Une invitation ?

Voilà plusieurs jours que j'avais quitté Celestii. Cette grande étendue froide et enneigée me donnant quelques airs de nostalgie par rapport à Umbrella. J'ai fait la connaissance de quelques personnes, notamment un jeune homme dont le besoin de symétrie peut lui sembler mortel en cas de manque, du moins le lui faire remarquer lui donne des envies de suicides et de s'insulter lui même mais du moins, il m'a appris une chose, c'est que je ne suis aucunement prêt à affronter la magie, la victoire fait avancer vite mais la défaite fait avancer longtemps. J'ai pourtant l'étrange impression que quelques choses à changer dans mon intégrité structurelle, comme une impression d'adaptation par rapport à cette « défaite ». M'enfin, ça ne doit être que mon imagination.

J'ai atteint les terres de Viridia mais ça je ne le savais pas encore, c'est juste pour vous donner une idée de l'endroit où je me trouve, quel 4e mur ? Atteignant un promontoire, j'observe la forêt qui s'étend à perte de vue, quelle magnifique spectacle, dire que je pouvais le voir via les télescope planétaire mais je n'en ai jamais pris le temps, trop occupé à préparer la guerre. J'observe donc en silence ce paysage sans réelle forme, il fait plaisir à voir et le silence n'est uniquement dérangé que par les bruits de cette dite forêt, ses animaux qui évoluent dans ces terres qui sont les leurs, profitant de leur pré-conscience sans réellement savoir ce qui nous inquiètes, nous les conscients, parfois j'en viens à jalouser ces créatures, vivre avec ce vide de connaissance et connaître seulement ce qu'il y a savoir pour survivre.

J'ai passé  je ne sais combien de temps à observer ce paysage, 10, 15 minutes ? Plusieurs heures ? Je n'en ai aucune idée mais un changement de température et un levé de vent m'ont fait sortir de ma torpeur. En y regardant de plus prés, je me rend compte qu'un orage va éclaté et pas un petit mais la pluie ne me dérange aucunement. Mais comme le destin nous offres tant d'amour, la pluie en question se déversé par seau entier, transformant les chemins en véritable chemin de boue et je dois dire que ça commence à me déranger. Au bout de...je ne sais combien de temps, je finis par tomber sur une bâtisse avec un panneau auberge devant. De ce que j'ai compris, ce genre d'endroit sert de halte pour les voyageurs, une lumière prouve que c'est ouvert mais je n'ai pas l'impression qui a grand monde. J'ai donc frappé à la porte et une femme m'a ouvert, elle semble surprise de me voir.

Après l'avoir salué, je suis rentré pour éviter la pluie et me mettre devant le feu, je suis beaucoup plus poli que ça d'habitude mais je veux sécher cette eau, elle essayait de dire quelque chose mais n'y arrivait pas. Alors que je toisais le feu pour le refaire partir, elle finit par parler

« Esc...escusez moi...Mais partez.... »

« Pourtant...il est écrit ouvert sur votre porte » puis je l'ai regardé « Ca ne me regarde pas mais...vous feriez mieux de vous habillez, il ne fait pas très chaud pour se vêtir aussi légérement »

« S'il vous plait part... »

On frappa à la porte, elle  s'arrêta net dans sa phrase et alla ouvrir la porte d'un air résigné. Trois hommes sont rentrés et on commencé à toucher la dite femme en rigolant, alors qu'il allait s'amuser il  se sont rendus compte de ma présence

« Eeeeh...regardez moi ça les gars, on dirait qu'il y a un autre client »

« Ouais...t'as mal choisis ton jour mon gars »

« Qui vous dit que c'est pas le votre ? »

Il se mirent à rire et un sortit un couteau en disant « T'as du cran toi....elle est sympa ton armure, je me demande combien elle vaut sur le marché noir » il commença à jouer de manière agressif avec son couteau et lança son attaque sur la gauche mais hélas pour lui, je suis bien meilleur. J'ai donc attrapé son poignet gauche avec ma main droite avant de frapper dans son bras avec ma main gauche la brisant net, il s'écroula au sol hurlant de douleur. L'autre chargea, dégainant son épée, il charge comme un idiot. Attrapant son poignent avec l'épée, je lui ai retourné le poignet et avec ma main libre, je lui ai attrapé la gorge avant qu'un long craquement se fasse entendre et que son corps inerte tombe au sol. Le troisième prit en otage la femme, mettant son épée sous sa gorge, tapant du pied pour faire sauter en l'air le couteau, je l'ai attrapé en lancer au milieu du crâne du troisième, un clock prouvant la perforation de la boite crânienne m'a confirmé le tir. Il tombe inerte au sol, libérant la femme, il ne m'en restait qu'un. Le premier qui tentait de fuir en rampant tel le rat qu'il était j'ai donc attrapé sa tête et l'a mise devant le feu, quelques cheveux et sourcils ont commencé à brûler

« Combien êtes vous à venir ici ? Faites vous partie d'un groupe ? Si oui où ? »

« Aaaah...y a...que nous trois....ah ah ah....Oui, on est...escalavagiste....haaaaaa....dans la forêt à 20 km d'ici....dans une clairière...au centre de celle-ci....haaaa....un ancien avant poste....pitié »

« Pitié ? Lorsqu'elle t'a demandé pitié, l'as tu écouté ? » avant lui mettre sa tête dans le brasier, ses cris étouffés dans les cendres, il ne mis pas longtemps à mourir, après qu'il soit mort, je l'ai retiré du feu, l'odeur du cadavre brûlés n'est pas très aimé.Lorsque j'ai regardé la femme, elle était entourés de plusieurs enfants, 8 en tout, tous d'âge différent.

« S'il vous plait...Ne nous faites pas de mal...pitié »

« Si je voulais vous faire du mal, je l'aurais fait depuis longtemps, maintenant allez dormir, vous en avez bien besoin »

Et c'est dans le silence qu'elle monta à l'étage avec ses enfants, pour elle la nuit serait reposante mais pas pour moi. Dans la pluie battante, j'ai trouvé un trou profond pour jeter les corps. Une fois cela fait, j'ai ranger tout le mobilier qui a été déranger lors du bref combat.

Desena se leva au premières lueurs du soleil, elle tient cette auberge familiale et elle est de la 4e génération. Âgée de 40 ans, ça fait 10 ans qu'elle subit le chantage des bandits. Une fois par an, ils venaient s'assurer du paiement de leur protection mais ils voulaient toujours plus, il prenait la nature de la pauvre gérante. La voilà donc à charge de 8 enfants dont le plus âgé a 10 ans tout juste. Cette seule nuit de l'année lui donne des cauchemars et des envies de suicides mais refuse de laisser ses enfants, même si ils sont illégitimes, seuls dans ce vaste monde. Pourtant, cette nuit a été différente...quelqu'un est arrivé, aucune histoire et en quelques gestes, il avait mis fin a ce chantage. Elle se leva et s'habilla dans sa tenue d'aubergiste, se regarda dans la glace et n'avait aucun bleu, aucune blessure, durant quelques instants, elle se  perdit dans ses pensées avant d'être rattrapés par la réalité à cause de bruit provenant de l'extérieur.

En sortant, elle vit ce qui semble pour elle, l'homme qui a sauvé sa vie en train de couper du bois, elle s'approcha de lui avec une certaine crainte car il pouvait se révéler bien pire que les 3 réunis si ça se trouve mais au fond d'elle même, elle sentait qu'il n'était pas comme eux. L'homme de fer lui coupait les bûches comme si de rien n'était et c'est sa voix calme qui commença à briser le silence des lieux

J'ai coupé du bois pour remplir votre réserve, elle était presque vide

Mer...merci pour hier soir...je ne sais comment vous remercier...j'ai peu d'argent pour vous dédommager...

Argent ? Qu'est ce donc de l'argent ?

Elle semblait surprise d'entendre de ce que je viens de dire mais se repris rapidement, probablement pour éviter de perdre ce dit argent

Rien, ce n'est rien mais qu'est ce que je peux vous offrir pour vous remercier ?

J'ai planté la hache au sol, alla ranger les dernières bûches avant de m'en aller Rien...et avant que vous posiez la question...ne chercher pas mon nom, je voyage nommez moi comme bon vous semble et je m’éloignais de l'auberge. Bien qu'elle se posera encore des questions sur ce que je suis, elle pouvait maintenant dormir sur ses deux oreilles mais moi j'ai a faire.

Suivant les indications du brigand, j'ai fini par trouver leurs planques et c'est effectivement un bon endroit pour être tranquille, fort heureusement, j'ai trouvé un coin en hauteur et dans des feuillages pour observer la zone et le temps ne joue pas contre moi...j'ai donc tout le loisir de détruire leur moral. Il faut d'abord les observer pour voir si il ne change pas de coutumes tout les jours. Je pourrais un assaut frontal mais ils sont nombreux et on l'avantage du terrain et du bâtiments.

J'ai donc passé 3 jours à les observer. Ils sont 15, équipés et s’entraîne tout les jours, bien que ça ne soit que pour l'entretien quotidien mais visiblement, ils sont prêt à en découdre. Il y en a 5 qui garde la nuit pendant que les autres dorment sur leurs deux oreilles. Tout en observant, j'ai observé ce qui semble être une sorte de forge où ils fabriquent des armes et j'ai aussi découvert ce que l'aubergiste appellait « argent ». Le systéme monétaire a depuis longtemps été retirés des jumelles car dans une guerre d'extermination, l'argent est un concept inutile et cela gâche des matériaux.
Visiblement, tous les 3 jours, une caravane passent pour apporter et emmener des esclaves. Une fois tous les tours de garde compris, il était temps de passer à l'action.

La première était d'une facilité déconcertante, je n'ai tué que 2 gardes et j'ai écrit sur le mur avec leur sang « Je suis là pour toi ». La réaction ne c'est pas fait attendre, d'abord la confusion puis la peur s'est emparé du groupe mais visiblement, le meneur s'est maintenir ses sbires et les as raisonnés car dés la nuit tombée, les gardes étaient plus serrés mais hélas pour eux j'ai été bien plus rapide, ce fut un combat court contre les 3 gardes en postes mais efficace.

La suite m'a prouvé qu'ils n'ont aucun moral car il n'y avait plus de garde, ils s'enfermaient dans la tour mais c'était une erreur car avec mes poings, je l'ai défoncés mais pas entièrement juste pour effrayer. Et j'ai continué ainsi pendant 6 jours, à réduire leur moral au plus bas, c'était à peine si il dormait et tel la faucheuse, je suis rentré dans la tour pour cueillir mes proies, certains ne tenaient plus debout et ceux qui ont essayé une attaque était trop faible pour faire quoi que ce soit. La tour se trouvait maintenant vide de tout occupant si ce  n'est moi et j'ai donc eu le loisir de tester ce qui semble être de la forge.

J'ai passé  je pense une semaine ou deux dans la tour a essayé de forger, de comprendre les techniques et les maîtriser et mine de rien, c'est assez compliquez mais comme j’apprends vite, j'ai su arriver  à les maîtriser. J'ai d'ailleurs fait une intéressant découvert dans les réserves de la tour : un duplicateur de Umbrella 1. Merveille de la technologie qui permet de dupliquer tout ce qu'on y insérer, on l'utilisait pour retirer les chargeurs des armes mais celui-ci a perdu son refroidisseur, il fonctionne mais ne peut pas fonctionner comme il le devrait mais comme chaque problème a sa solution, j'ai donc adjoint un chargeur au duplicateur. Ce qui m'a permit d'obtenir une arme de poing qui tire des cartouches de fusil d'assaut, c'est une arme lourde qui fait 6 kg, faite en acier épais et véritable pour protéger les systèmes internes et accessoirement, elle peut servir comme massue, j'en ai aussi profiter pour me forger une épée vu que j'avais le temps. Une fois ces deux armes faites et leurs fourreau en cuir finit, je suis sorti de la tour mais quelque chose attendait dehors.

Un homme capuchonner semble me retrouver enfin, il semble qu'il m'a longuement chercher et à traverser terre et mer pour moi. Il dit avoir une lettre pour moi, un document de la plus haute importance écrite à la mains d'un homme important. Il insiste pour qu'il me donne la lettre et ne partira pas tant que vous n'aurez pas prit le document, étant grassement payer.

Le contenu de la lettre indique:

Salutation guerrier(ère),

Si vous recevez ce document, c'est que votre présence est nécessité pour faire partit d'un grand projet. Il m'est inutile de donner plus de détail, étant naturel de vouloir vous rencontrer en personne, mais il est important de comprendre que vous avez été choisis parmi d'autres personnes influente pour cette cause. 

Vous serez donc de nouveau contacter sous peu, si vous donnez une réponse affirmative à mon coursier qui s'est donner tant de mal pour venir à vous.

Prenez soin de réfléchir à ma proposition, car votre candidature sera privilégier et tant de bonne chose vous attends.

Bien à vous,

Anodrac.

Le coursier attends donc de vous un retour de lettre ou une réponse orale et il vous reviendra avec l'emplacement si tels est nécessaire. J'ai donc observé le coursier, il portait un sourire nargeur pour une raison inconnu, j'ai donc broyé la feuille et je l'ai regardé

La prochaine fois que ton homme important cherche à contacter quelqu'un pour un projet...dis lui d'être plus discret j'ai sortit le pistolet et lui offrit une magnifique balle dans la jambe, le coursier tomba au sol, tenant sa jambe en hurlant Ce que tu as dans la jambe est ma réponse positive à son invitation...oh et je marche beaucoup et longtemps...donc pour me retrouvez, j'espère que vous trouverez quelqu'un qui aime la marche... lui ai-je dit en rangeant mon arme et en quittant la tour.

Spoiler: