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 Mwold Cynthia, machinateur séculaire.

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Mwold Cynthia

Mwold Cynthia
Messages : 7
Date d'inscription : 29/01/2016

Mwold Cynthia, machinateur séculaire. Empty
MessageSujet: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. EmptyLun 11 Juil - 15:45





Présentation de Cynthia Mwold






Fiche d'identité


AvaPres
Pseudo : Mwold Cynthia
Provenance : Inventé
Sexe : Masculin
Âge :  Inconnu
Capacités :  Mwold ne possède pas vraiment de limite dans ses capacités. Il lui faut toutefois apprendre chaque capacité, son don inné étant la maîtrise de l'énergie vitale. Il connait aussi la transformation qui lui permet de se changer en être éthéré et la magie des ombres pour se dissimuler. Une dernière magie s'enroule autour de son être, elle semble indéfinissable, perpétuellement changeante, et incomprise de Mwold lui même.



Mental



Comprendre Mwold demande de s'intéresser aux différentes parties de sa personnalité. Il est un peu comme un arbre des possibles, chaque embranchement vers les tréfonds de son intellect amène à d'autres embranchements rendant ses réactions toujours plus pointues. Cela vient certainement de son caractère minutieux, ainsi c'est par lui qu'il convient de commencer les explications.

Mwold est un individu mesuré, la plupart de ses actes sont la suite de pensées dont il pèse le pour et le contre avant de les mettre en application. Que ce soit pour son repas le soir, la partie de chasse ou de jardinage du lendemain, un combat à venir ou même le prochain cadeau qu'il fera à un être cher à son coeur, le loup ne laisse pas son esprit divaguer et se vautrer dans la léthargie. Il aime que chaque chose soit à sa place, cela lui donne des traits un peu maniaques mais pas au point que ce soit pénalisant, un peu de bazar ne le dérange pas, le capharnaüm en revanche si.
Le furry est par conséquent appliqué. Lorsqu'il a fait son choix il va jusqu'au bout et ne s'arrête que s'il y trouve une bonne raison. Lorsqu'il se lance dans un projet il aime sentir le devoir accomplit en contemplant le résultat de son labeur. Les travaux manuels ne lui font pas peur, bien au contraire ce sont ceux qu'il préfère car il peut maîtriser la quasi totalités des différents paramètres menant au produit final. Il ne voit cependant aucun concours, l'idée d'être le meilleur n'est pas celle qui domine ses actes. Que d'autres parviennent à faire mieux que lui ne le dérange pas. Mais cela ne l'empêche pas de vouloir que chaque détail soit parfait, même s'il ne lui faut pas se trouver en haut de la pile pour se sentir bien, faire quelque chose sans s'assurer que la moindre aspérité se trouve limée comme il faut le plonge dans un état d'agacement constant.

C'est cette envie que tout reste à sa place, que le monde lui soit clair, limpide, qui fait que Mwold n'aime pas mentir. C'est donc un honnête loup. Il n'hésitera pas à dire ce qu'il pense, du moins si cela ne risque pas de compromettre ses plans, mais il est assez rare qu'il se prive du plaisir naturel de ne pas avoir à cacher ce qu'il ressent ou pense. Ce n'est pas non plus un larron, qui détourne le regard des vendeurs pour chiper un objet dont il ne fera jamais rien d'autre que de le revendre. Si Mwold vole il y a toujours une bonne raison, ce qui fait qu'il s'agit souvent de nourriture, car le premier besoin auquel palier pour vivre est bien celui de se nourrir.
L'honnêteté conserve toutefois ses limites avec la réalité. Telles deux amies nourrissant un fond de rancoeur l'une pour l'autre elles sont, dans l'esprit de Mwold, les parts d'un ying et d'un yang jugeant du bien fondé de ses actions. Ainsi même si le loup préfère rester honnête et vivre dans la lumière de la justice il reste calculateur et ne se prive pas de fomenter des machinations aux rouages bien huilés. Son métier lui même fait que cela est devenu une seconde nature chez lui, élaborer des plans dont la morale peut réprouver certaines parties ne le dérange pas, il en éprouve parfois des remords avant de se souvenir que chaque acte amène au suivant, et que certains sont nécessaires même s'ils paraissent mauvais.
Allant de paire avec son esprit matois la méfiance s'est faite une place d'honneur dans l'alchimie de ses pensées. Il sait comploter, il sait faire croire aux autres ce qui est faux mais qu'il veut faire paraître vrai, il sait comment rejeter la faute sur les autres ou sembler le détracteur d'actes qu'il a lui même commit dans l'ombre. Dès lors il sait aussi que ce qu'il fait est possible, et que s'il est capable d'y arriver d'autres le sont aussi. Alors la méfiance est de mise. Qui cherche à le rouler, qui veut sa peau en affichant un sourire aimable, qui a des vues sur telle ou telle chose qui demande son concours, son mal, sa réputation, sa mort peut être ? Non, Mwold n'est pas naïf, il ne sait pas tout mais ne se laisse pas tromper pour autant car il connaît les risques des pièges que de simples mots peuvent tendre.

La méfiance aigrit les coeurs lorsqu'elle se transforme en paranoïa. Les complots sont alors partout et, peu à peu, les dernières personnes dignes de confiance passent chez l'ennemi sans autre raison que cette peur folle qu'ils puissent manigancer contre soi. Mais il n'en est ainsi que pour les cas les plus graves, Mwold applique sa méfiance de façon consommée, ce qui lui permet de la repousser lorsqu'il ne se sent pas dans la crainte. Parfois même, le loup ressent un autre sentiment, un de ceux qui poussent à une méfiance presque absente, l'amour, ou la passion.
Lorsque Mwold a de la passion pour quelqu'un il est comme pour ses œuvres qu'il couve d'un regard doux. Il se montre délicat, pas au point de devenir mielleux car il reste lui même et ne connaît pas la timidité, ou plus depuis longtemps. Il aime donner des marques d'affections, si possible de façons originales car le temps fait que certaines ont perdu de leur superbe à ses yeux. Ainsi c'est un mâle remarquable au logis, un amant intègre qui ne rampe pas devant sa compagne et ne se prive pas de lui donner ses quatre vérités lorsqu'elle semble oublier que certaines choses ne se font pas, comme le chantage.
Sous ses airs de baroudeurs coupe-jarrets il laisse un coeur battre. Même s'il ne le montre pas, s'il laisse l'autre choisir ce qu'elle veut quand elle veut pour les attentions, il ne faut pas croire qu'il soit indifférent. Mwold a simplement un peu de mal à demander lui même de l'affection. C'est quelque chose qui ne se fait pas dans son imaginaire. Un câlin par exemple, il accepte qu'on le lui demande mais ne fera pas la démarche inverse, c'est une sorte de blocage qui donne l'impression qu'il est frigide alors qu'il aime tout autant que n'importe qui enlacer l'être aimé.
Ceci dit, il ne faut pas s'y tromper, Mwold n'est pas une guimauve se répendant en sirop coloré dès qu'on le touche. Ses griffes, ses crocs, ses muscles et la vigueur de l'animal dont il possède certaines particularités physiologiques sont présentes aussi. Il aime parfois être rude, laisser parler son côté sauvage, et mordre sans blesser. C'est l'aspect intime de sa personnalité, celui que très peu de personnes connaissent car c'est le jeu qu'il mène avec ses amantes, sans jamais leur faire un mal qu'elle ne désirent pas.

Comme l'a montré l'histoire, et ce à maintes reprises, l'amour est bien l'une des seules forces capable d'engendrer une haine équivalente en force et capable de faire réaliser l'impossible aux individus dont elle se saisit. C'est pourquoi Mwold est quelqu'un d’extrêmement dangereux même s'il se plaît dans le plaisir simple d'une journée tiède en compagnie d'amis ou d'une amante.
Lorsqu'il doit protéger ceux qu'il aime Mwold devient un individu sans pitié, il n'admet que les résultats positifs même si cela lui demande commettre des atrocités. Il fait preuve d'une abnégation qui l'oblige bien souvent à subir des blessure dont il peut mettre longtemps à guérir pour les plus profondes, qu'elles soient physiques ou mentales. Mais il repousse ces douleurs jusqu'à ce que sa tâche soit menée à bien. Sa force de caractère et son mental irréductible l'empêchent de plier dans les situations les plus difficiles. Il aimerait parfois laisser tomber, simplement tourner le dos à ce qui fait son devoir, mais il ne le peut pas, c'est dans sa nature de ne pas se dérober et même si cela lui joue des tour il ne changera pas. La haine ne fait toutefois pas de lui une bête sans cervelle. Il est puissant, ses muscles le sont, ses techniques le sont, son mental l'est. Pourquoi aurait-il besoin d'une rage aveugle alors que combiner l'ensemble de ses forces fait de lui un individu suffisamment redoutable pour que certains abandonnent la partie rien qu'en apprenant à qui ils ont affaire. Ce sang froid lui vaut effectivement la réputation de rendre sa rencontre mortelle lorsqu'elle se fait dans le conflit.




Physique



J'aime ton corps. Je sais c'est un peu direct dit comme ça et je passe pour une écervelée mais je l'aime plus qu'avec une phrase de quatre mots. Je l'aime pour des raisons évidentes, et d'autres plus subtiles dont il convient de prendre le temps pour les observer.

Tout d'abord ta taille, elle est changeante je le sais, mais celle que tu me réserves pour nos jours paisibles, ton mètre quatre-vingt-cinq, me permet de nicher ma tête juste contre ta clavicule en posant le menton sur ton épaule. Ta fourrure est douce, tiède et épaisse sans être drue, perdre mes mains dedans est un plaisir dont je me passerais difficilement. C'est sous ta toison que se trouve mon trésor, ton corps lui même, ta peau, tes muscles sec, noueux, mais délassées et souples. J'aime les sentir jouer sous mes doigts, déformer ta peau en courbes lisses qui se suivent pour former ton anatomie puissante et athlétique. Mais cela reste encore trop peu, il y a tant à dire…

Je commencerais par tes yeux, après tout ce sont eux qui me captivent le plus, cela et tes oreilles. Tes yeux sont de glace, des plaines ou un ciel. Je vois parfois danser des lumières en leur sein qui et me remémore celles du grand Nord, se tordant dans l'abîme stellaire. Ils renferment eux aussi cette peine infinie, la même qui empêchait les aurores boréales de ne rester calmes et de ne pas onduler perpétuellement comme pour fuir un mal permanent. Parfois ils se perdent dans le vide, ta prunelle reste là, immobile, les iris l'entourant conservant cette aspect gelé qui transperce l'air et t'emmène ailleurs. J'aimerais savoir quel monde tu vois, ce que tu ressens, ce dont tu te souviens. Mes tes yeux sont les seuls à parler et ils ne donnent pas de mots, seulement la sensation qu'il me faut te prendre contre moi pour les consoler et raviver leur lumière, leur faire recouvrer cette énergie paisible et sans tourment d'un ciel sans nuages. Tes yeux sont ce qu'il y a de plus beau et d'intimes sur toi, ils sont un reflet de ton âme, de ses joies, de ses peines, ses amours et… ses rages indicibles. Tu me terrifies quand ils prennent la dureté d'une lame. Ils transpercent alors tout ce qu'il rencontre et il me semble n'être rien, rien d'autre qu'un corps que tu pourrait briser. Mais ils m'enflamment aussi quand tu les poses sur moi avec la chaleur de flammes bleues dans le regard. Pour cela, j'aime tes yeux. Ils n'ont que peu d'équivalents, dont l'un en la personne de tes oreilles.
Les deux cônes jaillissent de la fourrure en bataille de ton crâne, comme des phares dans la tourmente, ou des tours hors de la jungle. Elles sont larges, très légèrement arrondies sur le sommet ce qui les fait sembler un peu pointues de loin, comme les cornes étranges d'un petit diable. J'aime les prendre dans mes mains, sentir leur arrondit me remplir la paume tandis que les doigts se promènent sur leur pourtour, s'enfonçant tendrement dans la fourrure pelucheuse qui les recouvre. Elles sont si agréables, au toucher, au regard, c'est elle qui font de toi ma peluche adorée, derrière tes airs de badine sèche et droite. Je sais que tu aimes que je m'en saisisse, tout comme moi j'adore les regarder osciller sur ton crâne, choisissant sans cesse un meilleur moyen de trahir certaines de tes émotions. Ce sont tes petits démons je le sais, et cela m'amuse encore plus, c'est pour cela que je les chois tant, et aussi parce que tu frémis chaque fois que je les embrasse, une récompense des plus appréciables.
Vient ensuite la fourrure de ta nuque à tes oreilles, cette toison infernale que rien ne calme, combien de fois auras-tu essayé de la coiffer avant d'abandonner pour lui laisser ses vrilles sauvages. J'aime l'appeler ta crinière, digne d'un véritable fauve, description qui te va d'ailleurs comme un gant par certains aspects. La fourrure est douce, je peux y enfoncer mes mains sans que tu ne les sentes sur ta peau tant la toison est épaisse. Cela m'amuse beaucoup, je me demande parfois combien de loup il y a sous tout ce poil. Sa couleur entre le noir charbonneux et la cendre convient parfaitement à ton front et ton museau qui se trouvent dans la continuité des mèches tombantes, lesquels ajoutent au mystère de ton regard en le cachant en partie.
Sous les pics anarchiques de ta chevelure une ligne droite trace son chemin jusqu'à la gemme volcanique de ta truffe. Noire comme le verre volcanique elle décore merveilleusement bien ton museau fin, ni trop long ni trop court, juste comme il faut pour que mes mains s'en saisissent et le cajole avant que je t'embrasse. Cette truffe aussi fait partie de mes petites favorites quant aux parts de ton corps. Elle palpite, se loge dans mon cou, glisse contre ma joue et dispense son souffle comme ses inspirations plaisantes sur mon corps, une attention que j'apprécie car je sens tes sentiments au plus près de mon corps, tout en tendresse malgré la raideur de tes muscles par moments lorsque tu m'étreins.
Juste sous cette ligne ponctuée de ta truffe se trouve le reste de ton museau. La fourrure y est d'un blanc légèrement grisé, plus doux qu'un blanc trop éclatant. Et derrière cette apparence de peluche je sais qu'une gueule emplie de crocs qui pourraient me déchirer en un claquement de mâchoires se cache. Des crocs blancs et aiguisés, fait pour trancher, se planter et tuer. Mais je n'ai pas peur de cela, je sais que tu réserves ce sort à ceux qui le méritent, à ceux qui me voudraient du mal, moi je suis aussi ta peluche, juste retour des choses.

Le reste de ton corps a son charme lui aussi, au moins autant que ta tête avec ses gemmes turquoises et ses deux excroissances pivotantes. Je passes sur ton cou et ta nuque où la fourrure bouffante reflue peu à peu pour se changer en pelage lisse, du même blanc gris que le dessous de ton museau, ponctué de marques plus sombres.
Ce que j'apprécie le plus commence par le passage de mes mains sur tes épaules. La fourrure y est encore un peu plus épaisse que sur le reste de ton corps mais sans que cela soit excessif. Je peux entortiller mes doigts dedans, le temps de m'agripper à toi, les muscles durs sous mes mains me laissant imaginer combien il te serait aisé de me soulever. Mes mains descendant ensuite, les paumes s'appliquant à plat contre ton corps, se plaçant sur les pectoraux fermes, mes doigts en dessinant les courbes agréables, remontant pour longer le contour des marques sur ta fourrure, passant sur ton sternum pour poursuivre. Je descends encore et rencontre ton ventre plat, sous la fourrure il y a ta peau chaude, sous elle la dureté de tes abdominaux. Ils ne sont pas vulgaires, pas agressifs comme ceux de ces veaux qui se tuent à la tâche pour les faire ressortir, comme s'il suffisait d'être une bête de concours pour être beau. Non, les tiens forment simplement un arc de cercle doux au sommet de la ceinture abdominale, puis il descendent le long de ton ventre, je les suis alors, les mains sur tes hanches, j'en profite pour me plaquer contre toi et sentir ce corps robuste que se presse au mien. Mes mains peuvent alors remonter, suivre les vertèbres de ton dos, sentir la fermeté de ton anatomie pendant que tu te penches sur moi et m'enlace. Il est si bon de se savoir en sécurité avec toi, de tenir un corps qui, sans être hypertrophié dans sa musculature, dégage une aura de force et de puissance au repos.
Pendant ce temps ce sont tes bras qui m’enlacent, qui me ceignent le corps de la poitrine aux reins où reposent tes mains. Tes doigts qui plongent dans ma fourrure et tes biceps qui saillent contre ma toison, pressant le poil contre ma peau dans une étreinte chaleureuse. Tu éveilles mon sang lorsque les muscles se manifestent, puissants, souples mais fermes. Il est si tentant de t'agacer pour que tu me soulèves du sol, une fois de plus, que tu me tiennes contre toi sans me laisser le choix, tout en sachant que j'aime ça.

Pour ma part je laisse alors mes paumes tomber. Après avoir rencontré ta nuque elles chutent inexorablement dans ton dos jusqu'à rencontrer tes reins. Mes doigts entortillent alors ta fourrure, apprécient sa douceur, son épaisseur… Puis je me saisit de ton postérieur tout aussi agréable, ferme et tentateur. Il remplit mes paumes, laisse mes doigts imprimer leur marque sans être mou comme une baudruche pleine d'eau. Je ne nierais pas apprécier son contact, il ressemble au reste de ton corps, robuste et ferme, mais garde dans l'impression qu'il laisse à mes mains un quelque chose de lascif qui me fait soupirer lorsque je l'éprouve. Les muscles de tes reins se raidissent alors légèrement, tes fesses suivent le mouvements et se fortifient, je rêve à ces nuits avec toi, puis je cesse de jouer et reporte mon attention sur ta queue.
Elle jaillit de ton dos, insolente et fière. C'est une chaîne de vertèbres hautaines cachées sous une masse de fourrure qui adoucit leur morgue. Chaque mouvement que tu fais avec elle est empreint d'une certaine majesté, d'un quelque chose de moqueur et de paisible à la fois. Je ne peux m'empêcher de sentir dans ses ondulations la quiétude indifférente de celui qui se sait à l'abri des mots de ce monde, un être à part qui le manifeste sans vraiment le vouloir. Cette peluche dans ton dos c'est aussi un peu ton esprit qui transparaît depuis l'énigme de tes pensées. S'il est difficile de savoir comment tu es là haut je le devine aisément en observant les mouvements de ta queue, elle possède sa propre pensée mais aussi tes réflexes, tes manières, ton côté espiègle et ta vantardise. Elle est un peu tout de toi, et si peu à la foi, mais je l'aime pour cela, et parce que tu ne veux pas le cacher, tu laisses cette part de toi visible, tu veux que d'autres la remarque, d'autres comme moi, qui te prendront dans leurs bras et que tu accepteras.




Histoire



Création :

Au commencement les dieux formèrent l'univers à leur image. Infini et gorgé d'une puissance qu'eux seuls pouvaient comprendre et manipuler. La matière n'était alors qu'un flux bouillonnant. Sa noirceur était celle du vide, son éclat celui des éclairs de puissance jaillissant sans prévenir des tréfonds du néant.
Les dieux domptèrent ces flots furieux. Ils donnèrent un sens à leur rage, tempérèrent leur puissance, et édifièrent des cages terrestres au sein desquelles les enfermer. Une cage par dieu. Une cage pour sa puissance, pour que jamais son pouvoir ne se déchaîne sur le monde naissant.

Armond fut le premier et le plus grand. De lui vint l'imagination, la créativité et la force du travailleur. Il est maître des artisans, des rois et des avatars. Les autres dieux baissent la tête sur son passage. Il créa Realya, la parfaite.

Démetth, dieu protecteur, décida d'offrir au monde de son aîné un équivalent qui le protégerait ds futurs troublant la trame de l'avenir. Ses yeux aveuglent rencontrèrent les horreurs que le Voleur commettrait et il amassa les forces de la création pour créer Ithlos, l’inébranlable, monde des protecteurs. De part ses attributs Démetth est dieu de la force d'âme, de la puissance physique et de la croyance inaltérable. Il est le plus constant de tous et ses frères louent son intégrité.

Arcléthos, l'ambitieux, ne pouvait laisser ses deux frères mener seuls la barque. Sa nature le vouait à désirer toujours plus, à vouloir regarder les plus puissants de haut et s'asseoir sur le trône tandis qu'ils resteraient sur les marches. Il façonna un monde à son image, un monde pour les plus grand, un monde pour supplanter les autres, un monde vers lequel les regards ne pourraient que se tourner avec admiration. Il édifia Boerrha, la géante. Une planète si imposante qu'elle fit chavirer la trame de l'univers et força les autres dieux à réagir dans l'instant. Face à cette force et cette démesure les frères d'Arclèthos se souvinrent de le craindre.

Glops'Sôs, le radieux, ouvrit son coeur aux peines de la création et se consuma pour les apaiser. Son immolation devait sauver la création tout juste née. Ses frères témoignèrent leur reconnaissance en le ramenant à la vie. Dès lors il brûlerait pour l'éternité en sa demeure du soleil. C'est sa planète à lui, l'astre géant, le rival d'Arcléthos qui ne pourra jamais créer masse plus monstrueuse que le magma bouillonnant du soleil. Par sa grandeur d'âme Glops'Sôs devint le guide des égarés, le maître de la paix, et le gardiens des douleurs de l'univers. Aucun mal ne lui échappe, son feu purificateur peut toutes les consumer. Face à lui, les autres dieux se sentent invincibles.

Vikma, l'amoureuse, contempla les créations de ses frères. Elle leur trouva des accents de guerre, de pleurs et de peines à venir. Son coeur aimant n'étant fait que pour les joies elle décida de se retirer et de laisser à chacun d'eux un morceau d'elle plutôt que de créer son propre monde. En se sacrifiant pour le bien de tous elle fut élevée dans les cieux par Glops'Sôs que le geste toucha plus qu'aucun autre. Elle est Lune dans le ciel de chaque monde, la nuit est son royaume, celui des amants et du pardon. Elle est passion et calme, la guide des couples comme des âmes en peine. Les frères de Vikma la respectent tous, ils s'agenouillent sur son passage et courbent l'échine pour recevoir son amour.

Le dernier dieu ne possède ni nom ni description. Il est celui que ses frères ont oublié. Il est la part d'ombre en chaque être, ses pareils comme la roche, les créations vivantes de ses aînés comme l'eau et l'air. Il est ombre, il est vide, il est secret et mystère. Beaucoup de légendes existent à son sujet, on dit que certains individus ont déjà croisé sa route, qu'ils ont été perdus à ce moment là, que d'autres se sont rendus chez lui, mais que personne ne les a vu revenir. Il est le plus craint de tous les dieux, on ne l'évoque que rarement car personne ne sait comment il pourrait réagir. Les dieux eux même dans leur gouvernance du monde prennent soin de ne pas l'attirer, car ils ne savent pas de quoi il est capable. Tous, dieux, éléments, créatures mortelles, vivent dans la crainte de cette présence impalpable.


Archives du protectorat :

Instructions du Divin. Chapitre Premier, Verset de la Crainte.

Démetth, créateur du Rempart, seigneur des protecteur, chef de l'église du protectorat, père de tous les boucliers et frère du Premier. Son premier commandement est de ne plier que devant la mort, car toute vie connaît une fin. Le second de refuser le premier car toute vie doit rester vigoureuse. Le dernier, de traquer et de détruire le Voleur, au péril des trois mondes s'il le faut.

Le Protecteur nous assura sa venu, mais même pour lui l'avenir reste une toile inextricable qu'il convient de ne point trop fouiller de crainte de la déchirer. Les textes saints ne permettent pas d'en savoir plus sur cette créature infâme que ses caractéristiques les plus importantes. Ce sera un être vil, capable de se dissimuler parmi les plus fervents de part son esprit retors. Un individu remplit de haine et d'une rage froide capable geler Le Radieux dans son ciel de feu. Ses motivations se borneront à la destruction de la création du Primarque et la mort du Divin, Père de tous et Seigneur incontesté des dieux. Une telle calamité plongerait l'univers dans une dérive insondable, les horreurs que les dieux tiennent loin de nous fondraient sur les mondes pour les ravager en quelques jours.
Mais Démetth est bon, Démetth veille et protège, Démetth nous instruit. Frères, défiez-vous de tous, le Voleur pourrait bien être vous.


Chroniques de la Traque. Chapitre Premier, Harangue des Légions.

Le Seigneur Protecteur veille mes frères ! De la grandeur de son âme résulte notre force, aussi lui devons-nous tout ! Cette nuit, ses messagers me sont apparus. Des êtres de fois et de lumière, venus d'un monde futur ils nous préviennent une fois de plus de l'être haït. Le Voleur ! Son avènement se rapproche chaque jour passé sans le découvrir ! Il menace notre terre, celle de la justice divine ! CECI NE PEUT ÊTRE TOLERE ! Mes frères ! Le Protecteur ordonne une traque ! Depuis toujours nous nous préparons à protéger les mondes face au mal qui les menace dans l'ombre ! Cet être infâme ! Ce démon sans âme ! Il émergera de la boue des damnés pour ravager sur son passage aussi bien la terre que les corps et les esprits ! Nous sommes les protecteurs, nous sommes le Rempart ! Nous le vaincrons pour servir le Primarque ! Jusqu'à la mort mes frère ! La bénédiction du Protecteur nous suivra jusque dans la mort et nous ne connaîtrons ni crainte ni compassion !


Éveil :

Où je suis ?
Mes yeux s'ouvrent lentement, je crois. Du noir, partout, seulement du noir, encore, comme si les couleurs n'existaient plus… Peut être que c'est cela la mort… L'air semble lourd, j'ai du mal à le respirer, il est comme du sirop qui refuserait d'investir mes poumons.
Avec un grognement je tente de bouger. Mes doigts se meuvent peut être, ou peut être pas, je n'ai aucun moyen de le deviner je ne les vois pas. Avec un soupir résigné, qui me coûte le peu d'air que je possède, je laisse aller ce corps insensible que je crois posséder. Qui sait si j'ai seulement un corps ? Cela expliquerait pourquoi j'ai tant de mal à respirer, il faut des poumons pour ça, est-ce que j'en ai ?
Je tente de me souvenir, est-ce que j'ai un corps, est-ce que… Oh, je vois… Mais pourquoi ai-je fait cela déjà ? Je ne me souviens plus…

Sommeï était une simple bergère, doublée d'une tisseuse au talent suffisant pour filer la laine de ses détuns. Les animaux au ventre rond paissaient autour d'elle, les gardes troupeaux vaquant à leurs occupations sans prêter attention à la bergère plus que quelques instants lorsque leur ronde passait près d'elle. Sommeï leur passait alors une main sur le bec, leur offrant un peu de douceur avant qu'ils ne repartent. Les attaques restaient rares mais les plaies cicatrisées de certains gardiens montraient bien qu'elles existaient, à sa façon la dame les consolait avec la chaleur de son coeur.
Sommeï avait toujours ressentit cet amour pour les créatures de tous genres. Pour elle, ce qui a un coeur ou un esprit ne doit pas être négligé, personne ne devrait l'être. C'est pour cela qu'elle suivait fidèlement le culte de Glops'Sôs, le maître guérisseur. Fut un temps où elle officiait dans ses temples, entretenant les sols, les murs et les idoles. Elle s'assurait que l'encens des fidèles ne soit pas oublié dans une remise humide, que les offrandes se consument sans enfumer les lieux de prière, et que les peines les plus violentes trouvent une épaule contre laquelle pleurer. Mais tout cela c'était avant qu'elle le rencontre, celui qui avait changé sa vie.

Il se nommait Merim. C'était un instructeur combattant, il venait rarement au temple du Radieux, lui préférant le Protecteur. Chaque jour, ses frères et lui passaient devant le parvis de Glops'Sôs sans s'arrêter, la plupart ne prenait même pas la peine de regarde les marches guidant jusqu'à l'entrée. Pour les protecteur seuls importent le Second, frère protecteur d'Armond, et Armond lui même, le Primarque.
Mais parmi ces groupes d'aveugles illuminés par la bénédiction de leur dieu se trouvaient quelques voyants. Ceux ci regardaient alors, avec leurs propres yeux, la lumière des six sans en omettre aucun, sauf peut être le dernier, celui dont il ne faut pas évoquer l'existence. Parmi ces voyants, certains passaient le pallier du temple Radieux, car Glops'Sôs, même s'il ne prône pas la protection par l'abnégation totale de ses propres intérêts, couve le monde d'un regard triste. Il accepte en son corps éternellement meurtrit les blessures de tous, et trouve dans son corps la bonté de pardonner et d'apaiser.
Merim faisait partit de ces voyants. Bien qu'entièrement dévoué au Protecteur comme à son institution il se permettait un regard respectueux sur le divin dans son intégralité. La nuit, il pendait son triangle au dessus du lit, comme tous ceux qui acceptent la crainte du Dernier, de l'Inconnu, et il priait ses frères de le préserver.

Un jour qu'il était rentré dans le temple, portant une tige à brûler parfumée et un fruit mûr, il avait trouvé Sommeï debout devant l'autel principale. Une femme pleurait, le visage dans son giron, et la demoiselle lui caressait le dos d'une main, murmurant des paroles de réconfort et lui assurant que le Radieux la regardait et la comprenait. Elle répétait les enseignements de son ordre, mais quelque chose en elle leur donnait des accents plus sincères qu'à l'accoutumé. Le peuple comme les dirigeants connaissent les serviteurs de Lumineux tant pour leurs talents de guérisseurs que leur empathie supérieure. Toutefois, tous les serviteurs de Glops'Sôs ne savent pas transmettre sa parole avec cette compassion véritable, apaisante, en laquelle la confiance se place sans poser de question.
Il ne les dérangea pas et pria auprès d'une idole moins importante et générale. Plus tard, lorsqu'il se préparait à quitter le temple, la voix de la jeune femme l'apostropha dans son dos. Elle s'excusa d'interrompre son recueillement et lui proposa son aide s'il avait besoin de quoi que ce soit. Comme il ne connaissait les dogmes du Radieux que de loin, à l'image de la population de la planète, elle l'instruit rapidement sur les usages et lui assura qu'il serait toujours entendu par le dieu même s'il ne les respectait pas. Un être prêt à se sacrifier pour un monde tout juste né ne détourne pas son regard des créature pleine d'avenir parcourant désormais les mondes. Telle est la nature du Lumineux.
La Lune se levait lorsqu'il se quittèrent, lui en la remerciant de sa sollicitude et de son aide, elle en lui assurant que son dieu accueillerait toujours tous ceux le désirant dans son temple.
Le lendemain il se présentait à nouveau.

C'est étrange… je ne me souviens pas de ma mère, je ne vois pas plus son visage que je n'entends sa voix, pourtant je suis certain d'avoir tenu à elle. Je n'ai pas été abandonné, je l'aimais et elle m'aimait. Pourtant tout est noir après cette histoire qu'elle m'a raconté, comment ils se sont connus avec mon père. Je voudrais en voir plus, je voudrais des images, des couleurs, des voix et du bruit, des odeurs et le toucher.
Mais ici il n'y a rien, strictement plus rien. Je ne sens toujours pas mes doigts, impossible de savoir s'ils existent, s'ils peuvent bouger où si je ne suis plus qu'un esprit dans le vide de la mort. En y réfléchissant ce n'est pas bien grave. Il ne faut guère plus qu'un esprit pour être, là où cela devient problématique c'est que je suis certain d'avoir possédé un corps. Comment je n'en sais rien, mais fut un temps où j'étais de chair et de sang… Peut être que je m'en rappellerais plus tard. Pour le moment je suis fatigué, que je doive fermer les paupières ou non l'obscurité m'appelle… Je me souviendrai plus tard…


Archives du protectorat :

Chroniques de la Traque. Livre Premier, Étude des rapports du premier cycle de croisade.
Faussmir, Premier Général, Guide des Protecteurs, Serviteurs du Divin, Bouclier des Mondes, atteste de la véracité des faits rapportés.
Durant le cycle passé aucune trace du Voleur n'a été découverte. Les Protecteurs ne peuvent avoir manqué son apparition. Leur sensibilité -bénit soit Démetth pour son don- au mal déjà aiguisée de longue date par leur entraînement et décuplée par le Seigneur s'est trouvée exacerbée du fait de la tâche cruciale à accomplir. Les trois mondes ont été fouillés, des émissaires envoyés aux Dieux -agenouillons nous dans leur lumière- afin de les prier pour guider notre mission sacrée.
De nombreuses plaintes ont été envoyées depuis les autres mondes. Moins nombreuses sont celles venues d'Ithlos, car le peuple respecte la sagesse de Démetth, craint son jugement et acclame sa clairvoyance. Realya et Borreah refusent cependant d'accepter l'égide du Protecteur. Le Primarque a ordonné à ses prêtres de rassurer le peuple et des émissaires nous sont parvenus avec les plaintes méritant d'être observée. De Borreah provient le comportement le plus inacceptable.
Sur cette terre de déments les hérétiques pullulent - Démetth nous préserve de leur folie. Non contents de manquer au respect dût aux serviteurs du Bouclier ils entravent leur progression. Ce monde ci est le plus dangereux, le Voleur pourrait être mort, mais il pourrait être dans leurs rangs, caché dans cette populace vicieuse – le Radieux les pardonne en notre nom – à attendre l'opportunité fatale. Il est primordial de s'assurer que le mal soit purgé – le nom de Démetth sera entendu de tous – afin que la crainte s'apaise dans les ultimes soubresauts de vie s'échappant du cadavre du profanateur de paix.
Les Protecteurs ont reçut l'ordre, par le conseil du Protectora, par Démetth le Bouclier des Monde, et par le Primarque – divin des divins – Armond d'exécuter sans faillir les rebelles. Le Radieux nous pardonne, nous protégerons les mondes par la perte de quelques vies aveugles de la sagesse des Dieux.
Démetth veille, mes frères, nous sommes son égide sur les trois mondes.



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Stanislav Anodrac

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MessageSujet: Re: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. EmptyVen 22 Juil - 4:31

Bienvenue, toussa toussa!

Bonne chance pour la fiche et au plaisir de peut-être se croiser en rp...
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Mwold Cynthia

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MessageSujet: Re: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. EmptyMer 10 Aoû - 0:23

'3'
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MessageSujet: Re: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. EmptySam 27 Aoû - 18:35

Coucou et re-bienvenue !
Ta fiche est terminée ? =o
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Cendres

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MessageSujet: Re: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. EmptyMer 26 Oct - 17:58

Pas de réponse, je déplace, fais signe si tu veux la récupérer Wink
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MessageSujet: Re: Mwold Cynthia, machinateur séculaire.   Mwold Cynthia, machinateur séculaire. Empty

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