Comment décrire l’état de la Prussienne à ce moment précis ? Elle suivait le grand russe, jetant quelques regards autour d’elle essayant de se faire une carte graphique de ce nouveau monde. Même si elle n’arrivera jamais à retenir tous les lieux et les pays de ce monde. C’est dommage qu’il n’y en avait pas un dédié à la pâte…parce que oui, dans la tete de la jeune demoiselle, Italia était le pays des pâtes, celui de romano des tomates…et le pays d’Ivan était le lieu où il faisait, trop, beaucoup trop froid.

Le ventre de Maria grogna pour la 32e fois de la journée et elle avait l’impression que son estomac était en train de s’auto-manger. Oh et elle voulait boire de la bière et refuser de demander au russe son alcool trop fort pour elle. Maria ne toucherait jamais à la vodka, se serait trahir l’Allemagne !

Finalement, le décor changea et ils se retrouvèrent dans un endroit qui sembler parodier une capitale. Le lieu était si amoché, que la Prussienne se demanda s’il n’y avait pas eu la 3e guerre mondiale ici. Ou la 4e, peu importe ..

- Russia, faisons une halte ici. Je ne sais même pas où tu veux aller ! Je n’ai pas non plus vu s’il y avait du gibier ici… Aah, je donnerais n’importe quoi pour manger quelque chose!

Rala-t-elle ne croisant les bras, après avoir cessé de marcher. La marche, ça creuse ! Prussia aurait bien aimé avoir un certain italien sous la main, juste pour avoir des pastas… Ou un plat composé de patate...enfin bref, quelque chose de bon !

-Piyo !

Un piaillement que la prussienne reconnaîtrais entre mille se fit entendre et occupa toute l’attention de la demoiselle… Juste avant de réaliser avec horreur que peut-être Dieu avait réalisé son souhait en lui donnant « n'importe quoi » c'est-à-dire…son Gilbird.

- Nein ! Quand je disais n’importe quoi,je ne parler pas de lui ! C’est juste un oiseau…

Ou un poussin...ou un canard... Même la race du volatile était impossible à savoir. D’ailleurs, Gilbird sembla être vexé par les paroles, car il décida de se poser sur la tete d'Ivan et d’en faire son nouveau nid.

Le regard de Maria alla du russe à l’oiseau, puis de l’oiseau au russe avant de s’éclaircir la voix et de demander gentiment à Russia :

- Je ne sais pas si tu à remarquer,mais mon genialissime Gilbird est posé sur ta tete. Tu pourrais me le rendre ?

[ Hors-rp : Ce post est nul,je sais XD Ivan si tu est bloqué dit le,je modife mon post o/ ]

Lorsque le russe attrapa le précieux compagnon de la demoiselle et commença à l’examiner sous toutes les coutures afin de voir comment le déguster, le sang de Prussia ne fit qu’un tour. On ne  toucher  pas à ce volatile, surtout s’il était précieux aux yeux de Maria. Elle allait lui lancer une remarque, lorsque le russe lâcha l’oiseau qui fila se réfugier en hauteur, loin de ce carnivore.

Un espion ici et maintenant ? La Prussienne soupira d’agacement, elle était affamée et on lui envoyait un nouveau combat. Peut-être que c’était la faute du jeune homme. Il devait être maudit depuis sa naissance pour leur attirer autant d’ennuis.

Toutefois, Maria ne sortit pas son arme tout de suite et donna un coup de poing sur l’épaule du grand russe…et elle se fit elle-même mal en tapant un être aussi costaud. Cela devait être interdit d’etre aussi dure !

- Ne touche plus jamais mon brave compagnon !

Tout en faisant la grimace à cause de son acte stupide de vouloir taper Russia, la demoiselle finit par sortir cette arme inutile qu’était son fleuret. Il allait VRAIMENT falloir changer d’arme et vite..

L’intruse, qui était une vaillante et forte dame leurs lancèrent des ordres très étranges que Prussia ne compris pas toute suite. Orc ? C’était quoi ?Un gang ? Et pourquoi elle parle d’empereur ? Cette personne devait s’etre échapper d’un asile de fous, ou devait sortir d’une méchante guerre…

- Nous ne sommes pas là pour nous battre ! Et je ne suis plus au service de mon roi, ni d’autres boss depuis des lustres. Pareil pour le looser qui est avec moi !  

Pour une fois, celle qui adorer se battre voulait juste être en paix, boire une bière manger des saucisses et se moquer du russe. Ah, ça c’était une vraie vie ! Devoir agir comme un soldat ne la déranger pas, au contraire ! Mais par moments, il faut savoir écouter son corps.

- Si tu baisse ton arme,je lacherais la mienne,bien reçu ?

Et voila qu’elle agit comme son frère...etais-ce normal d’être autant sérieuse dans ces moment-làs ? Étais-ce vraiment nécessaire ? Maria s’en ficher de la réaction du russe, elle en avait assez des combats pour le moment.

De longues minutes passèrent, jusqu’à ce que l’être qui les avaient menacé daigne se rendre. Prussia était fière, elle avait réussi à convaincre une ennemie sans avoir eu besoin de se battre…

Étrangement une partie d’elle était terriblement déçu, mais là ce qu’elle écouter surtout ce n’était ni son cerveau, ni son cœur …mais son estomac . Et là son ventre lui disait de manger quelque chose et vite, sinon elle aurait des crampes et autres sentiments de mal à l’aise lorsqu ‘on à le ventre vide. La vie d’humain, c’est d’un compliqué parfois…

Seul le grand et effrayant Ivan était prêt à faucher une nouvelle vie. C’était un peu plus compliqué de parlementer avec lui et niveau discourt, Maria n’était pas la meilleure.

Lorsque leur adversaire jeta son arme à leurs pieds pour se planter devant l’arme du russe et de lui demander de tirer, Maria siffla d’admiration… Oui, elle admire les personnes qui arrive à tenir tete à Ivan, que d’autres auraient déjà fui. Malheureusement, demander au russe de tirer était une chose folle. Maria s’imagine déjà de voir le sourire de Russie s’agrandire et d’appuyer sur la gâchette. La vie de cette personne n’aurait pas duré longtemps.

Afin de sauver une vie, la prussienne posa une main sur l’arme que tenait le pays froid et appuya un peu dessus pour le forcer à baisser son arme. C’était comme essayer de casser un rocher avec une paille. Impossible. Elle espéra alors que le russe puisse faire un acte de bonté en ne gachant pas une vie pour rien.

- smilodon ? Peu importe, du moment que c’est mangeable et que ce n’est pas mon adorable Gilbird …

Qu’est-ce que c’était enfaite, le smilodon ? Une créature typique de ce monde ? Une nouvelle race de cochon ? Il y avait tellement de possibilité… Elle demanderait après avoir le ventre plein ! Au moins quelqu’un qui avait quelque chose de bon à manger et qui n’ignorer pas la fatigue ! Maria apprécier déjà la femme, sans même la connaitre..

- Danke !

La Prussienne prit le pain que lui tendais la dame et commença à littéralement l’engloutir tout en se mettant à parler...la bouche pleine.

- ‘ai ‘ru  ‘ourrire ‘e ‘aim

Des paroles incompréhensible, mais la jeune fille s’en fichait complètement. L’inconnue était devenue sa sauveuse, qui avait pu rassasier ce fichu estomac. Maintenant, il ne grognait plus...c’était déjà ça de gagner !

Puis, histoire de paraître « classe », la prussienne posa une main sur l’épaule du russe et tout en affichant un sourire éblouissant pouvant rivaliser avec une pub de dentifrice, elle décida de se présenter.

- Ich… Je suis la Grande Prussia, et celui qui souris tout le temps , c’est Russia. Mais tu peux aussi le nommer looser, c’est un mauvais perdant qui emploie des ruses pour gagner …

Est-ce qu’elle le faisait expré de l’appeler sans arrêt looser ? Oui et non. Elle savait qu'Ivan n’appréciez pas, mais c’était dans sa nature, de toujours se moquer des autres, surtout de quelqu'un qui avait fait de sa vie un enfer.

Mais…c’était peut-être une façon bien à elle de montrer à Ivan que dans le fond, elle l’aimait bien et avait tourné la page sur leur passé commun depuis son arrivée. Nouvelle vie, nouvelle Histoire.

Malheureusement, Maria se refuser aussi de le dire… Pour la bonne raison qu’elle avait peur que le russe en profite, sans doute.

Le “surnom” ne plaisait pas des masses au Soviétique, vues l'aura noire qui l’entoura soudainement. Nul doute qu’il doit déjà être en train de s’imaginer comment faire bien mal à la prussienne pour l’avoir traité de perdant. Maria décida donc d’éviter de l’appeler pendant un certain moment looser. Question de survie.

Puis…le dénommé Xenosia la bombarda de questions, voulant tout savoir . La jeune demoiselle laissa le russe faire bande à part . Lui qui d’habitude était toujours en quête d’ami, le voir fuir le contact était quelque chose de surprenant.

L’ancien pays regarda Xenosia faire une espèce de feu de camp afin de faire une cuire de drôle de viande, dont l’odeur ne tarda pas à réveiller l’estomac de la Prussienne. Qu’est-ce que ça avait l’aire bon ! Puis Maria secoua sa tete afin de remettre ces pensées en place. On lui avait posé des questions, non . ?

- Mon roi n’est malheureusement plus de ce monde. Le Seigneur l’a appelé …c’était inévitable. Maintenant je suis libre, je n’obéis qu’à ma propre personne …

Pauvre vieux Fritz…il avait toujours été comme un père pour la jeune fille. Le jour de sa mort, Maria avait essayé de chasser le chagrin avec de la bière, en compagnie de France et Espagne. Résultat, elle c’était endormi sur le comptoir du bar.

- En ce qui concerne ce lieu, tout ce que je sais, c’est que nous avons changé de monde . Ah eh non, ce n’est pas le paradis ici, je n’ai pas encore croisé d’ange dans les parages. Une troupe d’hommes armée ? Vous etes poursuivie ?

Il n’y avait pas que le russe qui avait le don d’attirer des ennuis tout le temps, il semblerait que Xenosia en est aussi capable. Bon sang, est-ce que le mot « tranquillité » était banni de leurs vocabulaires ? Toutefois, Maria devait avouer que ce serait trop ennuyant s’ils étaient tranquilles tout le temps…

- De ...l’eau… ? Nein, c’est une spécialité russe, c’est un alcool assez fort, de la vodka. Et ce n’est pas bon…si tu veux boire quelque chose de super, la bière c’est génial.

D’ailleurs, Prussia était en train de se demander si Ivan savait ce qu’était de l’eau. Elle était presque sûr qu’il n’en buvait jamais, à croire que la vodka était une sorte d’essence pour le russe.

Lorsque la dame se mit à appeler le russe, Maria décida d’être utile pour une fois et mit ses mains en porte-voix, afin d’amplifier le son de ces paroles.

- LE LOOSER,LE REPAS EST PRET,CESSE D’IMITER MON COMPAGNON ET DESCEND DE TON PERCHOIR !

Et comme une parfaite imbécile, elle venait tout juste de prononcer le mot qu’il ne fallait pas, signant sans doute un aller simple pour l’enfer. D’ailleurs, Maria s’en rendit compte, car vu la tete qu’elle faisait à l’instant : une grosse grimace barrer son visage ainsi qu’un peu de gêne.

Afin d’échapper à une quelconque colère et en espérant de toute son âme qu'Ivan n’ait rien entendu, la Prussienne pris l'assiette improvisée et observa un moment la viande. Ce n’était pas non plus du cochon.

- Je..heum..Je vais faire le tour,pour voir si les hommes qui vous poursuivent sont ici…

Elle se dépêcha de tourner le dos à Xenosia et commença à marcher le plus vite possible . Elle reviendra plus tard, quand elle sera sure que le russe n’est pas eu une saute d’humeur.

La solitaire Prussia marchait à vive allure, fulminant contre elle-même. Pour la première fois de sa vie, elle fuyait la personne qu’elle provoquer sans arrêt, montrant ainsi que la génialissime Prussia pouvait aussi éprouver de la peur. Cette émotion que seul les faibles telle Italia pouvait ressentir, était une des horreurs de la jeune fille.

Russia devait se moquer d’elle dans son dos, de la voir ainsi effrayée au point de fuir son regard. Peut-être était-il déjà derrière elle, à agiter son « bâton magique » en riant. Cette simple pensée ne fit que presser un peu plus la Prussienne. Au moins, Xenosia ne verra pas cette humiliation, c’est déjà ça de gagner…

La jeune fille ne s’arrêta que lorsque ces jambes commencer à lui faire mal, sans doute la fatigue qui faisait surface une nouvelle fois. Elle mangea la viande qu’avait préparé la sauveuse Xenosia et trouva cette chose fort bonne. Quand elle reviendra, elle lui demandera qu’est-ce que c’était vraiment comme animal…si elle avait le courage de faire demi-tour et d’affronter le russe.

Non…ce n’était pas encore le moment...autant attendre quelques minutes encore, après elle pourra se planter devant Ivan pour se moquer de lui à nouveau. Elle était sure et certaine qu’il était très, très en colère. Ce n’était pas pour rien que les Baltes choisisser le plus minutieusement possible leurs mots, sauf Lativia qui était plutôt franc.

Prussia jeta l’assiette et s’adossa à un mur en miettes tout en soupirant, laissant toutes les choses qu’elle avait gardées pour elle, sortir. Elle était seule, comme toujours. La solitude était sa meilleure amie, son alliée, peu importe ou Maria se trouver. Cela devait être le point commun avec Russie et son petit frère. Sauf que pour West, lui avait réussi à se faire un ami. Alors qu’elle…elle ne considérer pas vraiment France et Espagne commence ses amis. Ses compagnons de combat, surtout.

Le poussin jaune retourna auprès de Maria et alla se poser contre son cou, cherchant sans doute un peu de chaleur. La demoiselle caressa la tete du volatile. Lui, il était resté avec elle jusuq'au bout, sans jamais faillir à son rôle de messager. Brave compatriote.

Voulant un peu briser ce silence trop pesant à son gout, la demoiselle sort une flute travestiere de sous sa veste et sembla nostalgique un instant. L’un des derniers objets que le vieux Fritz lui avait offerts ; avec la croix de fer sur sa poitrine. Ainsi, Prussia joua pendant quelques minutes de cet instrument, s’oubliant complètement.

Une fois à nouveau calme, Prussia rangea son précieux bien et décida de retourner auprès du russe et de Xenosia. Tant pis si elle subissez les foudres du pays froid, maintenant elle était capable de l’affronter...ou pas…

Dans le fond, elle n’arriver toujours pas à se comprendre. Elle suivez Russie pour une histoire de dette, mais était-ce vraiment la véritable raison ? Fuyer-elle la solitude ? Elle avait pu voir que Russia n’était pas toujours un être assoiffé de sang…et elle devait aussi avouer qu’il était plutôt mignon, lorsqu’il ne  sourier pas et… STOP ! C’était quoi ces pensées sans aucun sens qui venait de naitre dans son esprit ? On dirait les pensées d’un vieux !

Prussia ne savait plus quoi faire et sembler dépassé par les événements. Si bien qu’elle ne remarqua pas les ombres qui s’approcher d’elle. Lorsqu’elle le remarqua, ce fut trop tard. Des hommes surgirent et tentèrent de l’attraper.

Dégainant son fleuret, Maria tenta en vain de défendre. Elle réussit par éliminer deux personnes, mais ils étaient trop nombreux. L’un des hommes assomma la jeune fille. ;et ce fut le noir complet.

Maria ne voyait plus, sans doute parce que ces yeux étaient bandés et entendaient très mal, lorsqu’elle essaya de bouger, son corps ne lui répondait pas. Elle sentait une surface dure dans son dos. On l’avait ligoté . La grande prussia était si...inutile..

Les hommes discutaient entre eux de ce qu’ils allaient faire de la demoiselle, mais Maria s’en ficher. Elle en avait assez d’être sans arrêt attrapé, puis sauver. Elle n’était plus la grande Prussia, mais juste une simple humaine nommée Maria qui possédait un ego surdimensionné et qui s’attirer sans arrêt des ennuis.

La Prussienne attendit donc, se laissa aller et attendit son destin. Elle n’avait pas envie d’etre sauvé, c’était juste une preuve supplémentaire qu’elle était devenue dépendante.


[ hors-rp : Et une Prupru deprimer o/ Enfaite,on dirait la princesse Peach et qu’Ivan et Xeno sont Mario et Luigi xD ]

Des cris, des bruits, l'Allemande entendait tout. Elle n'avait pas besoin de deviner qui était venu, la réponse s'imposer d'elle-même. Ivan l'avait retrouvé. Peut-être que Xenosia était venue aussi... Cette fille était folle, si elle oser contrarier le russe, ça colère risquer d'être terrible. D'ailleurs, pourquoi Prussia devait s'en inquiéter? Elle s'en fichait à présent...

Les liens qui l'empêcher de bouger glissèrent, sans doute dû à une intervention à distance...non parce que ce n'était certainement pas une intervention divine. Comme si Dieu allait lui filer un coup de main ! Étant libre, Prussia en profita pour ôter ce qui lui gâcher la vue et jeta le tissu sur le sol en soupirant.

Intérieurement, elle bouiller de rage, à cause de l'intervention du russe et de l'archère. Pourquoi venait-on à chaque fois à son secours? Elle n'était qu'un poids, une proie facile pour n'importe quelle personne mal intentionner. Ce n'était pas génial du tout...

Xenosia la fit s'asseoir après avoir terminé son travaille macabre et commença à la soigner, faisant grogner la Prussienne. Maria pouvait se débrouiller seule! Elle n'avait pas besoin qu'on s'occupe d'elle pour si peu... Ce n'était rien comparé aux atrocités de la guerre !

- Je n'ai pas besoin d'aide.

Lança-t-elle sur un ton sec, se relevant lentement afin de ne pas se faire trop mal. C'était un peu une humiliation pour l'ancien royaume, de paraître comme une frêle et pauvre jeune femme. Prussia hésita même un moment à brandir une épée en direction du russe, pour l'empêcher de s'approcher de sa géniale personne.

En plus, il avait à nouveau fait appel à ce pouvoir très étrange de crée une espèce de tempête de neige en plein milieu de nulle part. Au moins Russie avait de quoi se défendre. Elle, à part agiter un fleuret sous le nez de ses adversaires, c'était tout.

- Vous n'auriez pas du venir me chercher,la genialissime moi se serait parfaitement debrouiller seule! Je n'ai eu que ce que je mérite...

Elle ricana, se forçant à afficher ce sourire moqueur qui ne la quitter jamais, avant d'aviser son arme un peu plus loin. Trop loin... Prussia se maudit mentalement.

- J'en est assez de devoir me reposer sur des personnes plus forte que moi à chaque fois. Etre sauvé,se cacher, c'est pour les laches...Je suis un soldat...Je...

Elle trembla, sans doute parce qu'elle lâcher tout ce qu'elle avait sur la conscience depuis le début...enfin, pas tout, mais une bonne partie. La Prussienne donna un coup de poing à l'arbre, la faisant grimacer.


- Hé Russland,tu m'as dit que tu n'es plus la Russie, hein? Pourtant tu à toujours des capacités propres à ta fratrie! Je ne suis plus la Prusse, je ne suis plus rien, juste une insignifiante humaine qui ne fait que créée des ennuis à son entourage...

Et devait-elle aussi rajouter qu'elle était presque sure que tout le monde l'avait oublié? Peu importe la volonté de Prussia en avait pris un sacré coup. Xenosia revint vers eux, demandant ce qu'ils allaient faire. Bonne question ....

- J'ai trois dettes envers Russia maintenant...Et je n'aime pas etre redevable à quelqu'un,la geniale moi va continuer de le suivre,meme si je ne suis qu'un poid.



[ Hors-rp : J'vous jure,je ferais un post drole après ;w; Gomen pour la sérieusité de Prupru ]

Ivan l’avait tapé, d'une telle force que sa tete aurait certainement pu se décrocher et tomber sur le sol. Mais il en fallait plus pour tuer ore-sama et ce n’était pas une simple claque qui allait lui faucher sa vie.

Sous le choc, Prussia ouvrit de gros yeux, mais ne prononça mot. Habituellement elle aurait hurlé sur le russe en le traitant de toutes sortes de choses pas très jolies…et en allemand. Mais là, son cerveau n’arrive plus à gérer tous les tracas de la Prussienne, si bien qu’il décida que s’en était trop …et Que la jeune demoiselle fit une drôle de tete. Comme lorsque Gilbert avait découvert que Hungary était une fille. Heh ! Il pensait que depuis le début c’était un homme ! Voir que ce pays était depuis le début une femme l’avait choqué.

Un mélange d’incompréhension, de gene et tout autre sentiment de ce même genre paraissait sur le visage de Maria… Qui fondit en larmes littéralement dès que le russe avait commencé à marcher. un Beilshmidt ne pleure pas , parole que le vieux Fritz lui avait maintes fois répéter et la voilà qui agissez comme une gamine à qui on avait volé son gouter de 10 heures.

Oh, mais ce n’était pas à cause du russe qu’elle était dans cet état-là...enfin si en partie. Elle s’extériorisait à ça façon de toutes ces choses qui lui était arrivé. Xenosia lui parla, lui permettant un peu de reprendre le courage. Elle n’avait pas tort…les dettes c’était juste une excuse  bidon  qu’elle avait créée. En vérité depuis sa rencontre avec le russe, Maria a ce sentiment très très très étrange qui la pousser à rester avec Russia. Et que son imbecile de cœur batter un peu trop vite à son gout.

Les Allemands ne sont pas doués niveau décryptage d’émotion, ils font souvent des tetes très bizarres…comme celle de Prusse précédemment. La demoiselle essuya ces larmes et retrouva très vite le moral. La génialissime prussia était trop géniale pour se laisser terrasser comme ça .

Quand Xenosia ramena un russe visiblement assez chamboulé… Ah…dommage qu’elle n’est pas un appareil photo sous la main, elle aurait pris la bouille de la nation froide en photo et l’aurait mis sur son blog ! C’est bien décevant qu’il n’y est pas d’ordinateur avec une connexion inter… Attendez… Pas d’ordinateur ? Pas d’internet ? Mais… Mais… Enfaite, c’est l’enfer ici…

Mais ce ne sont pas les pensées sans aucun sens de la Prussienne qui était très important. Si elle ne voulait pas perdre ce fichu Russie, si elle n’avait plus envie d’etre la solitaire Prussia, si elle voulait que ce stupide cœur cesse de battre la chamade, elle n’avait pas le choix.

- Also, Russland, jetzt hör mir mal zu…

Soupira-t-elle avant de finalement prendre une grande respiration et de se lancer tout d’un bloc.

- Je sais que je n’ai pas toujours été très sympa avec toi et ce, depuis que je suis née. Je t’ai poursuivie avec d’autres pays lorsque tu étais un gosse juste pour agrandir mon territoire… Ha, qu’est-ce que mes idéaux étaient géniaux quand j’étais enfant ! Enfin bref, et le mur à pas arranger nos relations à tous les deux. J’ai passé des années à te haïr que je ne pouvait même plus voir ta sale tete de russe en photo.

Maria fit une pause, cherchant ces mots puis arbora un sourire narquois avant de continuer. Les discours, ce n'était pas pour elle, mais vraiment pas…

- Je ne vais pas te faire un dessin, même si la genial moi aurait pu te faire un chef-d'oeuvre qui aurait sa place au Louvre, mais s’il faut que je te dise une chose là tout de suite, maintenant… C’est…que… Rhaaa Je ne sais pas ce qui se passe, je ne comprends rien… Mais je veux juste rester avec toi, en vrai je m’en fiche de ces dettes, il me fallait une excuse, tu vois ?

L’ex-nation se creuser la tete pour réussir à chercher des choses classe et géniale à dire à Russie, tant pis s’il partait après. Au moins elle aura moins de chose dans sa conscience.

- Je t’apprécie vraiment beaucoup Braginsky, mais la génialissime moi éprouve un sentiment qu’elle penser éprouver que pour son adorable petit frère qui a grandi trop vite et son poussin voyageur… Nein, pas fraternel C’est beaucoup plus fort…Je ne sais même pas si c’est utile de te le dire, puisque toi-même tu ne sauras jamais ce que cela peut-être…

Elle n’avait jamais cru qu’elle allait dire tout ça à son ancien ennemi.

Maria avait attendu patiemment la réaction du russe et celui-ci semblait avoir retrouvé le moral. Peut-être qu'il n'avait rien compris à ces paroles et qu'il sourrier juste afin de faire croire qu'il avait compris. Pourtant, elle avait fait bien attention à ne pas employer de mot allemand dans ces phrases. Ah, ces hommes, tous les mêmes....

Toutefois, le Soviétique finit par lâcher une phrase en russe, faisant froncer les sourcils de l'ex-nation. Elle ne comprenait pas le russe et ce mlagrès qu'elle est passé pas mal d'années chez Russie. Tout ce qu'elle savait, c'était les bases...et encore lorsqu'elle essaye de parler dans une langue étrangère, son accent se faisait très vite entendre et on ne  tarder pase moquer d'elle au bout de plusieurs minutes. La seule chose dont elle pouvait se vanter, c'est qu'elle savait dire le mot “géniale” dans cinq-six langues. C'était la seule chose qu'elle retenait.

Lorsque le russe se mit en mouvement, Prusse cru au début à une attaque de la part du jeune homme, mais ce fut une tout autre chose qui arriva. Elle eut un droit un tendre baiser de la part de la nation froide. Elle en fut tellement surprise, que la jeune femme ne fit strictement rien sous le choc. D'ailleurs, pendant un moment Maria eut l'impression que son misérable coeur avait cessé de battre
.
Entendre Russia dévoiler ces sentiments à quelqu'un aurait pu faire la une de tous les journaux dans le monde entier...et une des soeurs du russe ne serait pas très heureuse en l'entendant. Rien qu'a y pensé, c'était terrifiant.

Le visage si pale de la Prussienne avait pris une teinte très rouge et tenter en vain de remettre ces pensées en ordre. Chose plutôt difficile de plus l'être en face d'elle sourrier comme un gamin à qui on venait de donner ces cadeaux de Noël!

Au début, Maria ne dit rien se refusant à l'avouer à voix haute...jusqu'à se rappeler qu'elle ne courrait pas le risque de se faire harceler de questions par des pays trop curieux ou d'avoir peur que son petit frère la rejette... Ils n'étaient que deux, les deux pays qui étaient voués à disparaitre et qui avaient eu droit à une nouvelle vie.

-Ich liebe dich auch!

Et la revoila qui se remettez à parler dans sa langue maternelle. Tant pis, de toute façon, Ivan n'allait pas chercher bien longtemps pour trouver la traduction. C'était simple.

Soudainement, elle se rappela qu'ils n'étaient pas tous seul et que Xenosia devait se sentir un peu exclu de ce soudain retournement de situation. Du regard, Maria la chercha mais ne trouva rien.

- Est-ce qu'elle possède le pouvoir de Cannes à sucre? Heu...il s'appelle comment déjà? Le petit frère d'Alfred...Ha voila! Kanada !

Un detail attira son attention sur un arbre, une sorte de feuille plantée sur un arbre grace à une flèche. Un étrange moyen de commununication. Arrachant la flèche, la jeune fille récupéra le message en le lisant tout en restant perplexe. On aurait dit la lettre d'une personne qui allait sur un champ de bataille pour ne jamais revenir. Comme le Saint empire germanique. Triste histoire.

Prussia retourna auprés de Russia,les joues toujours un peu rouge...mais elle s'empressa de cacher cette gene en agitant le papier tout en lachant d'un air moqueur.

- B-Braginsky ! Je crois que ma genialitude à eblouis Xenosia ! Elle est parti aussi vite qu'un tank italien en fuite !

Maria enverra sans doute un message à cette brave femme en utilisant son poussin voyageur. On ne savait jamais,un accident peu sit vite arrivé...

- Meines kleines Kuken...Ou souhaite tu allez,maintenant?




[ Traduction :  Meines kleines Kuken = mon petit poussin...et non elle ne s'addresse pas à Gilbird XD ]