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 Montre moi le chemin... [PV Mann]

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MessageSujet: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptySam 5 Sep - 23:27


Un sombre silence, une âme qui ère dans ses pensées, n'ayant rien en tête. Le noir qui pèse contre les paupières et qui vous fais sentir comme-ci vous ne pouvez plus bouger tellement c'est dense et opaque. Lorsque doucement le bruit d'une bougie qui s'allume donne l'effet d'un craquement électrique dans le corps du maître des enfers. Où était-il? Pas la moindre idée! Mais une chose était certaine! L'odeur de sang frais, le son des pas ambiant et le fameux sentiment de réveil! Cette nausée qui s'est emparée du corps de Stanislav, le laissant doucement ouvrir les yeux lentement.

Chaque membre reviens lentement à sa fonction primaire et le cerveau quand à lui se met à réfléchir. Quelle année somme nous. Pourquoi revenir sur les terres encore une fois! Les enfers avaient plutôt été bonnes vues la gestion du nombre d'âmes qu'il avait eu à fréquenter. Délicatement, le maître observe sa mains et sa chaire marquer par les nombreuses cicatrices de sa forme humaine et relâche un rire cynique. Le rituel de retour avait encore fonctionner et il avait réussit son voyage vers la terre humaine où il pourrait enfin prendre la vengeance dont il avait longuement discuter avec ses larbins.

Se redressant doucement, il était allonger sur le sol dans un jets de sombre fumée et une odeur de pourriture! Certes aucunement accueillant, mais lorsqu'on est déjà mort, on essaie de donner le meilleur de sa forme après tout. S'agenouillant doucement, il tenta de récupérer ses esprits et glissa une mains dans son visage en soupirant, avant de délicatement se redresser. Chacune des articulations avait un craquement propre, tel une symphonie qui éveillait le retour du maître dans le monde de chaire. Puis soulevant une jambe, et une toujours agenouiller, il souleva la tête pour reconnaître les environs. Une cathédrale!

Assez cynique comme endroit pour donner naissance à l'arrivée du maître des enfers. Certes ici, son but n'était pas de se faire reconnaître encore, mais chaque chose en son temps. La soif au bord des lèvres, le goût de sang lui vint vite en tête et il parcourût les alentours avant de constater derrière lui un prêtre d'un certain âge qui secouait tel une vieille feuille morte agripper à une branche pour lutter contre le vent. Se levant d'un trais de ses deux mètres dix, il s'avança lentement vers la chaire fraîche que puait le vieil homme et s'arrêta devant lui en soupirant.

Deux mains sur les hanches Stan l'observa avec un sourire qui se dessina lentement sur son visage démontrant ses crocs. Cette chaire si facilement prête à être dévorer! Surtout que vus son état il n'aurait aucun sacrifice à faire.


-Vieil homme... Avez-vous peur, de la mort?

Tel un prédateur qui à enfin trouver sa proie, il s'avança d'un pas décisif et attrapa le vieil homme par le cou le tenant fermement entre ses mains et soupirant. La force physique de Stanislav retrouvait lentement son potentiel et il sentait l'ossature céder sous sa pression. Évidemment, du mieux qu'il le pouvait, l'ancêtre fournis quelques coups de pieds et des tapes assez amicales contre le poignet de Stan. Le maître des enfers approcha sa proies près de son visage et dans un actes de dernier espoir il se retrouva avec un couteau de poche planter dans son épaule droite.

Stan garda le vieil homme entre ses mains et tourna la tête vers la lame en observant celle-ci d'un sourire. Puis reposa ses yeux dans celui du vieil homme et de ses crocs il vint planter sa bouche contre la nuque pour boire quelques gorgée de sang et se requinquer les esprits. Pour lui ses quelques gorgées de sang lui donnait le même effets qu'un alcoolique compulsif qui retrouve l'alcool après tant d'années! Un frisson parcourut sa colonne vertébrale et il s'étira lentement, propulsant la carcasse au sol et ricanant. Se retournant sur ses talons, il sortit de sa veste son grimoire des ombres et feuilleta jusqu'à la page 04 où il glissa son pouce en pleins centre et maintenue une pression.


-Alpha! Beta!...

D'un claquement sec, il referma le livre et le reposa dans sa veste en récupérant ses choses prêt à se mettre en route. Les bras croiser, Stan pût enfin entendre un son aigüe émerger du sol. Une brume noire encercla également le sol au même endroit lorsque deux petits énergumènes sombres et affreux apparurent de nul part. Ont les surnommait Larbins des ombres. Ses créatures sont normalement au service du maître des enfers et font ce que tout bon Larbins feraient pour leur maitre. Ils sont doter d'aucun pouvoir sauf, l'immortalité! Comme ce sont des créatures venues d'en bas, elle ne ferait que revenir sous un autre corps de matière pourrie. Les deux petits êtres de leur rigolades enfantines courraient partout pour enfin découvrir ce qu'es le monde des vivants lorsque Alpha s'arrêta devant Stan en abaissant la tête.

-Maître... Sans offense pourquoi revenir sur ses terres... Les humains sont des créatures si... imprévisible et stupide... STUPIDE... STUUUPIDE....

Le maître observa son larbin et sans la moindre réponse emboîta le pas vers la sortie. Assez perdus de temps à avoir dormis pour environs une décennie aux enfers! Il allait maintenant emboîter la seconde partie de son plan qu'allait être la conquête des mondes. Il avait trouver la clef pour voyager, maintenant il pourrait se mettre en route pour anéantir. L'odeur du mondes des vivants sentait atrocement mauvaise. De sa carrure de géant, il sortit donc de son sac les notes qu'il s'était laisser pour ne pas oublier l'origine de son plan et sa matière à la conquête. Déroulant le parchemin, il pût lire brièvement que la première étape était de se fondre dans la masses des gens aux mêmes idéaux que lui. Il ne devait pas ouvrir le combat avant le moment opportun.

Et pourtant à voir à la sortie de la cathédrale, il pouvait ressentir beaucoup de ses gens qui allait mourir. Ayant oublier le poignard dans son épaule, Stan le retira lentement laissant un son de frottement, ce qui eu pour effet d'attirer plus l'attention qu'il ne l'aurait crût. Tout ceux qui étaient proche avait déjà le regard fixer sur lui. Il se mit donc à descendre les fameuses escalier de la cathédrale pour sortir de ce bâtiment maudit qui lui refilait un semblant de nausée. De sa carrure il ne se gênait aucunement pour pousser les gens, les plaquer contre des murs ou même en faire tomber, lorsqu'un des plus brave de l'établissement, ne digéra pas le simple fait de se ramasser le visage contre le mur de béton.


-Pauvre... CON! Viens ici... Viens te ba....

Il ne pût finir sa phrase que Stan se retourna pour lui mettre la mains sur le visage, couvrant complètement avec sa mains et compressant sa boîte crânienne. Honnêtement pour un crétin, il était plutôt colosse dans son genre, ses os était très solide! Mais, avec la robustesse de sa mains et la force qu'il commença à émettre, un craquement sonore éclata. Le crâne était fendus et le cou était briser. Le cadavre retomba au sol. Replaçant sa veste, les larbins s'amusèrent à cracher sur le corps inerte au sol et Beta s'amusa même à dérober le contenus de sa ceinture.

Gourde, couteau de poche, quelques pièces de monnaies... Rien d'intéressant, sauf une carte! Une foutue carte qui pouvait tout éclaircir! Beta accourût à son maître et se posta devant lui tel un militaire pour lui tendre! Il ressemblait rapidement à un chien qui rapporte enfin la balle. Stan attrapa la carte indifférent de la découverte, mais caressa le crâne de son larbin fier de lui. Enfin près de la sortie, les gens s'était amasser en tas pour observer l'inconnue qui avait tuer et l'observait avec désarrois. Quand au maître, il prit le temps de consulter la carte en soupirant et dit à voix basse.


-Qui pourrait bien m'aider à conquérir un monde aussi vaste... Il faut bien commencer par quelque pars, mais je dois choisir où en premier...

Il était concentrer dans sa lecture, pendant que les larbins s'occupaient de surveiller ses arrières ou ses devants! Quiconque aurait tenter un coup, les larbins auraient encaisser pour lui et sans soucis ça donnerait du temps à leur maître pour parer l'attaque.
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyDim 6 Sep - 10:46

Peut être était ce stupide de sa part, vu sa nature, mais il semblait que Mannfred était inexorablement attiré par les bâtiments religieux de ce monde, peu importe la ville dans laquelle il se trouvait. Les raisons qu'il se donnait étaient qu'il lui fallait savoir, d'une part, s'ils pouvaient être dangereux à son intégrité, le sacré étant son unique faiblesse ; puis d'autre part, aimant la connaissance, il voulait mettre le doigt sur la nature du culte qui avait lieu en ces terres. À Rift, il semblait que ce n'était qu'un patchwork de religions différentes ramenées dans un unique bâtiment par la force des choses, mais cela en était-il de même ici ? Le revenant était lui même assez bien renseigné sur les religions des vivants, puisqu'il l'avait été il fut un temps et que comme tout noble qui se respectait on lui avait enseigné les prières, et il savait que certains empereurs s'étaient fait aduler comme des dieux. Cela était-il le cas ici ?

La foule était assez compacte vers ce lieu saint pour une raison que le mort vivant ignorait pour l'instant. Cela pouvait être qu'aujourd'hui était jour de messe, ou alors un événement important se déroulait sous ses yeux. Sans ménager ceux qui osaient lui boucher le passage, il joua des coudes, interjetant les mécontents par un :


« Laissez passer, je suis membre de la guilde ! Écartez vous ! »

Avant de les pousser sans aucune vergogne. Sachant que sa force physique était extraordinaire, il avait fait trébucher quelques personnes déjà lorsqu'il arriva enfin au premier rang de cette foule qui formait en réalité un cercle devant un spectacle qui pour eux était des plus horribles : le meurtre de sang froid. Mannfred était réellement déçu, puisque ce n'était pas grand chose en réalité. Mais pour ces frêles passants qui ne voulaient qu'une chose, c'est à dire une vie tranquille, la peur de la mort était puissante et les paralysait tout en les fascinant à la foi.

Quant au revenant, il n'était pas fasciné. Il était déçu, comme dit, mais pas seulement non plus : un malotru se permettait d'assassiner sans raison les sujets qui seraient bientôt les siens, abîmant le corps de ceux qui ne tarderaient pas à être relevés lorsque le Maître rejoindrait son second en ces terres. C'était inacceptable. Le vivier énorme qu'était Vermeï ne devait pas souffrir de perte inutile comme cela. Les pertes pouvaient arriver, nécessairement, par accident ou alors par le combat, mais cela ne servait qu'à rendre plus fort ceux qui survivaient. Un assassinat aussi simple n'avait aucune valeur. Il faudrait apprendre une petite leçon au fauteur de trouble.

De là où il était, il pouvait facilement observer la scène et aperçu deux créatures immondes qui s'amusaient avec le corps en attendant que leur maître puisse déchiffrer ce qu'ils avaient volé au défunt. Puisque c'était ainsi, il allait leur montrer ce que c'était, la mort ! Discrètement, dans la sûreté de la foule, il fit aller ses doigts gantés, ceux ci laissant émaner une légère luminescence violette, traçant le sort qu'il chuchotait dans les airs. Lorsqu'il eut finit, c'est le cadavre qu'il pointa du doigt, et celui ci eut... Une pulsation. Alors qu'il était bien mort, que sa tête, dans une position grotesque, était figée dans une expression de douleur mêlée de surprise, alors même que le faucheur avait fait son office depuis un moment déjà... Il se mit en mouvement.

D'abord lentement, le corps tressaillit. Puis, la magie aidant, il se redressa de tout son long, sa tête pendant toujours sur le côté, résultat de la brisure qu'il avait souffert tout à l'heure. Il n'avait plus l'air d'un homme, mais d'un monstre, et un murmure d'angoisse et de dégoût parcouru la foule. Grognant comme la bête qu'il était, le zombie, de la bave et du sang lui coulant des lèvres, les yeux ouverts mais vides de pupilles, une expression de rage indicible au visage qui, par on ne savait quel miracle, pouvait encore bouger, sauta sur celui qui avait été son assassin, dans le but avoué de lui faire subir le même sort. Il était maladroit dans ses mouvements et n'avait aucune technique, mais il était rapide et brutal, ne reculant plus devant rien, ni les blessures, ni la peur, les sensations n'étant plus quelque chose qu'il pouvait avoir puisque son corps avait repris vie par la magie et que son âme, ramenée par un sort aussi faible, ne se rappelait dès lors que de son dernier sentiment : la colère contre son tueur.

Comme Mannfred observait la scène, satisfait, entouré de ses futurs sujets effarés, il fut pris d'un sentiment étrange de... déjà vu. Il connaissait déjà cette personne. Ce n'était pas juste un citoyen, ce n'était pas possible. Ce sentiment ne pouvait pas juste venir du sentiment d'avoir déjà vu le citoyen quelque part en se baladant dans la rue, lorsqu'il attendait encore pour devenir un membre des conquérants, non, ce sentiment était bien plus profond que ça. Plus que la sensation de connaître cette personne, il avait même la certitude que celle ci... le connaissait également. Ou du moins ressentirait la même chose à la vue du visage du mort vivant. Car pour l'instant, il était paré de son armure complète et son casque masquait son visage entièrement, si ce n'était ses deux yeux d'un rouge flamboyant, mais que savait-il, peut être cet homme venu des tréfonds de la mémoire de Mannfred le reconnaîtrait quand même...

Cette certitude le paralysait un brin. Il n'avait pas peur de la confrontation, ça non. Si nous ajoutons son éducation de noble à sa nouvelle nature de mort vivant, puis avec un soupçon de son expérience au combat par toutes les campagnes qu'il avait mené, nous ne pourrions trouver une personne qui effraierait LE Mannfred von Carstein. Il était confiant dans ses compétences et dans sa magie, c'était évident. Mais il n'était pas certain de vouloir découvrir un être tel que celui ci, qui était peut être bien plus sombre que le revenant ici présent.

Mais maintenant qu'il avait lancé l'assaut, qu'il avait décidé de le « punir » pour son crime en lançant la cible de crime sur le criminel, il ne pouvait plus reculer. Au pire, il se débarrasserait de la gêne par la force. Au mieux, ce serait une agréable surprise et il découvrirait que tout ceci n'avait lieu que dans son imagination, ou que le sort qui l'avait ramené à la vie lui jouait des tours, des hallucinations.

Quoi qu'il en fut, il fendit le dernier rang de la foule et fit quelques pas en avant, restant muet, ses armes rangées mais les mains sur les hanches, où se trouvaient les pommeaux de ses trois épées. Il se plaça à quelque maître du meurtrier, en face de lui, le fixant de ses yeux rouges sans mot dire, attendant d'abord sa réaction, dans l'expectative.
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyDim 6 Sep - 17:30

Le silence règne dans la cathédrale et personne ne semble vouloir dire le moindre mots, attendant patiemment que quelqu'un ose faire un geste. Le maître observe la carte pour tenter de s'identifier lorsqu'il entends un drôle de bruit. Pliant lentement le bout de papier et l'enfonçant dans une poche de sa veste, il relève lentement les yeux vers ce qui semble être le cadavre qu'il avait tuer quelques instants plus tôt. S'avançant lentement d'un air indifférent, il laisse le grimoire des enfers apparaître dans ses mains en feuilletant les noms ajouter et cet être perfide figure bien sur sa liste. Alors comment peut-il être encore sur ses deux pattes.

Claquant le grimoire d'un geste vif, le seigneur des enfers laisse la créature se diriger vers lui en marchant lentement devant chacune des personnes de la foulée, observant un à la fois leur visage de son sourire moqueur. Être désespérer à ce point pour envoyer une créature de l'au-delà vers son propre agresseur. Stan émis un rire assez cynique et froid qui se mit à raisonner dans la cathédrale entière, avant de simplement se poster sur une table pour bien voir tous et chacun des visages. Durant ce temps, Alpha et Beta semblent s'amuser à faire dévier la créature en lui lançant de diverses objets à la figure, ce qui lui fait perdre pour quelques secondes sa cible principale.


-Vous êtes donc tous autant désespérer que d'envoyer un cadavre ambulant ? Vous n'avez donc rien compris... Votre race inférieur va disparaître et quiconque tentera de m'arrêter affrontera... Les enfers! Les conquérants qui veulent me montrer le chemin du succès auront une place privilégiées et éviterons la mort stupide et inutile telle ce pions qui n'aura servis que de stupide tentative...

Tournant la tête vers ses larbins, ceux-ci s'apposèrent devant la créature qui perdit bêtement équilibre pour s'écraser en pleine face devant le maître des enfers. Stan sauta de la table et posa sa botte contre le dos de la créature en la plaquant lourdement contre le sol en soupirant. S'abaissant vers l'avant, il attrapa son bras gauche pour commencer, le tirant de toute ses forces vers l'arrière. Puis de sa mains libre fit apparaître la lame des enfers (Un katana qui semble banal, bien que peinturer noir et relier à une chaîne). De sa lame, il cloua le cadavre au sol, perforant la colonne vertébrale et l'abdomen dans le sol. Enfin, de ses deux mains, il attrapa le bras gauche et de sa botte se mit à tirer de toute ses force. Au début, l'ossature ne fit qu'un craquement signifiant que l'os avaient déboiter, mais quand l'étape suivante arriva, le membre décrocha entièrement et la chaire se mit à se déchirer entre ses mains, se retrouvant avec un bras complètement détacher du corps.

Sans porter attention, il le lança aléatoirement dans la salle et le bras toucha le sol non loin du nécromanciens qui avait donner vie à ce pauvre décéder. Il s'exécuta ensuite des quatre autres membres qui étaient attacher à son corps, avant d'écraser de quelques bon coups de bottes le crâne, jusqu'à ce qu'il en reste de la pâté au sol. Beaucoup se cachèrent les yeux pour ne pas voir le massacre et d'autres vomirent littéralement. Mais quand au maître des enfers, il récupéra son épée et essuya le sang de la lame contre le chandail d'une des innocente victime qui avait eu droit au spectacle. Ses larbins étaient assieds près de lui à regarder uniquement le spectacle, rigolant comme deux petits barbares en manque d'action et frissonnant déjà pour la suite du spectacle.

Apparemment ce petit village avait un peu plus de conviction qu'ils ne l'avaient laisser croire! La race humaine n'avais donc jamais apprise de leur erreurs et continuaient encore de faire face à ce qui pouvait être plus puissant qu'eux. Stan fit disparaître la lame dans une sombre brume, ainsi que tout accessoires utiliser pour la décapitation de sa victime en soupirant. Il essuya rapidement ses lunettes qui étaient tâcher de sang et emboîta le pas pour s'avancer dans la foulée.


-Alors Alpha?

-Maîîître... Nécromancien de niveau avancé vus l'état du corps! Une magie de même source que la votre! Un être qui sait peut-être comme vous... De l'au-delà?

-Beta?

-Il est assurément dans la salle, je ne peux pas le renifler, ce qui à pour trace sûr de me prouver qu'il n'est très loin de nous... Dans la foule je dirais...

Un sourire se dessina sur les lèvres du maître et il sauta encore une fois sur la table en question et commença à analyser l'ensemble de la pièce. Majoritairement il ne voyait que de la chaire mortelle et si faible, il devait penser mieux que cela. Lorsqu'enfin ses yeux tombèrent sur un casque cornus, une armure métallique qui saurait faire peur aux moins braves et une carrure imposante. Souriant en coins, il descendit de la table en poussant chaque personne dans son chemins avant de s'arrêter devant son assaillant. Assurément, le premier réflexe, ça aurait été de lui écraser le crâne contre le mur le plus proche et de lui démonter son jolis casque.

Mais drôlement, cet aura avait une odeur particulière! Du déjà vus. Pourtant dans son ancienne vie, il aurait eu mémoire si il aurait connus un seigneur boîte de conserve! Mais en enfer tout est possible, car les âmes peuvent avoir plusieurs forment, couleur ou visage. Montrant les crocs en souriant, plus il reniflait, plus il arrivait à replacer un déjà vus, mais c'était assurément aux enfers et nul part ailleurs. Les gens autour commençaient à se reculer et Stan croisa lentement les bras en souriant.


-Toi... Je te connais... Je ne saurais dire comment... Mais je te connais... Tu as parcourus la mort, tu as déjà été dans ma liste... Assurément, puisque le seul souvenir qui me reviens, c'est de t'offrir, une bouteille de vin... Je me souviens que nous avions eu cette conversation... Et pourtant tu n'existes pas dans ma mémoire... Je me présentes ou du moins, présentes de nouveau... Anodrac, Stanislav Anodrac... Qui est-tu créature...

Ce sourire coller à ses lèvres était bel et bien de la curiosité, il était rare pour quelqu'un qui à mener les enfers aussi longtemps de ne pas avoir souvenir de qui les à fréquenter. Cet homme l'obligeais à ce souvenir de chose vécue en enfer, de moments qu'il n'arrivait pas à mettre le doigts dessus. Sa mains gauche se posa lentement contre sa barbe et la réflexion commença dans sa tête à fouiller chacun de ses engrenages. En même temps, il ne pourrait peut-être pas se souvenir, puisque son réveil était frais et donc non complet dans ses souvenirs. Tout ce qu'il avait mémoire, c'est que cet homme devant lui avait été une bonne connaissance. De la famille? Un amis? Un rivale? Il ne le savait pas, mais il attendait de savoir ses attentions pour voir si oui ou non ce petit moments de retrouvailles allait se terminer en bain de sang.

-Tu défends donc ses terres? Même si je te dis que je cherches un allier avec qui les conquérir? Tu pourrais éviter l'erreur de briser ce moment de retrouvailles en m'annonçant une bonne nouvelle au moins...

Il lui présenta toujours ses crocs en souriant de manière sadique.
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyDim 6 Sep - 21:54

À la manière dont cette personne venait de se charger du maigre zombie lancé à ses trousses, Mannfred en déduit qu'elle n'était pas mauvaise du tout... Il fallait déjà il est vrai une certaine force pour fendre le crâne des gens à mains nues, mais arracher les bras de ces créations nécromantiques n'était pas donné à tout le monde ! Sans sourciller en plus, sans vraiment s'étonner de son retour parmi les vivants, l'espace d'un éphémère instant, dans le seul but de faire du mal également !

Bon. Il fallait relativiser. Le revenant lui même était plus que capable de se charger d'un bon nombre de ses serviteur sans le moindre problème. Mais Mannfred était un monstre, une force contre nature, une puissance à laquelle la magie noire avait donné forme et volonté. L'assassin en face de lui ne semblait être qu'un simple être humain, si ce n'était qu'il pouvait invoquer d'étranges bestioles, voir même des armes, puisqu'une épée été apparue dans sa main sans qu'il ne la sorte d'où que ce soit : il était donc au minimum magicien en plus d'être fort.

S'étant approché, le noble mort vivant se senti insulté par la tirade de l'assassin. Quoi, lui, inférieur ? La nécromancie était un art qu'il fallait savoir apprécier, c'était tout. Que cet être ne le sut pas déçu profondémment le duc von Carstein sans qu'il puisse forcément s'expliquer pourquoi. Tout respirait tellement la mort aux alentours de ce type qu'il ne pouvait pas imaginer qu'il ne comprenne pas la beauté de la vie de nouveau insufflée dans un cadavre grotesquement tordu par la mort, brisant son rigor mortis pour effectuer la mission que son maître lui aurait réservée, distillée en lui en même temps que la vie lui revenait. Il regrettait presque de s'être séparé de la foule de manière aussi ostentatoire et pacifique alors qu'il aurait pu mener un assaut direct sur cet énergumène. Insulter sa nécromancie, c'était insulter son Maître, lui même maître ès nécromancie.

Il était beaucoup trop tard cela dit et il ne pouvait pas y faire grand chose d'autre que de desserrer les poings et s'avancer pour lancer une pique dont il avait le secret. Confiant dans sa lame comme dans sa plume, il était certain de le faire taire avec des mots ou avec des coups.

Mais décidément ! Avec son interlocuteur, il était toujours pris de court, toujours celui ci avait une longueur d'avance. Il décelait et il parlait avant que les événements ne puissent se dérouler comme Mannfred les imaginait, lui qui semblait aujourd'hui comme engourdi par une présence familière mais terriblement ténébreuse en ces lieux saints. Quand il voulut ouvrir la bouche, alors que les hideuses petites créatures chuchotaient à leur maître, c'est ce dernier qui pris la parole, ayant vraisemblablement le même sentiment de « déjà vu » que son interlocuteur.

Il n'était en réalité pas désagréable, il avait sûrement été impulsif lors de son commentaire sur la qualité du cadavre qu'on lui avait relancé. Ne pas voir son adversaire, c'était frustrant, on pouvait le comprendre. Mannfred décida alors de laisser passer cette bavure pour cette fois et de l'accueillir plutôt, insouciant quant à la foule qui se demandait toujours si un combat allait éclater ou si l'un des deux se ferait massacrer comme les citoyens massacrés.

Comme son honneur de noble l'y obligeait lorsqu'il voulait parler à une personne qui méritait son respect, il commença, avant toute parole, par retirer son casque afin de dévoiler son visage livide et dépourvu de tout poil, ses yeux rouges étincelant toujours mais dont la flamme brillait moins, comme si elle n'éclatait au grand jour que contenu dans les sombres confins du casque cornu. Ceci fait, il pris son air le plus enchanté et envoya :


« Ainsi, cette sensation n'était pas que mienne, je suis content de savoir que la mort ne m'a pas rendu fou. Après quelques siècles, on peut se poser la question, n'est ce pas ? Profitant de la pause pour faire quelques pas, comme pensif, il ajouta, plus neutre : une bouteille de vin ? Je ne me souviens pas. À vrai dire, je ne pense pas que nous nous soyons même rencontré une seule fois dans ma vie. À moins que... Il s'arrêta pour refaire face à son interlocuteur, un sourire moitié amusé, moitié gêné sur le visage : Dame ! C'est impossible. »

Après tout, il était mort et il en était revenu, pouvait-il réellement parler de choses « impossibles » ? Ce mot était-il toujours utilisable en ces circonstances ? Quand même la magie existe, plus rien n'est sûr pour personne et l'on peut commencer à douter de la véracité de tout. Il fallait aussi avouer que les rites sacrés lui faisaient réellement mal : le divin était donc une réalité. Si le divin existait, alors... Non, il ne pouvait pas se faire à cette idée, lui qui ne se rappelait en aucun point de sa « nuit », comme il aimait appeler le moment qui l'a séparé entre son égorgement et le rituel qui ramena son âme dans son corps.

Il préféra esquiver le sujet et plutôt continuer sur la deuxième remarque de son interlocuteur, bien plus intéressante et bien moins dérangeante. Mannfred n'était pas quelque enfant qui recherchait ses origines, il n'avait cure de ce qui avait bien pu se passer pendant cette « nuit ». Par contre, la conquête, c'était quelque chose qui lui parlait, et il pouvait en discuter.


« Le protecteur de ces terres ? Il se retint de pouffer. Par le Maître, non ! Disons que ceci est le vivier de mon Maître et que gaspiller des vies est prohibé. Le véritable protecteur de cet endroit est... élusif, c'est le moins que je puisse en dire. Je ne le connais pas, mais j'aimerais bien. En fixant son interlocuteur dans les yeux avec un de ces regards lourds de sens que l'on comprend du premier coup, il continua : C'est vrai, quoi. Une si grande armée qui se tourne les pouces, c'est mauvais pour la discipline. Il faut marcher, faire campagne. Je devrais le conseiller, un de ces quatre, non ? »
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyLun 7 Sep - 3:15

Par la manière dont le casque s'était retirer, il en avait aucun doute supplémentaire, la fluidité, l'assurance et la carrure! C'était bel et bien cet âme qu'il avait discuter lors de son périples au fond des enfers! Il était donc tomber entre de bonnes mains et saurait faire preuve d'écoute, comme il ne connaissait pas ce monde. Il devait tout apprendre de nouveau, savoir comment gagner la confiance et faire partie du camps le plus proche de ses convictions pour aider à sa cause et être prêt pour reprendre ce que les humains ont tenter de lui prendre. Évidemment, à sa réponse lorsqu'il plaça le mot impossible, un sourire encore plus étirer sur ses lèvres s'afficha et c'est pour dire qu'il n'a pas ajouter de mots supplémentaire. Peu d'âme avait refait surface sous son règne, mais beaucoup savait se faire allier avec Stan. Ce n'est pas l'être le plus apprécier du monde, sauf lorsqu'on partage ses convictions ou qu'on sait où aller chercher des points supplémentaire.

Les larbins d'ennuis s'amusèrent à se pavaner au sol pour aller voir les citoyens et leur faire des grimace pour leur faire peur, pendant que les seigneurs respectif savaient partager la bonne paroles dans ce monde qu'était bientôt pour sous leur convictions et demande. À sa remarque sur le ''Protecteur'' des terres, Stan afficha un sourire des plus amèrement déçus et à la fois heureux de voir que les arguments voguaient dans le même sens. Décidément ni lois, ni ordre ne régnait et le chaos pourrait plus facilement prendre place dans ce petit bout de village. Puis à sa remarque sur l'armée, le sourire se dessina des plus belles à son sourire exposant encore ses crocs.


-Il faut plus que le suggérer... Il faut en montrer l'exemple par le geste!... Apparemment selon vos dires, ils ne semblent pas que ses armées aient pour ordre de réellement conquérir ou protéger leur terres!...

Un petit rire cynique se glissa dans sa voix. Il tenterait de se faire allier avec cette vieille connaissance qui lui avait tant parler du monde d'en haut. Des conversations lugubre et parfois même sanglante, mais si animer entre les deux ayant connus le même ''Parcours'' sans les même détails de contrats. Pour le maître, l'idéologie était bien simple, il était encore trop faible pour diriger quoi que ce soit, autant donc donner une avance de stratagème à ce jeune homme qui avait une solide tête sur les épaules et de le supporter quoi qu'il fasse. Après tout, il ne lui servait à rien pour le moment de croiser le fer, tant qu'il n'aurait pas retrouver son maniement de l'épée ou du grimoire. Il avait tant à faire et si peu de temps! Si les choses continuaient dans la tournure qu'elles avaient commencer, il ne serait pas rare de voir ses deux êtres venus tout droit des enfers conquérir côte à côte. Un allier de bonne taille, n'es jamais de trop, mais en plus vus sa nécromancie, le mélange des deux mondes pourrait donner un terrible coup d'avance pour venir conquérir.

Plonger dans la conversation, les deux hommes n'avaient pas oublier les humains autour, mais il fallait plutôt dire, que le centre de conversation se jouais entre les deux regards plonger l'un dans l'autre. Ce qui eu pour effets de rendre l'ensemble des gens tranquillement de plus en plus nerveux, jusqu'à ce qu'un pauvre citoyens tentent dans un actes désespérer de venir éclater sa bouteille à la mains contre le crâne de Stan. Celui-ci ne broncha même pas au cris barbare du citoyen et garda contact avec l'homme. Au moment où la collision entre le contenus de verre et son crâne allait éclater, Beta sautilla sur place, s'agrippant au tissus de son maître et reçus en pleine tête le vicieux coup au lieu de son maître. La bestiole virevolta sans aucun sens précis, avant de frapper un des murs laissant un son de sa machoire qui s'écrasa contre celui-ci. D'instinct, Stan observa l'homme au casque en mains dans les yeux en soupirant.


-Le mortel ne changera donc jamais... Et nous pendant ce temps nous attendons tel des pantins au lieux de prendre en mains notre futur et de conquérir leur terres qu'ils prétendent avoir si sagement gagner... Ouvrez vos yeux cher collègue... Prenez l'avenir en mains et diriger nous dans l'adversité! Quoi que vous ferez, je suivrai vos instruction et je porterai honneur... Nos voies se sont déjà croiser... Dans un autre monde, un autre univers... C'est vrais. Mais je n'ai qu'une parole pour ceux en qui j'ai respect...

Dans sa rage qui continua de s'enflammer, sous ses verres noirs ont pût voir la rougeur de ses yeux briller malgré la teinte noire des petites vitres. Il se retourna pour regarder le mortel et le pointa du doigt et tout lui revint telle une éclaire en tête. Une douleur qui lui raisonna entre les deux oreilles telle un fer rouge qui vous est étamper contre votre cervelle.

-Je me souviens... Duc... Von... Carstein... Cette histoire qui m'avait tant interpeller... Ce visage si jeune et ses intentions si pure...

Dans ses paroles un genoux s'exécuta au sol comme un mécanisme et de son épée qui apparût dans sa mains, il posa la lame contre le sol abaissant sa tête pour montrer un signe d'allégeance en ayant un sourire plus diabolique que jamais. Sous sa chaire blanche comme la neige ont pouvait voir se dessiner des lignes et sa peau bouger pour laisser place lentement à deux ailes qui se déployèrent lentement dans son dos. Ses ailes déchirer et cicatriser de plusieurs combats, mélanger à ses crocs lui présentaient sa forme presque complète. Sans compter ses ongles qui se transformèrent lentement en griffes beaucoup plus longues et ses yeux qui reluisait sous ses lentilles.

-Vous aviez déjà ma parole que le jour de nos retrouvailles, je vous avais promis une totale alliance entre nos deux mondes... Mais j'avais oublier tout ce potentiel que vous pouviez avoir... Laisser moi conquérir à vos côtés et montrer moi comment ce monde fonctionne...

Il garda sa posture en ayant Alpha à ses côtés qui prit la même position silencieux, puis Beta qui ré-apparût de l'autre côté en ayant le même regard. Quand au citoyen à la bouteille il observa le Duc en pleins dans les yeux.

-Mais vous êtes tous en trains de devenir fous ma parole?!

Puis il s'élança avec sa bouteille dans la direction du Duc tels un héros, sans prendre conscience des conséquences.
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyLun 7 Sep - 11:49

« Les armées ! Ah, les armées ! Ici, point de protection. Non, à tout dire, ici, c'est même l'inverse, il n'y a que le conflit. Cela s'explique par les lois singulièrement conçues : il se trouve que la force fait la loi et que celui qui veut être respecté doit prouver qu'il le mérite par sa puissance. Vous parlez de protection ! Non ici, ce qui importe... C'est la conquête. Bienvenue en Vermeï. »

Écartant le bras qui ne tenait pas le casque, c'est ainsi qu'il réagit au commentaire sur le rôle des armées ici bas. Il avait parlé d'un ton magistral, un grand sourire aux lèvres, tournant parfois sur lui même comme s'il ne parlait pas seulement à son vis à vis mais à la foule entière, peut être au monde entier. C'était comme un prélude à ce qu'il comptait faire plus tard, la première phrase du roman qui décrirait son grand plan, et dont il était le personnage principal, bien entendu. Tous les mots phares s'y retrouvaient : les armées, la force. La conquête.

Tomber en ce moment sur un personnage qui ne connaissait rien du monde mais qui partageait les idéaux de destruction de ses ennemis et d'accumulation de territoire, c'était une aubaine ! Il faudrait lui expliquer comment fonctionnaient les choses, enfin du mieux que Mannfred le pouvait puisqu'il n'était pas spécialement au fait de tout ce qu'il se passait dans le monde en ce moment. Il lui fallait encore visiter, explorer, tant qu'il ne l'aurait pas fait il ne serait peut être pas sage de lâcher les armées contre le monde. Il était conquérant mais il n'était pas fou, il n'allait pas engager ses troupes en terrains inconnus contre des ennemis inconnus ! De plus, s'il était évident que Vermeï comptait le plus de guerriers, une alliance des trois autres factions pouvait causer sa perte et il fallait l'éviter. Enfin, le revenant lui même n'était pas très certain de sa place dans la hiérarchie. Il s'était engagé, il avait prouvé sa force, mais... On ne lui avait rien donné de spécial. Il n'avait pas de « rang » dans l'armée, ne savait pas spécialement combien d'hommes la composait, ne savait pas s'il en avait sous lui... Beaucoup de détails importants lui échappaient ! Il savait qu'il pouvait sûrement établir une pyramide de commandement en frappant un peu fort sur l'un ou l'autre des gens déjà importants qui traînaient dans les couloirs du hall de guilde, mais ce n'était pas suffisant pour faire une vraie chaîne de commande. Il ignorait également qui étaient ses supérieurs, de plus, ou s'il en avait. Il n'avait pas eu le temps de rencontrer des êtres plus puissants que lui pour le moment, alors peut être n'en avait-il pas et n'était-il second que de l'empereur lui même ? Ne l'ayant jamais rencontré, il ne pouvait même pas être sûr de cela.

Toujours était-il que la foule ne tenait plus en place. Que ce fut le petit discours des deux interlocuteurs ou le manque de punition d'un meurtrier notoire, il y régnait un murmure de désapprobation qui croissait en chaque instant. Qu'importait à un duc comme lui les caprices de la plèbe ? Il n'en avait cure, il ne devrait même pas avoir à signifier sa désapprobation pour que ces simplets comprennent que si lui même avait pardonné, alors tous devaient faire de même. Hélas, les choses ne se passaient pas comme ça, il n'était pas encore assez connu dans le coin. Un idiot eut même le culot d'attaquer avec une bouteille en verre la personne qui venait d'arriver en Horizon ! Quel fou, c'était se suicider. N'avait-il donc pas d'esprit ? Ce devait être le cas, pour qu'il s'acharne avec une arme de fortune sur un guerrier, dans le dos en plus. La vérité, c'est qu'il n'avait jamais eu aucune chance de réussite, malgré l'absence de mouvement des deux protagonistes. Lorsqu'il abattit son tesson, une des créatures défendit son maître et ce fut tout. Très anti climatique comme dénouement, mais c'était à prévoir. Un guerrier n'attaquait pas avec une bouteille : c'était donc un paysan ; un paysan ne pouvait être puissant : il était donc faible. L'équation se résout d'elle même, il était mort avant même d'avoir attaqué.

De manière assez surprenante cependant, celui qui fut attaqué ne pris aucune mesure immédiate envers son agresseur. Ce dernier, assez choqué d'avoir vu son attaque parée sans coup férir, restait bête, immobile, regardant la bestiole qui l'avait empêché de mener à bien son opération, tandis que le premier continuait la conversation comme si de rien n'était. Décidant de suivre le flot de l'action, ne voulant pas non plus blesser l'amour propre de son interlocuteur en prenant des mesures inutiles, Mannfred décida de ne rien faire non plus. L'insolent avait de la chance, il était peut être épargné. S'il en profitait pour s'enfuir, les interlocuteurs pourraient se rendre compte qu'il restait une once d'intelligence dans l'humanité. Dans le cas contraire, c'est que l'humanité était perdue à tout jamais.

À peine venaient-ils de se rencontrer, le duc et l'être ténébreux, à peine avaient-ils discutés, que déjà le second parlait d'allégeance et d'alliance. Pourquoi en était-il ainsi ? Peut être était ce la certitude d'une supériorité martiale du revenant ou la bonne impression d'une seconde rencontre dans un lieu aussi inattendu. Mannfred n'était pas près de laisser passer une occasion pareille, d'autant plus que cela flattait son ego.

Alors qu'il se mettait à genoux, dévoilant sa forme complète et jurait allégeance au duc, comme il avait toujours été de coutume pour un chevalier devant un suzerain, le récemment apparu dévoilait sa véritable forme, ses ailes, ses crocs, ses cicatrices ! Ce devait être un bon guerrier, un homme de qualité. Mannfred n'était pas du genre à prendre les vœux à la légère, lui qui était noble, et un serment aussi immédiat, peu réfléchi, pouvait être pris comme un peu léger. Mais il voyait la sincérité dans le sourire machiavélique que l'autre arborait, une sincérité née de l'assurance d'un futur de feu et de sang.

Le revenant en avait presque oublié le malotru qui avait attaqué avec son tesson plus tôt, ayant considéré qu'il avait dû s'enfuir après sa déconvenue, puisqu'il ne pouvait pas être totalement idiot. C'était une erreur totale, il n'avait pas encore disparu, et c'était parfait. Tandis que l'autre enrageait tout seul, Mannfred dégaina sa rapière moyenne de la main gauche, comme elle devait l'être, et empoigna correctement son casque de la droite. Faisant un pas vers l'homme agenouillé, il laissa arriver l'énergumène qui brandissait son débris de bouteille comme s'il avait la moindre chance contre un guerrier en armure. Le mort vivant le regarda d'un air hautain, sans même prendre de posture et para nonchalamment l'attaque qui lui était destiné avec son casque, avant d'enfoncer la rapière dans le cœur de l'assaillant, le tuant sur le coup mais imprégnant l'épée de son liquide vital écarlate.

La lame retirée du corps de son frêle adversaire qui s'effondra mollement sur le sol, le duc procéda à la cérémonie d'adoubement dans les règles de l'art. Il apposa l'épée par trois fois sur les épaules puis la tête de l'homme à genoux et, en prenant son air le plus solennel, déclama :


« Par ce serment, que la foule et le Maître qui bientôt régnera sur tous les vivants en soient témoins, je vous fait Chevalier de l'Outre-tombe, ordre fondé aujourd'hui même en la Très sainte Cathédrale de Fushia dans un but expresse de Conquête et de Gloire. Lâchant son casque au sol, il pris l'homme à genoux au menton pour le relever un brin, puis lui pris les mains, dans lesquelles il plaça le pommeau de l'épée recouverte de sang. Il ajouta, toujours aussi magistral, mais un peu joueur pour la dernière phrase : Servez moi bien, et vous serez récompensé. Ceci vaut, à peu de chose près, intégration dans la faction plus large des Conquérants. »

Ceci fait, il se servit du cadavre nouvellement formé pour ramasser le casque tombé (il n'allait pas non plus se baisser lui même après une telle cérémonie), lui pris des mains violemment, comme si même lorsqu'il était revenu comme cadavre servile, il n'était qu'un moins que rien indigne de toucher les affaires du duc qui finit le sort juste en récupérant sa possession, le laissant s'effondrer à nouveau sans rien faire. Il se retourna, présentant son dos au chevalier nouvellement adoubé prouvant une confiance sans borne, regarda la foule, écarta les bras et leur lança, les haranguant :

« Voyez, citoyen, ce qu'il advient des importuns, et voyez ce qu'il advient des méritants et des forts ! Entendez moi ! Je déclare ce jour que toutes les terres d'Horizon sont la propriété exclusive de sa majesté mon Maître et que vos vies sont dans mes mains comme elles seraient dans les siennes ! Marquez ce jour comme celui d'une ère nouvelle, car bientôt le ciel se teindra de rouge, et je tiens à ce que tous les guerriers dignes de ce nom suivent ma bannière vers la gloire. Quant aux autres... Il lança un regard au pathétique cadavre prostré sur le sol et ajouta, méprisant au possible : ils ne méritent pas la vie, ni le cadeau du retour. Faites votre choix rapidement, car bientôt, je prendrais acte, et après il sera trop tard pour reculer. Maintenant, circulez, j'en ai assez de vous. »
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyLun 7 Sep - 15:00

Les évènements allaient si rapidement que Stan se contentait de hocher la tête par moment pour tout suivre, mais il ne manqua aucun mots de ce que le Duc lui disait. Quand aux peuples autour il n'y avait pas de millions de manières de le dire, ils ne comprenaient littéralement plus rien à ce qui se passait dans le fil des évènements. Celui qu'ils avaient crût être bon sauveteur était en trains d'avoir une grande discussion avec le précédant agresseur! Quand à Stan, il buvait les paroles aux mots de son collègue nécromancien et se demandait réellement à quel point leur magie pouvait être compatible! Car à bien y réfléchir ils avait réellement des atomes crochues à ce niveau au moins. Toujours un genoux au sol, il laissa les évènements se dérouler comme un film en observant les fais et geste de son nouvel allier. Il était si gracieux dans sa manière de combattre, tel une jeunesse bien entretenue dans un corps aussi menaçant!

Il fallait le dire, pour le style et la tenue d'un Duc, il était plutôt bien conserver dans sa boîte de conserve! Dans la suite logique des évènements s'attrista le décès du fou à la bouteille de verre, mais qui donna une autre leçons aux habitants. Il avait voulut faire un acte héroïque et était mort tel le manque d'intelligence qu'il avait oser prendre. Mais silencieux et perfide, Stan adorait le spectacle qui se déroulait sous ses yeux à observer assurément ce spectacle qu'il ne se lasserait pas de regarder encore pour des années à venir. Puis en vint à son tour, où son nouvel allier approcha l'épée de sa tête. Une seule pensée lui vint en tête, à espérer qu'on ne tente pas de lui trancher! Sans quoi évidemment viendrait une série de bagarre dans laquelle s'engagerait deux hommes trop puissant pour simplement tout régler à grand coup d'épée! Ce qui fit le réel coup d'honneur pour Stan fût l'adoubement.

Il n'était pas de retour depuis si longtemps sur cette terre, qu'il avait déjà trouver chaussure à son pied et quelqu'un pour s'engager de le ramener dans les bonnes voies, afin que son pouvoir soit simplement utiliser à profit et contre les bon adversaires. Le discours prononcer faisait un bond d'écho entre les deux oreilles de Stan, mais il prévoyait un grand avenir au seins de la faction des conquérants! Il existait donc un groupe ou un rassemblements dans les même idéologies que ses deux là? Alors là il ne suffisait ni plus ni moins que cela pour compléter une arrivée sur la terre ferme! En même temps, il n'avait pas chercher plus loin que le bout de son nez, puisque après une décennie à vivre seul au rayon des morts, ont peut s'imaginer tant de scénario sur la terre promise! Tant de changement et tant de haine.

Une fois l'adoubement compléter, Anodrac redressa lentement la tête pour regarder le Duc s'adresser au peuple et il devait se l'admettre. Il était bon maître des enfers, mais ne pourrait pas diriger le monde vivant. Tant de chose restait un mystère et si peu de temps pour tout apprendre. Tandis que lui, il avait déjà l'air capable de se forger un nom, une identité et de filtrer le décor à lui seul! Capable de contrôler son environnement tel des pièces et des pions qu'il déplace dans un univers pour être capable de prévoir un plans. La bonté des enfers n'est généralement pas offerte à aucun vivant, mais dans cet indigne cas, Anodrac saurait faire une grande exception! Il serait capable de lui offrir l'aide qu'il nécessitait pour faire des conquérants une faction encore plus dangereuse et même qui sait recruter des gens aux mêmes idéologies pour son maître et allier de l'au-delà!

Ressentant que l'adoubement était terminer, il se redressa lentement et mit son épée à sa taille, chose de rare puisqu'il la faisait disparaître habituellement! Et lentement il replaça ses vêtements, laissant ses ailes se déployer pour s'étirer et se rabattre tranquillement. Un petit spectacle qui fit tourner quelques têtes. Et au moins dans cet posture, le Duc ne pourrait pas dire que Stan était humains! Après tout, ce n'était pas routinier de voir quelqu'un dans cet état. Enfin, il observa les gens se dissiper après son discours, préférant se tenir dans l'ombre et ne rien dire. Ses deux larbins quand à eux ricanaient à les voir partir. La pièce se retrouva vide et enfin Anodrac pouvait voir les portes pour sortir de cet endroit maudit qui était plus perturbant qu'autre chose pour lui à bien y penser. Un maître de la noirceur, du chaos et du mal dans une église? C'est un peu comme un éléphant dans un abattoir. Mais ressentant que le silence à proprement parler s'était installer, Anodrac prit donc la parole en ayant ni plus ni moins un sourire au lèvres.


-Et bien c'est un obscur plaisir que d'accepter de faire partie de la faction des conquérants! Je serais plus qu'honorer de pouvoir enfin servir au côté d'un nouvel allier. Seulement je constate que le temps avance et que je vous retarde sûrement pour faire vos petites choses! L'adoubement feras donc de cette petite initiations quelque chose de plus officiel! J'en suis donc membre et fier d'en faire partis à vos côté, vieil amis. Maintenant il ne reste plus qu'à attendre votre commandement.

Une chose était certaine, il n'allait pas prendre du repos dans l'ombre! La prochaine étape serait de simplement recruter des allier de taille pour la bonne cause en vue de rendre les conquérants quelque chose d'encore plus complet pour le Duc. Il aurait une armée, il aurait le pouvoir et Stan se chargerait personnellement de s'assurer qu'il y accède! Malgré l'indisponibilité présente de la chose. Cet homme avait une vue sur l'ensemble de ses projets et il allait s'assurer qu'il puisse y arriver de manière sanglante et emplie d'assurance.

-Continue ce que tu avais commencer et indique moi où te revoir cher Duc. Je serai au rendez-vous avec des allier de tailles et nous formerons une alliance à tes côtés! Du moins, je serai là pour te soutenir quoi qu'il se passe.

Il attendait les commandement prêt à partir!
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MessageSujet: Re: Montre moi le chemin... [PV Mann]   Montre moi le chemin... [PV Mann] EmptyMar 8 Sep - 21:19

La foule après ce discours, finit par se disperser, un sentiment mitigé la prenant sans que l'un ou l'autre ne puisse avoir le dessus : certains étaient contents d'avoir assisté à une cérémonie qui semblait importante, tandis que d'autres étaient mécontents de voir qu'on pouvait tuer des gens sans répercussions dans ce satané pays. Qu'importait ces derniers, pensait Mannfred ! Il n'y avait pas de place pour les faibles en Vermeï, seuls ceux qui étaient capables de se protéger ou de s'assurer la protection d'un plus fort pouvaient avoir le privilège de vivre ici.

Haranguer la foule était un peu éreintant, surtout que d'habitude ce n'était pas son rôle, mais le revenant pensait avoir fait un bon travail cette fois ci. Il avait confiance en son éloquence et si son apparence ne payait pas de mine, il était prêt à prouver à n'importe qui qu'il avait le profil pour appuyer ses paroles, et pas que le profil ! Il avait aussi deux épées bien aiguisées. Le seul paramètre un peu instable, selon lui, était la réaction de l'actuel chef du groupe lorsque le discours arriverait à ses oreilles, si toutefois ce discours lui arrivait. La création sur le tas d'un ordre de chevalerie au sein même de son groupe pouvait lui déplaire, ou alors, pour garder la face, il l'officialiserait... Mannfred était vraiment incapable de deviner ce qu'il adviendrait de tout ça. Il pensa même à voix haute, presque résigné :


« Bah ! Qu'importe. Qu'il vienne, si ça lui déplaît, je l'attend. »

Il se retourna ensuite de nouveau vers Stanislav et se caressa doucement le menton en le détaillant un peu plus. Il était, en fait, assez impressionnant. Il ne s'était pas rendu compte d'à quel point son nouveau chevalier était plus grand que lui puisqu'il était plutôt occupé à régler l'agitation de la foule et sa propre agitation intérieure à la vue d'une personne qui lui semblait familière sans savoir pourquoi. Peut être se serait-il plus méfié s'il n'avait pas été distrait. Encore une fois, ce n'était pas très important, puis s'il avait été plus prudent les choses auraient moins bien tourné. Peut être était-ce à cause de cela qu'il n'était pas plus populaire dans son propre monde... Trop prudent, toujours parfait, toujours à procéder avec la plus grande caution dans l'exécution des ordres de son maître... Cela devait en agacer plus d'un. Ce devait être l'air de ce monde qui lui donnait plus de spontanéité, sans compter la cascade d'imprévus qui n'arrêtaient pas de lui tomber dessus jour après jour, ce qui devait éreinter un peu ses sens et sa perspicacité habituelle.

Le mort vivant écouta distraitement ce que lui racontait son sombre chevalier, pensant à ce qu'il devrait faire ensuite. Il ne savait pas s'il était sûr de rentrer tout de suite dans ses quartiers, puisque sûrement il se serait attiré quelque animosité ou admiration de la part de certains membres, ce qui troublerait sa tranquillité, dont il avait envie pour l'instant. Il avait en plus envie de visiter un petit peu le royaume qui serait par la suite celui de son Maître, sécuriser cet avant post était le minimum qu'il pouvait faire avant l'arrivée de celui ci compte tenu de la mission qui lui avait été confiée, et ne voulait donc pas trop traîner dans Fushia. Enfin, il lui fallait un peu évaluer le niveau des guerriers du coin, vindioux ! Une nation de guerriers mais de guerriers mous, ce n'était pas permis, or une nation de guerriers qui n'a pas d'objectif fait naître des guerriers mous. Il se ferait sergent instructeur s'il le fallait mais il deviendrait le cauchemar des faibles et des flemmards, c'était une certitude !

Enfin, puisque Stanislav le lui demandait, Mannfred réfléchit à un endroit où l'envoyer puis à un endroit où se retrouver ensuite. Il n'y avait pas réellement pensé, à ce moment, mais il ne prit pas beaucoup de temps pour arrêter sa décision et répondre nonchalamment à son interlocuteur :

« Avant de venir ici, j'avais en effet quelques projets en cours. Je les partagerais bien avec vous, mais je n'ai pas le temps de m'arrêter et vous avez des choses plus utiles à faire puisque j'ai quelques petites missions à vous donner. D'abord, vous devriez aller vous faire connaître des autres membres à peu près importants au hall de guilde, histoire que votre adhésion soit plus ou moins officielle. Vous gagnerez à être plus connu de toute façon. Il pris un air plus sérieux pour lui donner sa seconde mission : ensuite, qu'importe où vous allez : répandez notre nom. Recrutez, vindioux ! Plus nous serons nombreux, mieux ce sera. Nous devons devenir une force non négligeable de cet empire, une force avec laquelle il faudra compter pour faire de la politique dans ce foutu pays, dont on ne pourra plus jamais parler prononcer de concert notre nom ! Il fit une petite pause, semblant avoir fini, mais se rappela d'une dernière chose et ajouta, plus badin : Puis si vous croisez, au hall de guilde, un petit bonhomme un peu normal, le type chétif mais hargneux, pas plus haut que votre bassin, qui s'appelle Jean, c'est mon homme. Dites lui que je viens pour vous et il vous montrera un endroit fort agréable que j'ai monté dans les catacombes, un petit bureau et un lit bien protégé puisque perdu dans un dédale assez long. Vous m'en direz des nouvelles ! Puis quant à l'endroit où nous nous retrouverons, je ne sais pas, j'enverrai un courrier au hall de guilde le cas échéant. Adieu, camarade ! Nous devrions nous recroiser bientôt, de toute façon. »

Sur ces mots, il considéra la conversation terminée et tourna les talons, se dirigeant vers sa prochaine aventure !
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