Coeur. La renarde avait mit le museau hors de l'auberge l'habritant pour la première fois depuis deux jours. Elle était arrivée sans grand chose sur elle mais le peu ayant de la valeur pour les êtres de ce monde avait suffit à lui payer de quoi s'assurer un lit moelleux le soir et un repas consistant pendant les journées. Le ventre plein, un peu mieux acclimatée à ce monde très étrange et désireuse d'en apprendre plus sur lui, elle avait récupéré ses affaires, tenant dans une simple besace, et franchit la porte de l'auberge après avoir vérifié maintes fois que rien ne manquait à son paquetage.

Tout étant en ordre elle commença à arpenter les rues du petit village près duquel elle avait atterrit. Il lui fallut bien la matinée pour décider de l'endroit où elle désirait se rendre. Comme la population semblait majoritairement paysanne, avec un nombre de "mercenaires" personnages qu'elle ne comprenait pas bien, les discussions tournaient autour des champs, de la moisson prometteuse, des attaques dans le Sud, et des nuisibles écrasant les céréales. Toujours soucieuse du bien être de son prochain la bleutée tendit l'oreille, écoutant l'air de rien et à une distance respectable des groupes de personnes, ce qui se disait sur cette espèce inconnue pour elle qu’étaient les afrelins.
Une espèce assez peu dangereuse seule mais qui, comme les témoignages le rapportaient, se déplaçait en groupe avec quelques créatures posant elles de réels problèmes, alors seulement ils commençaient à se révéler ennuyeux. Le renarde réfléchie au problème assise sur la margelle d'un puits.
Elle pouvait utiliser ces renseignements pour se frayer facilement un chemin à travers champs, esquivant les animaux lorsqu'elle sentirait leur odeur ou percevrait leur présence grâce aux bruits de la forêt. Mais elle se montrerait lâche en faisant cela, elle aurait pourtant put aider ces villageois que rien n'aidait à repousser les créatures étant donné qu'un mercenaire, aussi peut coûteux soit-il, doit être payé. Avec un soupir lourd Demi-Coeur regarda ses mains, elle joua de ses doigts dans l'air, celui ci se brouillant légèrement avec la magie qui courait entre ses phalanges. Elle avait la puissance pour résoudre ce problème, en partie. Si elle repoussait quelques créatures, les autres prendraient certainement peur... elle l'espérait en tout cas, en partant sur les chemins de terre battue qui serpentaient au milieu des grandes étendues vertes, brunes et dorées.

Goya, qui paraissait calme au premier abord, était finalement peuplé de fous. Et je n’aime pas beaucoup la compagnie de fous. Leurs conversations m’avaient plus que tapé sur le système, je pris rapidement congé. Ce passage m’avait donc appris deux choses : Goya c’est chiant, mais y’a moyen de se faire du pognon. On m’a dit très clairement, les plaines du coin sont infectées de vermine, et les gens n’aiment pas la vermine. Ils les haïssent autant que je haïs les enfants, ce qui signifie beaucoup. Ils les haïssent suffisamment pour payer pour leur extermination, et c’est là que j’interviens. Voilà un boulot comme je les aime, exécuter des bestioles que tout le monde déteste, je tue et ça plait, que demander de plus ?

Bon, le prix et pas bien élevé, mais pour ça j’ai envoyé Gota voir l’employeur, qu’il négocie pendant que je fais chanter les armes. Je n’aurais pas besoin de lui avant un bon moment normalement, juste quand il faudra recharger. Je lui fais confiance pour les contrats, il sait quel est le tarif que l’on prend habituellement, le plus élevé.

Je marchais donc seul dans les plaines, je m’arrêtais de temps à autre, pour observer les alentours, écouter les bruits de l’environnement, tenter de localiser des dégâts par des afrelins, ou des afrelins eux-mêmes. L’air me semblait doux et frais, de ce que je pouvais sentir avec mon casque. Vue les empreintes laissées de part et d’autre au sol, je pouvais dire que quelqu’un était passé récemment. A première vue un humanoïde. Pas des afrelins, quelqu’un d’autre, un voyageur peut-être. J’observais attentivement les alentours, une colline plus haute à deux pas d’ici, de là-haut je pourrais mieux observer les alentours.

Je montais la grande colline, au pas de course, pas de temps à perdre, car comme on dit, le temps c’est de l’argent. De là-haut, j’avais une vue imprenable. Je voyais de longs chemins de terres, des chemins créés par les mouvements d’êtres vivants au sein des collines. Ils étaient là, courbés, s’élançant au travers des étendues de Vermeï. Je voyais une silhouette pas trop loin de là, l’humanoïde qui était passée plus tôt je pense, qui était à présent là sur les sentiers, à voyager tranquillement. Je voyais aussi deux petits afrelins non loin, pas bien menaçants vu qu’ils n’étaient que deux, mais à deux contre un, ils ont leurs chances, surtout que je ne sais pas de quoi l’humanoïde est capable. Bon, de toute façon elle devrait pouvoir courir, au moins les affaiblir s’ils l’attrapent. J’approchai tranquillement, contournant discrètement les afrelins pour les prendre à revers, attendant de voir comment les choses allaient évoluer.

Invité

Le vent chantait dans le plaines. Il courrait sur les épis pointant vers le ciel, les faisant onduler comme une marée incessante. Des yeux la renarde suivait les mouvements colorés autour d'elle. Elle prenait finalement beaucoup de plaisir à effectuer cette petite promenade, même si elle savait que celle ci se terminerait par la mort de quelques êtres ayant eut la malchance de se trouver sur la liste macabre des citoyens proches.
Avec un petit soupir elle stoppa sa marche devant un champ de colza. Les fleurs jaunes mêlées au vert des tiges donnaient l'impression que le sol respirait. Se couchant avant de se relever une fois la brise passée, il lui semblait que le sol se mouvait, comme un organisme puissant, dans lequel la moindre présence étrangère aurait été détectée en un seul coup d'oeil.
Un instant la renarde se demanda alors, si elle était l'étrangère, si les gens habitant tout près étaient les étrangers, ou si les créatures qu'elle prenait en chasse revêtaient cet habit indigne. Elle se perdait dans ses pensées lorsque quelque chose brouilla le flux et le reflux du colza. Un mouvement, une pierre saillant des vagues, une traînée dans ce qui aurait dût être l'écume du reflux après le souffle.

Il ne fallut pas plus d'une seconde à la renarde pour réagir. Son regard perçant scruta les mouvements dans le champ, se concentrant sur le flux et le reflux qu'elle prévoyait, respirant sur le même rythme. Elle le perçut alors de nouveau, ce défaut, le localisa et en comprit la nature.
Pas très loin d'elle, une quinzaine de mètres environs, se trouvait un afrelin. La créature n'avait en fait rien de terrifiant pour la renarde, mais elle aiguisait sa curiosité et la bleutée faillit bouger pour s'avancer dans le champ. Elle se souvint alors des discussions autour du puits, des ravages causés par les afrelins et du fait que, même s'ils paraissaient seuls, ces créatures ne bougeaient jamais qu'en bande.
Un plis inquiet se dessina alors sur le museau de la renarde. Elle se raidit légèrement, gardant ses pattes prêtes à la faire bondir de côté s'il le fallait, peu pressée de mourir s'il advenait qu'une bestiole semblable à celle qu'elle voyait tente de lui arracher la gorge à la volée.

Malgré son examen attentif des alentours la bleutée ne parvint pas à repérer la seconde créature, elle se concentra donc sur celle que ses yeux lui permettait de révéler au jour. Son arme en main, elle soupira et, pointa la bête de la pierre faiblement lumineuse en son bout. Elle se concentra alors, ressentit la vibration de la magie autour d'elle. Elle inspira, et ce fut comme si l'air la pénétrait par tous les pores de sa peau, venant fraîchir son sang qui bouillonnait pourtant à ce contact. Puis elle fit jaillir le pouvoir à travers son bâton. Celui ci n'avait pas bougé d'un iota.
La première vague de flux frappa la bête en plein dans l'épaule. Le monstre gronda, un son menaçant mêlée de douleur et de promesses de mort. Mais Demi ne se défila pas, elle garda son arme braquée sur la bête, le bois du bâton plaqué le long de son bras gaîné de cuir bouillit. Deux autres salves de magie fusèrent, l'une frappant le crâne, l'autre dans le poitrail alors que l'afrelin se dressait pour lui en imposer, certainement une manœuvre pour effrayer les plus gros prédateurs.
Autant le dire clairement, cela ne servit à rien, et c'est avec le bruit mat de la chair frappant un sol de terre meuble que la créature rendit l'âme, un murmure navré de la renarde guidant cette vie fuyante vers ce qui serait probablement son après-vie.

Derrière un amas de buisson pour abri de fortune et cachette improvisée, je pouvais observer la scène à loisir sans crainte d’être subitement interrompu, en position pour contre-attaquer si les choses tournent au vinaigre. L’étrangère se tenait calme, où alors n’avait-elle pas conscience d’être traquée, ou alors chassait-elle tout comme moi… Le premier afrelin, le plus proche, l’était sans doute un peu trop, à l’attitude, on pouvait estimer que sa proie l’avait repéré. Toujours immobile, je regardai fixement, attendant la suite, braquant mon arme sur le deuxième histoire d’en tuer au moins un si le premier se faisait avoir.

Le plus étonnant était que je n’en voyais que deux, or, ces bêtes-là chassent en meute, et parfois dans l’ombre d’une bête plus grosse. L’éventuel reste du groupe était peut-être plus loin, et, où ces deux-là ont fait bande à part un moment, où alors, le reste avait le même projet que moi, et aurait contourné l’humanoïde qui prenait trop peu de précautions en territoire hostile.

Les deux adversaires qui se tenaient l’un en face de l’autre dans les champs semblaient d’abord se limiter à un duel de regards, jusqu’à ce que celle au bâton fasse jaillir des lumières étranges de ce dernier. A cette attaque la bête ne répondit que par des provocations et tentatives d’intimidation vaines, puis par des râles d’agonie lorsque frappèrent deux autres de ces jets de lumière.

C’était vite réglé, du beau travail je dois dire, une psyker peut-être ? On m’avait déjà parlé de ces trucs, mais, à défaut d’en avoir laissé en vie suffisamment longtemps pour, je n’ai pas eu la possibilité de voir ce dont ils étaient capables. Finalement, ce serait peut-être plutôt sur elle que je devrais braquer mon arme, mais à y réfléchir plus longuement, je me disais que si une bande plus conséquentes d’afrelins, et une bête peut-être plus imposante rodaient dans les environs, il allait falloir coopérer, surtout qu’au vu de la bête qu’elle avait abattu, elle ne les portait probablement pas dans son cœur non plus.

Je gardais donc le deuxième afrelin dans le viseur, puis l’arrosai d’une salve de tirs de blasters, enchainant d’un tir de lance-roquettes au poignet pour finir le boulot en beauté. Il ne faisait aucun doute que seul un tas informe de chair carbonisé en sortirait. Je me levais ensuite de mon abri, maintenant à découvert, avançant toutefois lentement et prudemment, des fois que des renforts viennent prêter main forte à ces sales bêtes ou que l’étrangère soit hostile avec les Mandaloriens comme avec les afrelins.

Quête 02
Chasser la vermine

Aucune tentative de pacification... Les Afrelins sont pratiquement inoffensifs et attaquent rarement les êtres "vivants", c'est surtout leur odeur et leur maladresse qui les rendent méprisables aux yeux des villageois et pourtant, ils n'ont pas mauvais fond... La nature les a rendu charognards, et se nourrir de carcasses et de cadavres ne leur donne pas bonne haleine, malheureusement...

Les voilà menacer par deux "héros" bien mal avertis... Encore une fois, il va leur falloir faire preuve d'une bravoure contre-nature pour en échapper.

Un trio d'Afrelin arrive d'un pas motivé, mais pas forcément décidé, à bonne distance, chacun d'entre eux use de sa queue pour faire pleuvoir des épines argentées sur vous... Pourront-ils compter sur un soutien inespéré ? Un gros monstre peut-être... Vous ne voulez pas voir le garde du corps de ces insignifiantes choses...

Engagement pour les petits monstres !

Modération et Récapitulatif de tour

Tour 1

Votre groupe

Demi-Cœur / 985 PP Tracyn / 910 PP
Santé : 50/50 Santé : 273/273
Mana : 700 Mana : 91
Endurance : 135/135 Endurance : 319
Force : 50 Force : 91
Défense : 85 Défense : 228
Puissance Magique : 400 Puissance Magique : 0
Défense Magique : 300 Défense Magique : 91
Agilité : 100 x 0.90 = 90 Agilité : 227 - 11 = 216

Vos adversaires

Afrelin 1 / 750 PP • Afrelin 2 / 750 PP ♪ Afrelin 3 / 750 PP
Santé : 185/185 Santé : 185/185 Santé : 185/185
Agilité : 190 Agilité : 190 Agilité : 190

Actions

Déroulement du Tour 1 :

Commentaire / Intervention

Notes pour les joueurs :

•

Techniques utilisées par les adversaires :

Invité

Spoiler:

La bête gisait au sol, son dernier râle d'agonie exprimé depuis quelques secondes déjà. Demi-Coeur releva son bâton, posant doucement l'extrémité au sol tout en affichant une mine ennuyée, un tressaillement la parcourant au moment même où l'explosion de ce qu'elle pensait être un sort ou une machine se fit entendre. Elle ressentit la vibration dans tout son être et tourna le museau pour contempler le petit cratère fumant d'où s'élevait ce qui aurait put passer pour l'âme tourmentée et quelque peu trouée d'un afrelin qui ne connaîtrait pas de lendemain.
Interloquée, la renarde en oublia de surveiller les environs et chercha la provenance du tir puissant. Les crépitements entendus au par avant étaient passés pour des décharges résiduelles de magie ou des craquements dans les bois pour elle, en aucun cas pour des coups de feu. Elle ne s'attarda donc pas immédiatement sur le reflet métallique derrière la verdure d'un buisson haut mais se reporta rapidement de là où la lumière jaillissait entre les feuilles.

Le croisement d'une morphologie humaine avec un bloc de métal se tenait debout, un fil gris s'élevant encore de son poignet qu'il avait laissé retomber contre son flanc.
Demi l'observa, curieuse et sans aucune animosité, elle se contentait d'assez de méfiance pour se protéger s'il se montrait agressif. Et elle fit bien, car même si ce ne fut pas lui qui attaqua, elle put réagir promptement au son des craquements dans son dos et de quelque chose sifflant dans l'air suivit d'un grognement guttural.
La renarde n'avait pas une grande expérience de la guerre, dans le sens où elle n'en avait mené qu'une. Mais elle savait une chose, c'est qu'hors de son cocon de sécurité, il pouvait lui arriver n'importe quoi n'importe quand à cause n'importe quelle chose ou être.
Aussi sa magie l'enveloppa-t-elle par simple réflexe, se tendant comme une toile protectrice devant elle. Les pics osseux des afrelins percutèrent la mince couche d'air semblant réverbérer quelque peu la lumière du soleil, puis ils tombèrent mollement au sol et n'infligèrent aucune blessure à la renarde. La garde magique de Demi scintilla encore une seconde puis se dissipa comme si elle n'avait jamais existé, et la bleutée se tint prête aux cas où les animaux retenteraient une attaque.

Actions:

La situation semblait plutôt bonne. Deux bêtes à terre, dont une dont la tête me revient de droit, trois debout, peu menaçantes à mon goût, une espèce de psyker poilue présentement non hostile à mon égard, et moi, le plus talentueux des Mandaloriens. L’affaire me semblait déjà réglée, d’ici peu, je pourrais envoyer un message à Gota pour lui signaler d’annoncer un prix de groupes pour quelques cadavres d’afrelins carbonisés. Quoiqu’il faille que je songe à récupérer les têtes des miens, histoire d’apporter une preuve aux commanditaires. On dit toujours de ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir abattu, mais pour le coup, je pense ne pas être trop optimiste en disant que c’est gagné d’avance. J’espère tout de même trouver plus gros dans les alentours, une grosse tête bonus, je ne dis jamais non.

Si comme à mon habitude j’avais la situation sous contrôle, ce ne semblait pas être le cas de la demoiselle en bleu, attaquée par deux de ces horribles bestioles. J’en avais bien un à mes trousses aussi, mais que ferait un de ces affreux morpions face à ma solide armure mandalorienne ? Strictement rien en effet, je voyais ses misérables picots taper contre mon armure comme un pigeon s’écraserait sur le bitume. Pathétique, ça n’a même pas rayé l’acier.

- Doucement petit, je ne voudrais pas que tu m’abime la peinture tu sais.

Mais si l’on en revient aux soucis de la dame en bleu, je doute qu’elle fasse le poids, pas d’armure ni de flingue, ces psykers ont beau avoir l’air redoutables, ils sont souvent dépassé face au nombre. Moi, ce que j’y vois, c’est l’occasion de me la péter un peu. D’un côté, elle semble invoquer une défense face à l’attaque du premier, mais celle du deuxième lui a peut-être échappé… Je bondis aussitôt en direction du second de ces bestiaux, laissant en plan celui qui voulait jouer avec moi. En activant un saut de jetpack, j’atteignis ma cible assez rapidement, puis lui collait mon lance-flamme au poignet devant le crâne, avant de baigner cette immondice de mes flammes. Sa silhouette disparaissant derrière le flot de feu écarlate. Puis, me tournant vers mon alliée de fortune, si je puis la nommer ainsi, je lui disais en agitant mon poignet pour dissiper la fumée :

- La tête de celui-là me reviendra pour la prime, sans rancune j’espère ?

Actions:

Quête 02
Chasser la vermine

C'est toujours nouveau, lorsqu'on est un charognard, de s'attaquer à des proies vivantes et gigotantes... Elles font preuve de plus de... résistance ? Si vous ajoutez à cela le manque de tactique des Afrelins... Ça en deviendrait navrant...

Les premières épines blanches se heurtent à un mur invisible, dont les assaillants de la renarde ne saisisse pas la provenance : Coup du destin ? Manque de chance ? Mauvais lancé ? Réessayons, se disent-ils. L'un d'eux n'aura pas cette chance.

Le chevalier futuriste, transforme l'une des pauvres bêtes en poudre, elle aurait pu l'esquiver, mais le temps de comprendre que c'était une attaque...

Le troisième Afrelin a vu son attaque atteindre sa cible, mais sans recevoir de réponse, perturbé mais pas moins décidé à tuer sa première proie, il ressaie... Tant qu'il lui reste un allié, autant essayé.

Les aventuriers dominent aisément, ça semble être une promenade de santé... mais qu'ils ne baissent pas la garde trop vite...!

Modération et Récapitulatif de tour

Tour 2

Votre groupe

♦ Demi-Cœur / 985 PP ♣ Tracyn / 910 PP
Santé : 50/50 Santé : 273/273
Mana : 675/700 Mana : 91
Endurance : 135/135 Endurance : 319
Force : 50 Force : 91
Défense : 85 Défense : 228
Puissance Magique : 400 Puissance Magique : 0
Défense Magique : 300 Défense Magique : 91
Agilité : 100 x 0.90 = 90 Agilité : 227 - 11 = 216

Vos adversaires

♠ Afrelin 1 / 750 PP • Afrelin 2 / 750 PP - MORT ♪ Afrelin 3 / 750 PP
Santé : 185/185 Santé : 0/185 Santé : 185/185
Agilité : 190 Agilité : 190 Agilité : 190

Actions

Déroulement du Tour 1 :

Déroulement du Tour 2 :

Commentaire / Intervention

Notes pour les joueurs :

• Demi-Cœur et Tracyn, plus de détails dans vos récapitulatifs serait le bienvenu, là ce n'était pas forcément difficile à retrouver, mais imaginer que vous ayez plus d'actions, ou plus d'adversaires...! Un résumé du calcul, la cible et la technique utilisé en petit facilite toujours la modération => (Plutôt que d'ouvrir de nouveaux onglets...!)

• Bon c'est beaucoup plus facile pour vous que je ne l'aurais imaginé... On peut laisser comme ça, sauf si vous voulez plus de difficulté...!

Techniques utilisées par les adversaires :

» Ca commence avec Banget ça fini avec Yang ! [En Cours]
» Demande de Tracyn
» Tracyn est gentil
» Excusez-moi mon bon monsieur, mais cette gamine aux gros yeux est-elle la vôtre? [PV Tracyn]
» Une rencontre avec un psychopathe?

Danse avec les afrelins [PV TRACYN]

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