Le soviétique avait une façon de s’exprimer très effrayante par moment, qui aurait du décourager la prussienne depuis un moment. Bien que le fait de subir une contrepartie soit quelque peu déstabilisant pour l’ex-nation .

La façon dont il l’avait regardé l’avait mis à nouveau mal à l’aise…Et elle esperais que le russe veuille bien contrôler encore un peu ses pulsion. Sinon elle allait vraiment finir par le surnommer Francis, quitte à ce faire taper.

Avant de partir faire la vaiselle, Ivan lui disa par la même occasion qu’il préferer passer la nuit ici….Et la simple idée de devoir dormir avec un être dont l’esprit est complétement déranger par instant, n’était pas le plus rassurant. Qui sait ce qu’il pourrais lui faire durant son sommeil ?

La prussienne se mit une baffe et alla nettoyer le plan de travaille, là ou le russe avait découper le poisson juste avant. La vieille habitude de faire le ménage était toujours là. Et graçe à ça, celui lui permis de penser à autre chose.

Lorsqu’elle eu finit, au moment ou elle leva à nouveau son regard, ce fut au même moment ou Ivan avait terminé sa vaiselle. Il attendait quelque chose d’elle, pour qu’il la fixe comme ça ?

- J-Je vais voir si je peut te réserver une chambre, Braginsky

Sur ses paroles, la prussienne sortit en vitesse de la cuisine et retourna auprès du comptoir, les joues légèrement teinté de rouge. Elle devait se reprendre !

- Escusez-moi…Mais vous reste-t-il une chambre ? Un …heu…ami est venu me rejoindre et ce ne serais pas génial de le mettre à dormir dehors…

Lentement, son assurance revenez, à croire que seul le russe pouvait le lui oter si facilement en quelques seconde. Le gérant pris une liste, regarda les chambres disponibles et posa sa feuille sur le comptoir.

-[color:7c99= green] Je suis désolé mademoiselle, mais il n’y a plus aucune chambre de libre à présent. Mais votre ami peut rester avec v…Mademoiselle ?

A vrai dire, Maria n’était même pas rester jusqu’au bout de la phrase du gérant. Elle retourna chercher le russe et une fois qu’elle eu retrouvé le soviétique, Maria du se résoudre que le mot « etre en couple » signifier aussi dormir ensemble.

- Mon poussin, est-ce que tu ronfle la nuit ? Ah et gare à toi si tu agis comme un verdrehen…Sinon je dors sur le sol !


[hors-rp : verdrehen = pervert ]

Une nouvelle fois, les joues de la demoiselle c'étaient teinte de rouges...mais cela partit très vite lorsque le russe en face d'elle pris la décision de faire comme s'il la kidnapper pour l'emmener dans leur chambre. Ou plutot celle qu'occuper depuis presque un mois la prussienne.

Une fois posé sur le lit, elle regarda sans dire un mot, pour une fois, le russe qui se déshabilla pour en suite s'allonger à côté d'elle. Au début, Maria ne fit absolument rien tellement elle  était géner de la situation. Puis...elle finit par ôter sa veste, puis tout autre vêtement qu'elle posséder...jusqu'a ce rappeler qu'elle avait un pygama.

C'était en se balladant dans la ville...dans une petite vitrine d'un magasin de vêtement. Et le motif de l'habit  avait vite séduit la jeune femme. Maria se leva du lit et fouilla dans l'armoir de la pièce, pour en sortir un pygama avec comme motif...des poussins.

La prussienne l'enfila donc et s'allongea à côté du russe...en devenant encore plus rouge. Et dire que durant la période froide, la première nuit dans l'immense maison russe...Prussia n'avait pas fermé l'oeil de la nuit. Essayer de dormir dans une maison avec deux psychopathes...

Par contre, ce qui était très drôle, fut lorsque van parla en allemand. Maria ne put s'empêcher de s'esclaffer en entendant le fort accent russe, comme pour elle, lorsqu'elle essayer de parler la langue de Russie.

- Mein liebe...C'était adorable , kesesese !

Car il ne faut pas oublier que le monsieur russe avait cette étrange voix enfantine qui n'allait pas du tout avec ça carrure de géant de glaçe. Alors entendre une petite voix comme Ivan parler en allemand...C'était à la fois hilarant....et mignon.

- Pourquoi ai-je cette horrible impression qu'en réalité tu ne va pas me laisser fermer l'oeil de la nuit?

Puis, Maria, afin de ne pas montrer son visage tout rouge  se tourna, de tel sorte que le russe voit surtout son dos....Puis aussi par reflexe de survis et SURTOUT pour pouvoir dormir, elle se mis tout au bord du lit, créant un grand espace entre eux d'eux...et elle attrapa aussi la couverture pour se couvrire.

-Gute Nacht, mein kleines Küken !

[hors=rp : J'en connais un qui va raler xD ]

Bien sûr, le russe sembla mécontent de  l'acte d'éloignement qu'avais provoqué volontairement la prussienne. Il réagit alors très vite en mettant la prussienne contre lui, comme si c'était un précieux trésor que lui seul avait le droit de posséder.

Cela aurait pu être plaisant, si une main glacée ne c'était pas glissé sous son vêtement. Maria se raidit aussi tot, ouvrant de grands yeux sous la surprise. Mein gott...Ce russe devait avoir oublié qu'il était un pays froid !

- Russland!...Ta main est glacée !

A quoi cela servirait-il de lui demander d'ôter sa main? A rien, de plus il en aurait sans doute profiter pour rajouter la deuxième, sans doute pour s'amuser...Mais d'un côté, cela ne déranger pas beaucoup Maria, du moment que cela rester un "jeu" pour le russe, tout allait bien.

Elle plissa un peu les yeux, sans doute que le sommeil la guetter déjà. Toutes les émotions de la journées l'avaient épuisés au plus au point. La prussienne était à l'aise maintenant....sauf lorsque la main sur son ventre commença à la caresser et Ivan parla de chose très....embarassante. Ce n'était pas une nouveauté qu'Ivan avait fait des choses sans accord...Et heureusement, Maria avait pu y echaper graçe à on ne sais quel raison.

- Russland...ta main....

Fut la seule phrase que maugréata Maria avant d'essayer d'attraper cette maudite main qui l'embêter tout de même un peu. C'est qu'elle était tout de même un peu sensible, Prussia! Puis, elle tourna un peu la tête...pour voir la tête effrayante du russe.

L'ex-nation ne fut pas effrayé. Au contraire, ou graçe à la fatigue, elle attrapa son oreiller et l'envoya dans la figure du russe.

- Hoy, c'est le soir et je n'ai pas envie de faire de cauchemard en voyant ta face flippante de Ruskov...Et...Zum Teufel, hör auf, mich mit der Hand zu kitzeln !

La fin de sa phrase avait presque était dit sur un ton plaintif. Elle ota l'oreiller qu'elle avait lançé sur le visage du russe et l'utilisa pour poser sa tête dessus...Avant de soupiré , de se retourner afin de se blottir contre le russe.

- Bonne nuit, meine Liebe...


[hors-rp : Voila, si jamais tu est inspiré et que tu veux poster quand même; tu peut ! Mais pour ma part, c'est mon dernier post, on peut le mettre en correction ! ]