Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto
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Sujet: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto Dim 28 Juin - 20:49
Arto
Fiche d'identité.
Pseudo : Arto (a abandonné son ancien nom) Provenance : inventé (avatar inventé et dessiné soi-même) Sexe : masculin Age : a oublié (environ 20 ans)
Mental
Arto est un chevalier, un vrai. Il va secourir les gens dans le besoin, il terrasse les monstres, sauve les dames en détresses et aide les vieilles dames à traverser la route...Naaaah je te fais marcher! Arto possède le titre, l'armure et l'épée mais n'a rien de chevaleresque. L'honneur? ça n'a sauvé personne et si ça arrive on appelle ça la "chance". Loyauté? C'est sacrément à la mode ce terme dis-donc! Oh tant qu'il a une bonne raison il ne retournera pas sa veste...sauf si ce serait dans son intérêt. Arto est mercenaire avec toute la logique allant de pair. Il n'est pas là pour jouer les péteux avec de belles paroles, une armure brillante en hurlant justice à tous les coins de rue. Ce qui compte c'est sa personne, lui, son égo et son amour propre. Quand il voit une opportunité il la saisit, quitte à tricher sur tous les plans. Son comportement n'arrange rien. Insolent, sarcastique, vulgaire, nonchalant comme personne et authentique fainéant du cerveau, cet homme a toutes les qualités pour être le mouton noir de sa caste (et il l'est).
S'il ne travaille pas, c'est sûrement qu'il se la coule douce à la taverne/bar du coin à picoler en faisant des blagues vaseuses sur vos mamans...s'il n'est pas entrain de courir après le premier jupon venu. Tentez d'être sérieux, monologuez ou expliquez-lui quelque chose et il sera déjà entrain de se curer le nez ou à jouer au morpion tout seul par terre. C'est pareil quand il faut passer à l'action. A moins que le danger n'attise son intérêt, il risque de ne pas faire de véritables efforts. Il est un prodige, il le sait et aime jouer avec cette supposé supériorité. La plupart du temps, il ne sortira même pas la lame du fourreau en plein combat. On l'aura compris, Arto n'en fait qu'à sa tête. Quand ça ne l'intéresse pas, il se contentera d'agir en marge des autres. On ne peut même pas le secouer en le mettant aux affres de la mort. C'est à croire qu'il a perdu tout instinct de survie (ou qu'il soit terriblement inconscient). Le seul moyen de le sortir de sa torpeur c'est le frisson de la difficulté, faire face à plus grand que soi et en ressortir vainqueur (ou pas). Qu'on le surprenne, qu'on se distingue du reste. Au moins ça occupe.
Mais alors est-ce juste cela qui le motive? Est-il un simple ovni sorti d'un vortex? Lui est-il arrivé d'avoir été plus qu'un p'tit con? La véritable question serait plutôt: En est-il seulement un dans le fond? C'est là qu'Arto peut surprendre. Malgré tous ses défauts, le chevalier dispose d'un sang-froid, d'un pragmatisme (mercenaire oblige) et d'une intelligence qu'on ne lui soupçonnerait pas. Il possède une faculté de déduction étonnante et peut énoncer point par point son environnement, vous compris. On peut dire que cela va de pair avec sa vision terriblement terre à terre des choses. Ces moments de sérieux, cela peut lui arriver aussi vite que cela part. L'espoir c'est comme croire aux légendes, la réalité frappe toujours à la fin et elle ne te rate pas. Ca, Arto a eu trop souvent l'occasion de le voir. Oh à une époque il était chevalier sur (presque) tous les plans. Travailleur, fier, fidèle, intègre, typiquement l'homme sans peurs et sans reproches. Il était déjà assez "particulier" mais tout de même. La justice, la paix, l'amour et tout le tralala il y croyait. D'ailleurs, cela peut sembler étrange mais s'il y a bien une chose qu'Arto hait plus que tout au monde...c'est son épée. C'est à cause d'elle que tout a viré au désastre. Si elle n'avait pas croisée sa route les choses se seraient bien mieux déroulés. S'il est ce qu'il est désormais, c'est forcément par la faute de celle-ci et certainement pas parce qu'il a lâché prise, pas vrai?
Physique
L'allure du chevalier est à l'image de sa personne: marginale. D'un scalpe noir mi- long tombant à la nuque, les cheveux sont à peine gominé laissant le tout plus en pétard qu'autre chose. Sa chevelure a tendance à être plus épaisse du côté gauche au point de donner une impression de mèche extrêmement négligé. Son œil droit noisette est assombri par les cernes. Quand à celui de gauche, il n'y a plus qu'un cache-œil masquant un globe transpercé par un bout de métal et une belle marque de brûlure. Si le plus gros morceau a pu être enlevé, un fragment est encore là-dedans car trop dangereux à retirer. On en rajoute une couche? Le visage et le corps d'Arto sont parsemés de cicatrices plus ou moins discrète suite à de nombreux combats (ou des éclats de bouteilles). Pourtant, son visage possède des traits fins malgré des joues légèrement creuse et un nez cassé. Il pourrait presque être beau gosse. Hey ça aurait pu être pire! Vous aurez imaginez si c'était un rondouillard à mono sourcil? Et oui, il faut se satisfaire du nécessaire. Et les cicatrices, y en a que ça attire.
En parlant de rondouillard, Arto en représente l'antithèse. C'est après cinq années passés en formation militaire puis quatre autres encore plus épuisantes que le corps d'Arto s'est formé pour en faire ce qu'il est aujourd'hui. Silhouette svelte, large d'épaules, peau pâle, 1m71 (oui bon on est pas tous parfait) pour 63kg et constitution athlétique exceptionnelle ne sont que les traits premiers de son corps. Arto n'a pas de pouvoirs à proprement parler mais il compense par ses aptitudes physiques exceptionnelles. Plus fort, plus résistant et plus agile que la moyenne, difficile de savoir s'il a atteint les limites humaine ou s'il les dépasse. Toujours est-il que cela est suffisant pour se mouvoir en armure ou manier son arme sans d'encombrements. D'ailleurs quand on parle du loup...
Plastron constitué de plusieurs bandes d'aciers montant de la ceinture jusqu'au plexus. La première épaulière sur l'épaule droite a été forgée pour finir comme une pointe de lance avec les contours tranchants. La seconde épaulière, plus classique, couvre l'épaule et l'articulation dans un but purement défensif. Son bras gauche est couvert jusqu'au coude d'un gigantesque gantelet d'acier trempé. Le pouce a été taillé en pointe. Le bras droit, plus conventionnel, est un simple gantelet de cuir avec deux plaques de fers sur l'avant bras et le dos de la main. Ceci allant avec un protège-coude de fer. En dehors du torse, il dispose d'une ceinture de fer montant juste en-dessous du nombril. Trois plaques d'armures attachées sur chaques cotés recouvrent les hanches. Pour ce qui est des jambes, ce sont des jambières (évidemment) massives montant jusqu’aux genoux. Chacune protégeant avant tout l'avant et le mollet. Des genouillères sont également attachées au sommet des jambières. En dessous de cette cuirasse se trouve une simple chemise de cuir aux manches bouffi en tissu blanc (s'ils n'étaient pas aussi abimés) ainsi qu'un pantalon particulièrement épais renforcé par des bandelettes de cuirs pour défendre les cuisses non protégées par l'armure. Rien d'exceptionnel cela dit.
Arto possède une vieille écharpe. Enroulé autour de son cou, chaque extrémités se trouve sur une épaule et tombe jusqu'aux genoux. Elle est vieille, usée et peu pratique. Malgré tout, Arto s'accroche à celle-ci plus que tous ses autres biens et a vite tendance à perdre son sang-froid quand on y touche. Et pour le final, son arme de prédilection malgré lui. "L'épée dans l'enclume", est une épée (logique) à une main de la taille d'une claymore (moins logique) constamment rangée dans son fourreau quoiqu'il arrive. Seule la poigne forgée dans un métal doré inconnu et la fusée en tissu noir sont visibles. Ce même fourreau a la particularité d'être en acier et affuté sur les côtés comme s'il s'agissait d'une lame par-dessus une lame. Une manière de se battre sans avoir à réellement utiliser une arme qu'il déteste. Après tout, quoi qu’il fasse, l'épée reviendra toujours à lui alors...
Et vous ?
Prénom : It was I, Dio! Âge : 21 balais pour laver ton âme Loisir : se faire arrêter en état de sobriété et dessiner Comment avez vous découvert ce forum ? Une alien à la peau rouge m'a menacé avec un flingue Avez-vous lu le règlement ? Non d'ailleurs je suis aveugle et j'utilise mes sens de sorceleur pour écrire
Dernière édition par Arto le Ven 10 Juil - 0:22, édité 6 fois
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Sujet: Re: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto Lun 6 Juil - 19:42
Arto
Suite de la fiche
Genèse:
"A l'aube des temps, tout n'était rien mais vint alors une lumière sans pareille mesure nommée Cosmos. De sa seule lumière, elle transforma le rien en tout et créa, ainsi vinrent les cieux.
Des cieux naquirent les "éclats". Ces dernières se mirent à suivre alors les traces de Cosmos et créèrent, ainsi vint la terre. A son tour, la terre créa, ainsi vinrent les quatre éléments. De ses éléments vint la vie.
Les premiers à vivre furent les dragons puis les elfes et enfin les orcs. Tous furent immortels. Avec le temps, les vivants bâtirent des maisons puis des outils.
Vint un jour où Caledfwlch, un jeune dragon dévoré par l'ambition, chercha à réduire sous ses ordres toute forme de vie sur terre. Ceux qui le rejoignirent furent corrompus et transformés en monstres qu'on baptisa "Démon". Petit à petit, la soif de conquête de Caledfwlch le poussa à vouloir s'en prendre au Cosmos. Courroucé par le dragon, les "éclats" descendirent des cieux pour porter secours aux vivants, ainsi vint le savoir.
De ce savoir, vivants et "éclats" créèrent l'enclume. De cette enclume fut forgée une épée qui reviendrait au plus grand des vivants. Dragons, elfes et orcs se disputèrent le droit sur l'arme. Dans leurs sagesse infinie, les "éclats" usèrent alors de la forge pour concevoir la forme de vie ultime. Puissant comme le dragon, intelligent comme l'elfe, grand comme l'orc, juste comme les "éclats" et pourtant mortel. Ainsi vint l'homme.
Epée à la main et guidant les autres races, l'homme repoussa les impies jusqu'à décapiter Caledfwlch. Le danger écarté, les "éclats" s'apprêtèrent à retourner dans les cieux. En récompense pour son exploit, les "éclats" accordèrent à l'homme le droit de régner sur la vie. Ainsi vint Uther, premier des rois."
Livre créationiste de propagande humaine ~"Histoire du monde"
~Chronologie du monde:
-date inconnue: -Uther exile les démons restants dans l'enclume. Uther place le sceau de l'enclume sur son épée. Unification des quatres grandes nations par Uther premier. Début du royaume d'Avalon. Fondation de la chevalerie. -an 0 : Mort d'Uther, premier roi et humain. -6 mois a.u. : naissance d'Uther II. Identitée de la mère inconnue. -28 ans a.u. : Uther II entre en guerre avec les dragons. -40 ans a.u. : Uther III remporte la guerre. Extinction de la race draconnique. Au fil d'unions entre races, l'immortalité et les capacitées humaines disparaissent sauf pour la lignée royale. -50 ans a.u. : Mort d'Uther III. Le trône reste vacant. L'épée royale est remise dans l'enclume, retirable uniquement par un héritier légitime. Début de la guerre civile. Déclin d'Avalon. L'enclume disparait des documents officiels. -51 ans a.u. : Fin de la guerre civile. Début de la démocratie d'Avalon. -15000 ans a.u. : Découverte de ruines d'origine inconnue. Récupération de reliques et d'un parchemin mentionnant "Exc- - - - -ur". Etudes des reliques. Invention de la poudre à canon. Développement des sciences. Début de la mécanique.
Chapitre I:
Nous sommes en l'an 15089 après Uther. Lord de Pen-Draig, un bourgeois vivant près de la capitale, déambule avec ses servants dans le manoir. Son unique fils de 6 ans, Arthur, a encore su échapper à la surveillance des adultes. Il ne pouvait être dans les jardins, tout le monde aurait pu le voir sur un terrain plat. Impossible qu'il soit en cuisine, la salle était toujours occupée. Mais l'évidence vint au maitre de maison. Pénétrant aussitôt dans son bureau, c'était bel et bien sa progéniture qui s'y trouvait. Ce dernier, avait été découvert sur la cheminée après avoir grimpé sur une table qu'il a lui-même poussé. Ce n'était pas le frisson de l'exploration qui motivait le chérubin mais l'objet suspendu au-dessus de la cheminée. L'épée de la défunte Madame De Pen Draig, jadis membre de la chevalerie. En effet, au grand désarroi de son père, son fils avait une fascination inné pour les fameux garants de la justice et toutes les légendes à leurs sujets. Certes, n'importe quel enfant serait subjugué par ces histoires mais personne ne devait avoir une passion comme celle d'Arthur. Cependant, surprit par l'arrivée soudaine de son père, le garçon tomba en se prenant la pointe de l'épée avant de tomber sur le sol. Se précipitant pour voir son état, lord de Pen Draig constata avec étonnement que non seulement il n'y avait qu'une seule égratignure sur le menton mais aussi une chose étrange. La table que son fils avait sûrement déplacée était bien trop grande pour qu'un enfant aussi jeune la déplace seul. Mais l'heure n'était pas à ça. Ce jour était celui où le jeune Arthur fêtait sa sixième bougie.
Chapitre II:
Pour son anniversaire, le petit Arthur fut emmené au centre-ville pour assister à la fête nationale de la fin de la guerre civile. Pour célébrer cela, de multiples attractions existaient. Des démonstrations d'automates ou de fusils, des spectacles sur les haut-faits durant le conflit, des défilés mais surtout le grand tournoi de la chevalerie. Ce dernier n'est autre qu'une compétition "junior" durant laquelle n'importe quels enfants entre 12 et 14 ans peuvent être inscrits après accord du chef de famille. Les trois finalistes avaient l'immense privilège d'être admit au sein de la grande école de Camelot pour devenir chevalier. Evidemment, tout ce qui intéressait le petit de Pen-Draig, c'était cette fameuse compétition. Peu importe son âge, il voulait devenir chevalier et maintenant! Pourquoi il devait attendre pour combattre les méchants après tout?! Echappant une fois de plus au regard de son père, l'enfant se fraya un chemin dans la foule...en vain. Emporté par les vagues, Arthur s'était perdu dans les ruelles. Mais, alors qu'il devenait désemparé, un étrange événement se présenta dans une rue juste en bas. Deux enfants de son âge courraient à toute vitesse, poursuivis par des adultes hurlant au voleur. Bien-pensant, Arthur se mit sur le rebord et leur tendit la main. Sans vraiment réfléchir, le duo s'y agrippa avant de se faire tirer avec une aisance étonnante. Ni une ni deux, le trio improvisé prit la poudre d'escampette avant de trouver refuge dans une boutique abandonnée. Arthur fit alors la connaissance de Gwyn, un demi-elfe et surtout de Gwenevere, une mi-orc mi- elfe (les demi orcs d'Avalon se distingue d'un humain uniquement par la peau verdâtre et les dents inférieurs légèrement plus grandes). Les deux enfants étaient issus d'un orphelinat et "jouait" à voler des pommes. Malgré quelques différences notables, une solide amitié se forgea entre eux. Gwyn lui donna le diminutif "d'Arto". Mais il se faisait tard et lord de Pen-Draig devait bien évidemment chercher son fils. Le jeune garçon quitta ses amis d'infortune avec la promesse de se voir le plus souvent possible.
Chapitre III:
Presque six ans ont passés, Arthur est désormais un jeune adolescent robuste mais surtout au tempérament de feu. Comme promis, le jeune homme venait régulièrement en visite voir ses deux amis. Cette fois, plutôt que voler sans distinction, les trois compères s'en prenaient aux riches pour donner aux pauvres (sans oublier leurs parts). Si le jour consistait à jouer les robins des bois, le soir, lui, était consacré aux disputes entre père et fils. Quand ce n'était pas à propos de ses "haut-faits" du jour, c'était pour refuser qu'Arthur ne décide de s'inscrire au tournoi annuel. Oh que la flamme de la passion brûlait en lui ou du moins les flammes. S'il cultivait son adoration du monde chevaleresque, une autre surgissait petit à petit: celle du cœur. Si Gwyn était l'ami inséparable, il en était autrement pour Gwenevere. Etait-ce réciproque? Le savait-elle? Le genre de questions qu'on se poserait normalement et pourtant les événements semblaient se dérouler tout seul, et ce, en toute innocence. Son anniversaire et le prochain tournoi approchant, Arthur redoublait d'effort pour convaincre son père de le laisser s'inscrire, en vain. Injustice! Scandait le jeune garçon. Lui et Gwyn avaient d'ores et déjà prévu d'y participer tous les deux. Impossible que l'un y aille sans l'autre. Mais s'il ne pouvait le convaincre, il trouverait le moyen d'y participer. Tout ce qu'il fallait, c'était prendre un papier d'inscription, retourner au bureau de son père, imiter sa signature et partir avec l'épée sur la cheminée.
Durant la nuit juste avant le jour-J, Arthur s'échappa incognito du manoir. Ne pouvant décemment pas attendre dans la rue, il frappa à la fenêtre de Gwyn. Sans surprise, son ami l'hébergea. Au petit matin, les deux compères étaient fin prêts à en découdre. Gwenevere devait alors arriver un peu plus tard pour assister à l'événement. Coup de chance, l'imitation de la signature passa sans véritables soucis. L'absence d'entrainement des garçons se fit sentir instantanément. Mais, si Gwyn devait redoubler d'efforts, Arto semblait surpasser les autres par la force pure. Gwyn aura finalement été battu au quart de final alors qu'Arto put atteindre la finale. Alors que tout se passait "bien", un imprévu qui n'en était pas un arriva. Gwenevere venait tout juste d'arriver à ce moment précis. Ce fut en apprenant sa présence qu'il commit une erreur fatale. Le temps de tourner la tête et celle-ci se prit dans l'épée de son adversaire. Envoyé aux urgences, le vaincu s'était retrouvé avec une profonde entaille du menton jusqu'à la lèvre. Après qu'il récupérait, Arto retrouva ses amis. Après une courte discussion, Gwenevere justifia son retard en lui apportant une écharpe qu'il portera pour les années à venir. Ce genre d'attentions avait eu le don de le calmer. Le goût de la défaite fut amère mais l'un des responsables du tournoi arriva...avec lord de Pen-Draig.
Chapitre IV:
Quand lord de Pen-Draig retrouva son fils, ce fut presque l'aube d'une catastrophe. Colère et déception furent les seuls maitres mots du père d'Arthur. Pour le garçon, c'était fini. Ses efforts allaient forcément être réduits à néant. Seulement, le fameux responsable semblait d'un avis différent. Oui, Arthur avait désobéi. Oui, il avait menti. Oui, il avait perdu en plus de s'être blessé mais l'homme était concerné par plus important. En effet, malgré tout cela, Arthur de Pen-Draig faisait non seulement partie des finalistes mais ce fut surtout les performances physiques du garçon qui attisèrent son attention. Impossible selon lui de laisser filer un élément aussi prometteur. Après un long débat avec le père du prétendant, Arthur de Pen-Draig fut admis à Camelot. A partir de ce jour, la relation père-fils commença à s'effriter lentement.
Quatre années se sont écoulées. Arthur, désormais âgé de 16 ans, figurait désormais parmi les apprentis les plus brillants. Plus fort, plus rapide, plus endurant et vif d'esprit que la moyenne, le prodige apprit chaque leçons avec une aisance déconcertante. A défaut d'être le plus intelligent, le plus cultivé, le plus sérieux ou discipliné, Arthur était tout ce qu'on pouvait espérer d'un chevalier sur le terrain. Loyal, fort, brave et paré à toutes éventualités. Gwyn, de son coté, rejoignit une école militaire à l'étranger dans l'espoir de remplir les rangs d'infanterie. Il fallait dire que le recrutement battait son plein depuis la découverte de ruines semblables à celles trouvées en 15000 a.u. De retour sur le cas d'Arthur, l'apprenti allait enfin passer l'examen final. Simulations d'escarmouches et épreuves théoriques allaient devoir être remportées. Arthur passa toutes les épreuves haut la main. Deux jours plus tard, Arthur de Pen-Draig fut adoubé chevalier à 16 ans en 15099. Mais si sa carrière allait briller, ses relations familiales, elles, se dégradaient toujours plus. Vint alors le conflit de trop quand son père se mit à parler du cas de sa défunte épouse. Trois jours après sa sortie de l'académie, Arthur quitta une fois pour toute la demeure familiale en emportant l'épée de sa mère. Retournant en ville, il partit trouver refuge dans l'appartement récemment loué de Gwenevere. Cette dernière ayant quittée l'orphelinat après avoir obtenu un travail en tant que marchande. Ce qu'il s'est passé ensuite, cela restera entre eux. Nouveau titre et nouvelle maison pour une nouvelle vie. De son attache pour son nom de famille, il n'y avait plus que le souvenir d'une mère inconnue.
Apocalypse:
L'aube s'était à peine levée qu'un gigantesque vacarme les réveilla. Une étrange symphonie de cris, d'entrechoquements d'aciers, de coups de feu et comme des gigantesques bruits d'orages. Se dépêchant de revêtir son équipement, Arthur sortit sans attendre. La vision qui l'attendait derrière la porte d'entrée était à peine croyable. Ce fut sous un ciel écarlate que la cité se retrouva en proie aux flammes et au chaos. Ordonnant à Gwenevere de rester à l'abri, Arto débarqua dans les rues. Les habitants fuyaient, certains hurlaient aux démons et au jugement dernier. Dégainant l'épée et cherchant n'importe quelle force militaire, ce que le chevalier rencontra à la place fut...ésotérique. Une silhouette longiligne de 2 mètres 40 dont il lui était difficile de décrire exactement l'apparence. Ses doigts étaient griffes, son bras gauche une lame brillante et "immatérielle" ses jambes des appendices, sa tête reptilienne ornée d'appendices semblables à des cornes de bouques mais surtout sa peau et son visage. Une casque sans traits recouvert de faisceaux colorés sur tout le corps et aux yeux de verres translucides brillants. Impossible de savoir si sa peau était une armure ou un exosquelette comme si le métal avait fusionné avec le vivant. Mais pas le temps d'y réfléchir, le démon commençait déjà à attaquer. La force et la résistance dont faisait preuve l'abomination était surnaturelle, surpassant même celle d'Arthur. Perdant rapidement l'avantage, le chevalier fut secouru de justesse par d'autres camarades de l'ordre. Sans plus attendre, les chevaliers lui ordonnèrent d'emmener les derniers survivants pour rejoindre un convoi afin d'évacuer la capitale. Sans tarder, Arthur et les autres emportèrent Gwenevere et quelques survivants plus ou moins blessés puis atteignirent le convoi. Si l'on en croyait leurs rapports, les archéologues sur le dernier site de fouilles avaient découvert un temple contenant trois portails dont un scellé ainsi qu'une "épée dans une enclume" doté d'un sceau sur le pommeau. Apparemment incapable de retirer l'arme, les chercheurs avaient réussi à déloger le sceau ouvrant un portail libérant une horde de démons. Plus étrange encore, leurs premières cibles furent directement les éclaireurs puis une fois en extérieur, les créatures réduisirent à néant la majorité des issues de la ville, isolant celle-ci du monde. Comme s'ils avaient déjà tout planifiés. Pour ne rien arranger, l'issue la plus "sûre" pour le convoi se trouvait à côté même du site de fouilles.
L'épée dans l'enclume:
La route fut chaotique, et sans être surprenant, le convoi fut pris en embuscade. Les derniers survivants durent se replier à nouveau mais un éboulement les fit chuter dans la gueule du loup. Comme tous les autres, Arthur se retrouva malgré lui dans le temple. Les lieux étaient tout sauf en pierre. Toute l'architecture semblait conçue dans un métal parfaitement entretenu orné de piliers lumineux et d'engrenages. Comme le rapport de ses confrères l'avaient indiqués, trois portails se présentèrent ainsi que cette mystérieuse enclume avec la lame la transperçant. Dès leurs arrivées, tous les chevaliers, militaires et civils furent encerclés par les démons. Vint alors quatre autres créatures bien différentes. Couvertes d'ornements et de décorations, tout portait à croire qu'ils devaient être à la tête des envahisseurs. L'un d'eux, encore plus distinguables des autres, tenait dans ses mains un grand "masque" à l'image d'une tête de dragon. Ce fut dans une langue inconnue qu'ils ordonnèrent l'exécution des intrus. Le conflit tourna rapidement au désastre, la quasi-totalité des chevaliers et soldats périrent. Persécutée par les assauts répétitifs, l'épée de la mère d'Arthur se brisa. Sans moyen de se défendre et surpassé, Arthur battit en retraite jusqu'à tenter la solution de la dernière chance. Dans un dernier effort de survie, Arthur tenta de prendre l'épée dans l'enclume aussi grande était-elle. Alors qu'un démon allait lui donner le coup de grâce, un grand flash de lumière aveugla la zone. Quand tout revint à la normale, l'on pouvait voir le démon tranché en deux et Arthur maniant l'épée couverte d'une lumière blanchâtre.
L'espace d'un instant, les créatures cessèrent le conflit et les 4 grands se mirent à discuter cette fois dans la langue humaine. A partir de là, les mots s'enchainèrent à une vitesse phénoménale. Ils parlaient de "d'anomalies physiologiques" puis l'un d'eux émana de son œil une lumière rouge passant sur le corps de l'épéiste avant de mentionner un "patrimoine génétique avec un code ADN similaire à l'original à 90,0003 % soit 9 fois supérieur aux humains actuels". L'un d'eux répondit en mentionnant "que la lignée avait peut-être perduré par miracle". Soudain, le masque s'illumina et tous les démons se mirent à genoux puis une voix résonna aux alentours. Ce dernier exigea de savoir "pourquoi existait-il des dérivés si l'humain n'avait été produit qu'en seulement un exemplaire". Son porteur se mit à dire "que l'original a sûrement mélangé son sang avec les autres races". Le dernier des 4 le dénomma "seigneur Caledfwlch" et demanda s'il fallait "éliminer le dérivé avant que son code génétique ne s'assimile avec l'épée pour débloquer son potentiel". A cela, le masque-dragon répondit "qu'il devait d'abord trouver un hôte dans l'autre monde" ne se souciant pas de l'humain prétextant "que ses capacités resteront considérablement inférieures à l'original". Reprenant l'ancienne langue, le masque donna un ordre aux 4 qui se mirent à activer un portail donnant sur un gigantesque "trou" par lequel le porteur du masque et un des quatre disparurent.
Les démons reprirent alors l'assaut de plus belle. La nouvelle épée en main, Arthur se mit à tuer les démons avec bien plus de facilité qu'avant, comme s'il l'avait toujours manié. Comme si son corps lui-même gagnait en puissance. Pourtant, les sbires du masque se montrèrent plus retors et l'un d'eux l'attaqua par derrière. Tentative qui porta suffisamment ses fruits pour le désarmer et lui faire perdre conscience. Le laissant pour mort, les démons s'en prirent aux derniers combattants puis les civils. Reprenant rapidement ses esprits, Arthur aperçut l'un des monstres de métal s'en prendre à Gwenevere. Sa nouvelle épée étant trop loin et refusant de tarder, le chevalier prit l'épée brisée de sa mère en espérant la sauver. A ce moment précis, tout bascula. L'épée de l'enclume se remit à briller, puis à vibrer avant de revenir d'elle -même vers son nouveau maitre. Dans la seconde où Arthur allait porter son coup, l'autre épée entra en collision si violement avec la lame brisée qu'elle provoqua une mini-explosion. Tout ce que le chevalier a eu le temps de comprendre, c'était une douloureuse brûlure dans l'œil et un bruit d'éboulement puis plus rien.
Epilogue:
Quand Arto reprit connaissance, son environnement n'était plus le même. Le chevalier venait de se réveiller sur un lit improvisé parmi tant d'autres tous occupés dans une tente. L'épée dans l'enclume se trouvait tout juste à ses côtés, cette fois dénuée de lumière. Tentant de se relever malgré les courbatures, une vive douleur dans l'œil l'interrompit. Rapidement, une infirmière vint lui porter assistance. Confus et désorienté, Arthur allait harceler de questions la femme mais celle-ci ne tarda pas à lui expliquer la situation. Les "démons" avaient rasés la capitale avant de partir, ne laissant que ruine. Des renforts arrivés trop tard s'étaient mis à fouiller les lieux à la recherche de survivants. Arthur avait été retrouvé sous plusieurs rochers, repéré grâce la lumière d'une épée qui n'a cessé de le "suivre" depuis. Quand ils l'ont retrouvé, Arthur était blessé de part en part avec un fragment d'épée dans l'œil et malgré cela, il respirait encore. Borgne et défiguré mais vivant. Quand l'infirmière lui demanda son nom, la réponse fut aussi brève que les mauvaises se mirent à fuser. Partant un instant pour amener quelqu'un apte à le renseigner, ce fut un lieutenant de la chevalerie qui lui apporta quelques tristes nouvelles. Le manoir de Pen-Draig avait été détruit et son propriétaire avec durant l'invasion. Avant même qu'il n'en parle, le lieutenant lui annonça aussitôt qu'aucun autre corps n'avait été retrouvé vivant ou en entier. Suite à ces nouvelles, Arthur resta silencieux et calme en se contentant de regarder la fameuse épée qui lui avait "sauvé" la vie.
Ce silence dura jusqu'à la tombée de la nuit. Puis, profitant de l'absence de personnel, Arthur se leva puis se mit à marcher et l'épée se mit à le suivre. Il marcha, encore et encore et encore jusqu'à quitter le camp sans même se faire remarquer et l'épée le suivit. Marchant dans la campagne, il marchait et marchait et marchait, le regard blasé alors que l'épée le suivait toujours. Arrivé à un bocage, l'épée le suivit jusqu'à accidentellement cogner la cheville. Arthur s'arrêta et se retourna calmement et silencieusement la main tremblante. Et d'un seul coup, il entra dans une colère noire et se mit à frapper du poing l'épée encore et encore et encore et encore. Que ses doigts saignent! Il s'en foutait complétement, il frappait encore et encore et encore...jusqu'à ce que, sous l'effet de la fatigue, il glissa et tomba juste à côté de l'arme. Sa colère venait de se dissiper instantanément. Plus de tremblements, plus de rage, juste un poing saignant puis un rire. Comme s'il venait de comprendre une blague de haut-niveau. Pourquoi ce rire? Ca, il n'y a que l'épée pour le dire.
15109 après Uther, l'insurrection des démons dans la capitale aura porté un coup fatal à la chevalerie et l'armée. En l'attente du retour du masque-dragon, les démons se pressent de coloniser le reste d'Avalon. Rapidement submergée par les créatures de métal et n'ayant aucune arme pour tenir tête durablement, la chevalerie n'est plus qu'un nom donné à des survivants. La société humaine vire toujours plus dans l'anarchie et le chaos. Arthur de Pen-Draig, quant à lui, a purement et simplement abandonné la chevalerie ainsi que son nom sans jamais retrouver Gwyn. Désormais, c'est juste Arto, épéiste aussi redoutable qu'excentrique tuant les démons comme on coupe du beurre...contre récompense. Le monde court à sa ruine et il paraît désormais presque comme un messie pour la clientèle, autant en profiter. Pas comme si sauver un village épargnerait celui-là d’à côté. Aujourd'hui, c'est une demande de contrat spéciale qui lui vient. Dans un village, on raconte que des ruines similaires à celles de la capitale ont étés découvertes. Paraitrait-il même qu'un autre portail se serait récemment ouvert à l'intérieur. S'y rendant accompagné de quelques gardes, Arto se retrouva à l'intérieur du temple. Devant eux se trouve le portail, à la fois similaire et différent dans sa forme. Fut une époque où Arto n'aurait pas hésité à y plonger espérant rétribution contre les 4 et le masque-dragon... Tout ce qu'il voit désormais, c'est son objectif. Il entrera seul dans le portail, tuera toute menace, se marrera un bon coup et rentrera à temps pour manger.
Dernière édition par Arto le Ven 10 Juil - 0:55, édité 2 fois
Ato
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Sujet: Re: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto Ven 10 Juil - 0:05
Hellow ! Il est temps de commencer ta correction voleur de nom è_é ça m'enRage ! èé
Bwef, attaquons de suite dans l'ordre pour une fois !
Mental:
Les petites fautes çà-et-là:
" il terrasse les monstres, sauvent les dames" sauve*, à moins qu'il soit plusieurs~ J'aurais aussi dit "faignant" si les deux orthographes avec fainéant n'étaient pas tolérées
Un mental dans l'ensemble bien complet !! Qui laisse voir sa personnalité actuelle, et celle qui avait avant, en laissant le petit suspens sur le changement qui a eu lieu. Je valide sous réserve que l'histoire soit aussi validée, si je n'y trouve pas de points de psychologie manquants par exemple~
Physique:
Les petites fautes çà-et-là:
"Une manière de se battre sans avoir à réellement une arme qu'il déteste" absence supposée d'un mot. Oui je chipote 8D
Bon bah ici encore, toujours très complet et détaillé ! Tout y est, et tu nous amènes encore un peu de suspens par rapport à son épée !! Je valide
Dans l'ensemble, les description mentales et physique sont assez plaisantes et faites avec une certaine légèreté qui vient dessiner quelques sourires sur mon visage ! Avec ce même humour, tu viens y remettre un peu de sérieux en te référant à son histoire, démarche que j'apprécie ! Il ne me reste plus qu'à lire l'histoire, mais corrige quand même les petites erreurs signalées
Histoire:
Bon ! Je vais pas faire 36 spoilers comme toi hein ! Par contre ça me facilite la lecture et le commentaire, c'est cool ! Même si je vais tout lire d'un bloc pour pas perdre de temps avec des questions qui auraient leur réponse dans un des spoilers x)
Let's go !
Les petites fautes çà-et-là:
Génèse "Ceux qui le rejoignit furent" rejoindre s'accorde aussi avec Ceux, donc rejoignirent !
Chapitre 1 "après avoir grimper" grimpé*
Chapitre 2 "Arthur se mit sur le rebord et leurs tendit la main" leur seulement ! Le mot à lui seul signifie déjà la présence de plusieurs individus. La prise d'un "s" est dans d'autres cas particuliers, comme par exemple en déterminant: "Leurs amis"
Chapitre 3 "Coup de chance, l'imitation de la signature passa crème." Pas de faute notable, juste le "passa crème" qui ne passe pas crème dans ce récit x'D
Chapitre 4 "Pour le garçon, s'en était fini" c'en était. Imagine que tu dises juste "C'était fini" "l'apprenti allait enfin passé l'examen final" passer* "son père se mit à parer du cas de sa défunte épouse." à parler*
L'épée dans l'enclume "ses capacités resteront considérablement inférieurs" inférieures*
Epilogue "une vive douleur dans l'œil l'interrompu" interrompit* "et l'épée le suivi" suivit* "colère noir " noire* sexiste è_é
Première partie qui nous met bien en scène le contexte et l'univers (Uther... Porteur de lumière ? XD). Rien à redire de spécial, difficile à suivre au début en suivant le style d'écriture, mais on comprendre ensuite bien l'attention et la construction derrière qui fait passer le tout bien mieux !
Bon alors... Comment dire.. Le début est assez flou, on avance d'ellipses en ellipses assez vite sans trop de détail. Et ce qui m'a le plus surpris, c'est que c'est pas spécialement gênant car on cerne tout de même assez bien le côté téméraire du petit Arthur. La psycho correspond ainsi du début à la fin à celle du preux chevalier avec un tempérament explosif. Et qui finalement s'assagit brutalement en perdant sa bien aimée. Et ce qui est notable, c'est que le changement est expéditif, mais très humain aussi !! Comme si il consacrait sa vie pour elle quand ses sentiments se sont prononcés, et qu'il n'avait plus qu'à consacrer sa vie à sa propre personne pour au moins ne pas la rendre trop vaine suite à cette perte.
En fait, c'est ça, les premiers chapitres sont assez concis, et finalement accompagnent la genèse dans la mise en place de l'univers de ton personnage (qui m'inspire fortement les légendes Arthuriennes. OH WAIT. IL S'APPELLE ARTHUR. Bref x') ) et finalement servent plus à ancrer le personnage déjà dépeint par sa psycho et son physique plutôt que pour montrer son évolution. Une manière assez originale de procéder, car finalement, l'absence de ses ressentis et pensées du début, comme si on était simple spectateur, que je trouvais assez gênante ne l'est plus tant que ça sur la fin !
Cela laisse pas mal de possibilité RP, et il n'y a finalement pas grand chose à étoffer sur l'univers car la genèse et les premiers chapitres le font parfaitement bien !
Je valide donc ! Ce qui fait que bien sûr, ton mental est totalement valide aussi !
Une fiche plutôt surprenante dans l'ensemble ! Un style très léger dans les descriptions mentales et physiques comme dit, qui rendent l'ensemble fluide malgré un style d'écriture assez familier, on a l'impression que tu nous présentes là un ami de longue date
Assez peu de fautes sur l'ensemble, sauf sur la fin où tu t'es donné !! Haha, mais bon, on a eu vent de tes complications, corrige moi juste tout ça bon sang !! x') Et t'auras ta note ensuite.
En temps normal, je t'aurais demandé d'étoffer plus son enfance, mais on se rend bien assez vite compte que c'est à partir de ses 12 ans que tout se joue en gros ! Et comme ces parties là sont assez complètes. Même si des ellipses de 4 ans ou plus, c'est toujours un peu brutal car il peut s'en passer des choses, les sous entendre d'une simple phrase pour résumer ces années suffirait je pense . Bien sûr, ce n'est que du plus pour étoffer ta présentation, et meilleure sera la note !
Ato
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Sujet: Re: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto Ven 10 Juil - 1:16
Bien, il n'y a donc pas... D'étoffage on va dire de la fiche (oui étoffage n'existe pas !) mais je l'avais déjà pré-validée auparavant ! Les fautes de français ont quant à elle était corrigées, seules 3 n'ont pas été vérifiées de ma part, j'assume que c'est bon à ce niveau !
J'ai tenu compte du fait que la psycho va très certainement évoluer encore en Horizon par la suite, ce pour quoi je n'ai pas demandé d'ajout.
Ainsi, on en vient à une note finale de 650 ! Une note un peu sévère je trouve moi-même, mais qui est aussi du au fait que tu n'as pas énormément étoffé l'enfance du personnage, bien que j'ai compris la démarche, ça se saura tôt ou tard je suppose
On en vient alors à 750 avec le bonus de PP étant donné que ta fiche était finie dans les délais pour être éligible au bonus de 100 PP de départ. Tu vas ainsi pouvoir te lancer sur ta FT pour enfin RP !
Infinity
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Sujet: Re: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto Ven 10 Juil - 1:16
Le membre 'Ato' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'Faille' : 4
Bienvenue à Célestii !! J'espère que t'as prévu des vêtements chauds~
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Sujet: Re: Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto
Sauver la veuve et l'orphelin? Jamais si on me paie pas plus que le smic ~ Arto
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