Le vent souffle sur la petite clairière de Vermeï et le jour est si calme qu'on pourrait presque considérer sa ville d'endormis. Les actions sont longue et très lente, personne n'ose même plus sortir le bout de son nez pour simplement voir ce qu'il s'y passe. Les jours se font très longs et la dernière parole dont on ai eu de Mannfred et son vile allier remonte très loin. Les nuits se sont accumuler et les journées ont été très longues. Épuiser d'attendre, le peuple s'est lentement remit de l'éprouvant moment où Mannfred est passer, où il à profaner grandes paroles pour attirer l'attention de tous et surtout combien les gens avaient repris espoir en sa grandeur et ses mots. Les gens avaient bus dans ses paroles et auraient été jusqu'à le suivre dans la mort pour supporter sa grandeur. Seulement, voici des jours qu'aucune action de sa part ne s'était fait ressentir auprès de Vermeï et aucune action veux bien dire une accalmie dans le morale de ses troupes. Le désespoir commence à être et les gens retourne à leur vie lipide et sans vie, où aucune couleur anime leur coeur.

De toute manière dans cette ville froide et sans intérêt, nombreux cavalier solitaire ont fait bond pour se proclamer champion de leur ville et nouveaux défenseur! Cette fois-ci par contre, la différence avait été l'approche que Mann avait employer, mais les choses étaient sur le point de changer. Marchant lentement vers les portes de la ville, une imposante carrure et un capuchon pour couvrir son visage, faux à la mains, Anodrac arrive vers les portes de Vermeï. Évidemment à sa démarche, la fatigue d'un long voyage à été accumuler, mais droit de tenue, il s'apprête à revenir dans la petite ville. Chaque pas est remplis de confiance et contrairement à son arrivée sur ses terres, plus de bonne tenue. Il n'a suffit que de quelques minutes à Stan pour se faire apercevoir et que sa venue à autant été convoiter que le retour d'un dieu dans sa taverne, les gens se réunissait lentement à l'entrée de la ville sans dire un mot et l'observant arriver.

Son visage était déjà connus des environs et respecter même par certains d'entre eux. Assurément, il aurait longue route à faire pour venir en aide à ce peuple, mais il avait protéger allégeance à Mannfred, allégeance qu'il devrait briser... Qu'il devra surtout enterrer pour le moment et régler compte avec lui, le moment venus! Maintenant ce qui compte c'est de redonner vie à une terre qui n'en à plus, redonner un visage à ses habitants qui cherche à savoir pourquoi il rentre seul évidemment. Les voix commencent lentement à se mêler les unes aux autres et tous cherche le regard de Stanislav pour avoir droit à une seule petite réponse. Ignorant les regards et continuant lentement son chemin, il avait un plan en tête et sincèrement soit tout ceci allait fonctionner et il ressortirait victorieux, soit il se ferait simplement huer du peuple et ignorer des autres. Mais assurément, il devrait faire face à l'ignorance que Mannfred avait donner au peuple et l'absence dont il avait fait ressentir à ses villageois. Il était débarquer ici, avait fait sentir sa présence et c'est ce qui avait réveiller ce peuple endormis.

S'arrêtant lentement au milieu du village, il observa lentement chacun des villageois qui était les plus près de lui et retira doucement sa capuche, exposant son visage blême au soleil. Les réactions se mélangèrent entre l'indifférence et la crainte, surtout qu'il avait déjà fait preuve d'un tempérant assez violent auprès de certains civiles. Que personne ne se méprenne, il aurait pût tous les tuer, il l'aurait fait et ce serait approprier le village à lui seul, mais rien ne se bâtis sans ouvriers, sans mains pour garder la cité en état de combattre. Bien que Mannfred lui avait opter pour la subtilité, il était temps de faire goûter au monde moderne des habitant de Vermeï et leur offrir sur un plateau d'argent ce qu'ils avaient pût espérer avec l'arrivée de Mannfred dans leur rang.

Sa faux toujours dans sa mains, lentement il la planta dans le sol et croisa les bras en marchant autour et observant les gens qui l'entouraient. La foule se dissipa pour créer un grand cercle autour de Stanislav qui marchait encore silencieusement en observant tout le monde. Les ressources était grandes et la volonté de survie plus ou moins active, mais remotiver des troupes serait choses qui pourrait facilement se faire. Malgré une réputation assez difficile à faire disparaître, petit dictateur qu'était Stan, il devrait laisser la mort parler et faire le reste du travail par la suite. Simplement agir à titre de pantin et pouvoir par la suite laisser les mots venir seul.

Activement, il leva la mains pour faire taire les murmures qui étaient simplement de plus en plus entremêler afin de pouvoir avoir l'attention de tous. Il s'avança lentement vers une petite table et marcha dessus pour surmonter celle-ci et observer la foule plus qu'attentive au moindre mots qui pourrait bien sortir de sa bouche. À partir de ce moment, tout était à lui et lui seul de jouer pour dire évidemment les bonnes paroles et récupérer la confiance des habitants.

-Je sais que ce n'étais pas le retour que vous attendiez...
-Il nous à abandonner...
-Il nous à trahit!

Un méli-mélo de commentaire commença lentement à s'entremêler les un sur les autres, enterrant ce silence qui avait prit place. Stan toujours les bras croiser observa le chaos qui reignait et soupira lentement avant d'enfoncer deux doigts dans sa bouche et de siffler un grand air aiguë, attirant l'attention de tous. Lentement les gens tournèrent du regard dans sa direction en se demandant ce qu'il lui prenait.

-Qu'il soit partit où bon lui semble, qu'il fasse ce qu'il à en tête... C'est une chose! Mais que vous soyez rester seul ici les bras croiser à attendre son retour... C'est le plus pénible à regarder...
-Parce que tu as un meilleur plan toi... On te rappelle que tu as tuer nos femmes, nos enfants, nos guerriers...

Un accord de voix commença lentement à se faire entendre s'appuyant l'un sur l'autre.

-Oui j'ai tuer, oui j'ai fais couler votre sang... Suis-je fier de l'avoir fait? Non... Suis-je désoler? Non plus! Mais si je sais une chose, c'est que vous êtes en danger... Les temps changent, l'horloge gagne du terrain et chaque jour... Un adversaire pourrait débarquer ici et vous envahir! Prendre possession de vos terres!...
-Et qu'es-ce qui nous dit que t'en ai pas un justement... Toi et ton pote à casque...

Ricanant doucement, Stan se glissa doucement une mains sur son visage avant de relâcher un soupir. Il fixe doucement celui qui viens de lancer cet argument de taille avant de lui répondre.

-Le noble et moi servons une cause qui se rallie à conquérir ses terres pour faire entrer nos ressources... Nos connaissances... Et notre aide pour vous... Mais pour ce faire. Nous devrons conquérir plus de terre, plus d'homme, de peuple et du sang devra malheureusement couler...

Un silence dans la ville accompagna les lourds mots que venait de prononcer l'homme à la longue tunique. Il sauta doucement de sa table en marchant parmi les homme qui s'éloignait, histoire de lui laisser le passage.

-Une guerre arrive et nous ne serons pas nécessairement les seuls à vouloir conquérir! D'autre voudront aussi nous empêcher d'avancer... Nous empêcher d'évoluer dans cet univers... Mais nous devons trouver le moyens d'ouvrir des brèches et d'agrandir notre peuple... Je n'oblige personne à se rallier à ma cause... Mais Nul terre sans guerres mes amis... Je vous ai fais confiance en revenant vers l'origine de mon apparition... Comme vous devrez faire confiance en quelqu'un pour diriger les hommes dans la victoire... Dans une guerre qui obligera tout camps à se battre!

Pesant ses mots, les regards s'échangèrent et certains hommes s'approchèrent de Stan, ayant déjà vus de quoi il était capable de faire, d'autre au contraire restait assez nébuleux face à ses commentaires. Comment être assurer qu'il disait la vérité? Qu'il ne profitait pas d'un simple peuple qui avait déjà le genou contre le sol prêt à donner le dernier souffle.

-Pour moi, comme pour vous, malheureusement ceci aura beaucoup d'adaptation, d'impact et de ré-organisation militaire! Des murs plus haut devront être bâtis et des portes plus solide! Ce qui nous attends, n'es rien à ce qui arrive droit sur nous! J'ai besoin de savoir sur qui je peux compter. Faîtes un pas en avant.

Sur la foule présente, environ le ¾ des gens lentement posèrent un pied en avant. Certains avec une lueur de confiance et déjà pleinement convaincu, d'autre pour le simple fait qu'ils croient ne pas avoir meilleur choix et encore certains pour appuyer amis ou famille qui était déjà engager. D'autres toutefois restait bel et bien sur place à ne pas broncher d'un seul orteil. Ceux qui s'étaient vouer à Stan parfois échangeait des regards dans ceux qui n'avait pas placer un seul pied en avant, comme pour d'autre, le regard était déchirer par le choix qui s'imposait. Stan resta de glace et continua.

-Ceux qui ne me seront pas loyal auront quand même droit à un toit où dormir et une protection... Mais j'espère venant d'eux qu'un jour ils changeront d'avis... Et bien messieurs, mesdames et enfants... Une guerre approche et nous devons fortifier cette ville!

C'est donc ainsi, sortant les plans de la ville, que homme, femme et enfants commencèrent à s'activer pour solidifier la ville de Vermeï afin d'en faire un château imprenable. Commençant à hausser les murs, solidifier les portes! S'assurer que la ville soit entourer des murs les plus solide qu'on ai pût entendre parler. Une ville qui dormait s'était maintenant réveiller et Stan n'était pas prêt de redonner les reines de son nouveaux rôle.

-Faîtes circuler la rumeur... Anodrac monte une armée... Et tout conquérant qui veux se joindre à lui devra venir dans Vermeï le rencontrer! Il sera juger, qualifié et aura son rôle à jouer pour l'assaut que nous allons faire...

Un nouveau jour allait se lever sur Horizon et ce serait celui de l'ère d'une guerre.