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 Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]

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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptyMar 29 Sep - 21:05

Le duc avait cru que son ami voyageait à cheval parce qu'il ne concevait pas vraiment que l'on puisse voyager autrement, mais il dû se rendre à l'évidence : la posture d'équitation de Stanislav laissait à désirer ! Ceci provoqua chez Mannfred l'apparition d'un petit sourire amicalement moqueur, tandis qu'il se passait de commentaire désobligeant, étant donné que tout ce cirque était un petit peu de sa propre faute. Au lieu de proposer une place sur son cheval, il avait demandé à son collègue chevalier de mener le chemin, ce qui avait pu le déconcerter et le pousser à prendre un cheval au hasard. Bah ! Ceci lui apprendrait, au moins, il en aurait besoin, puisqu'on ne mène pas de campagne à pieds !

Le voyage se passa calmement, la nuit était douce et la lune éclairait doucement le chemin qui se présentait devant eux. Il ne fut pas difficile de s'y retrouver et d'arriver à bon port, encore une fois personne ne se perdit. Il fallait être spécialement mauvais pour se perdre sur un chemin indiqué, cela dit. Le cheval du revenant était conduit par celui ci avec genoux, il avait entre les mains le livre intrigant dans lequel il avait appris une malédiction et si il faisait nuit, les lettres rouges brillaient doucement, ce qui avait le don d'intriguer suffisamment le Duc pour qu'il n'en observe pas le ciel, ce qu'il aimait faire en voyageant de nuit, songeant à quels étranges mondes se cachaient dans les étoiles.

Alors qu'ils arrivaient presque à la ville, après une bonne demi heure d'équitation, Stanislav fit une certaine confidence au seigneur chevalier. Il lui expliqua la raison pour laquelle il était si pressé, et pourquoi il voulait bouger et agir de nuit, pourquoi il était si méfiant des gardes et de l'autorité : les vieilles habitudes ont la peau dure, voilà pourquoi. Alors même que ce monde est une manière pour certains de faire tabula rasa et de changer radicalement leur manière d'être, ou tout du moins de pouvoir vivre sans le fardeau d'actions ou d'ennemis passés ; Stanislav, lui, avait gardé ses vieux réflexes.

Lorsque son ami avait commencé à lui parler, Mannfred avait fermé puis rangé son étrange livre dont l'écriture le fascinait plus qu'il ne parvenait à le déchiffrer mais il avait gardé les bras croisés, continuant de mener sa monture avec les genoux. Se grattant le menton dans la réflexion, il se dit qu'il ferait un commentaire grandiloquent ou deux, histoire de dire ce qu'il avait dans la tête quant à cet état de fait :

« Ah, Stanislav ! Il fallait me le dire plus tôt ! Voyez comme je suis, j'ai dû vous embarrasser terriblement, avec ma manière d'agir ! Comme vous le savez, je suis noble, j'ai été élevé dans la lumière. Il n'y a point d'acte que je fis la nuit que je ne pourrais accomplir également au grand jour ! Il faut dire que pour moi, être revenu d'entre les morts m'a ôté toute considération pour les cycles, mis à part s'ils sont importants pour quelque rituel. Et puis, je suis né avec une épée dans la main, pour ainsi dire, et le commandement sur la roture dans l'esprit. Ainsi, jamais il ne me viendrait à l'esprit qu'un garde puisse me trouver louche, qu'un vilain puisse me désobéir ou me manquer de respect, enfin, qu'un de mes amis ne partage pas la lumière à mes côtés !
Emporté par ses paroles, il se haussa plus à la hauteur de son collègue et lui tappa dans le dos, mais pas trop fort histoire de ne pas le déséquilibrer, ajoutant : Vous allez pourtant devoir vous y faire, Stanislav ! Vous n'avez plus besoin de vous cacher, d'une part, et je ne saurais hériter de toute la gloire lorsqu'il y aura bataille, d'autre part. Je dirais cependant que tant que vous ne vous sentirez pas mieux au grand jour, je rayonnerai autour de vous pour que vous vous y habituiez. En attendant cependant, nous serons complémentaires. J'explique, je serai le jour, tandis que vous serez la nuit, comment cela sonne à vos oreilles ? Cela nous fera une belle réputation, ça oui ! »

Ces derniers mots enfin prononcés, le flot de paroles continues qu'avait débité le duc put enfin se tarir et le reste du voyage fut bien plus calme, comme ils approchaient réellement beaucoup de la ville et qu'il n'était plus temps pour de tels discours. Comme il était prévu, ils ne furent guère arrêtés par les gardes de poste dans la capitale, qui, en vérité, sommeillaient plus qu'ils ne gardaient. Dans une province aussi paisible, c'était normal. Il relevèrent tout de même mollement la tête pour voir qui passait mais, ne voyant rien de louche chez les deux voyageurs, repiquèrent du nez derechef.

Ils se trouvèrent une nouvelle taverne, puisque Stanislav n'avait pas finit ses histoires et qu'il voulait en raconter encore un peu plus. Cela tombait bien, Mannfred avait lui aussi quelques petites choses à rajouter et cela les ferait patienter pour que le jour se mette à poindre et qu'enfin on puisse aller chercher les gens que l'on était venu chercher. Alors qu'ils donnaient leurs chevaux et que le chevalier qui avait décidé cela donnait le renseignement au revenant, il se permit de glisser :

« Fort bien ! Je vous écouterai avec avidité, et j'ai d'ailleurs moi même deux ou trois choses à vous proposer. Voyez, j'ai bien réfléchi dans mon voyage pour vous rejoindre et j'ai griffonné quelques petites choses du dos de mon cheval, rien de bien folichon, je vous montrerai tout cela. Allons ! »

Ces mots prononcés et la chambre prise, il se dirigea vers celle ci : il ne se sentait pas de rester dans la salle commune pour cette fois ci.
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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptyMer 30 Sep - 13:52

L'établissement était tranquille vus l'heure et le nombre de consommation qui s'accumulait, la nuit commençait à faire son effets, même sur ceux qui restaient accrocher à leur bouteille en radotant leur histoires encore une fois. Le maître des enfers, restait simplement aux côtés de son nouveau maître en observant autour de lui et en réfléchissant si demains les artisans se trouverait dans un rayon rapprocher ou s'ils auraient à voyager encore un peu, parce que la scelle de son cheval lui avait refiler de drôle de courbature, malgré qu'ils n'en ressentent pas la douleur! Mais il comprenait beaucoup mieux pourquoi certaine personne disaient du mal de ce sport.

Le Duc sembla tout à fait enclin à discuter au calme, dans une chambre entre les deux, ce qui surprit quand même Anodrac, imageant son camarade comme un homme renfermer et aussi froid que lui. Sauf que apparemment le fait de lui soulever quelques paroles disons le plus privée, qui ne s'expose pas à tout le monde l'ai rendus plus ouvert à toucher deux ou trois mots sur des sujets en général! Ça lui donnerait l'occasion de lui dire qui l'avait attaquer et surtout d'anticiper de sa part une bonne ou une mauvaise réaction. La démarche vers la chambre était rapide, calme et très silencieuse, puisqu'à cette heure les gens ronflait tous sous leur bouteille encaisser. Tels des sons de trompette annonçant la fin des temps, on pouvait entendre un réel brouhaha de ronflements qui s'intensifiait par moment et qui retrouvait un niveau acceptable, par la suite.

Le Duc trouva donc la chambre et Anodrac observa des deux côtés, simple question d'habitude pour s'assurer ne pas être suivis, avant d'entrer après son amis. Pour une chambre à deux lits, Anodrac devait être étonner de la grandeur qu'elle offrait! Évidemment, une pièce relativement grande avec à son centre poser contre le mur du fond et face à une fenêtre, un grand bureau. Sur celui-ci brûlait trois longues bougies qui éclairait la pièce quand même relativement bien. Puis de chaque côté se trouvait les deux grands lits, rien d'étonnant, mais bien présent.

Avec évidemment des meubles de rangements pour y stocker ce que bon vous semble. Anodrac haussa les épaules en admettant une chose, malgré le côté belliqueux de l'auberge, leur chambre allait complètement à l'encontre du personnel moyennant la débilité, la propreté moyenne qui laissait à désirer et l'odeur de nourriture sur-cuit dans les cuisines. Il s'y plairait bien ici et ça pourrait bien se jouer. Il laissa évidemment le Duc faire son entrée en premier, tels que mentionner et referma lentement la porte en soupirant. Il devrait faire de grands efforts pour ne plus avoir ses réflexes de se dissimuler dans l'ombre. Il observa le Duc s'installer confortablement et quand à Stan s'allongea contre un des matelas, aplatis par le bon nombre de visiteurs qui avait visiter, mais quand même étonnamment confortable. Il garda bras croiser en soupirant un coup et se lança sans avertir.


-Je vous ai parler d'un combats à Viridia, vous connaissez tout comme moi l'adversaire que j'ai combattus, il m'a donné son nom maître. Il m'a dit que vous le connaissiez et que vous allier en entendre parler, mais tout est aller si rapidement! Au départ, je viens l'aider à s'en sortir avec tout ses gens qui voulaient le trucider et la seconde d'après il m'ordonne de quitter. Évidemment, j'ai crus qu'il voulait rire, qu'il voulait jouer au héros, qu'il se prenait pour un dieu... J'ai donc voulût échanger quelques coups histoire de le ramener à sa place, mais sans perdre mon combats, je dois dire que sa force m'a été surprenante et tellement belle à regarder.

Une impression de se confesser chez un thérapeute pourrait être très familière en ce moment vus la posture des deux hommes, bien évidemment Stan n'en pense même plus à ce genre de détails et commençant à ressentir la nervosité monter, relâche un simple soupir en glissant une mains contre son front.

-Évidemment, à un moment j'ai citer votre nom pour dire que l'on finirait par se recroiser et que vous sauriez son nom et son visage, mais à ma grande surprise... Il à mentionner vous connaître, il n'a pas dit être de la famille, un amis ou peut-être même un simple visage croiser, mais il vaut quand même mieux que vous le sachiez... Son nom est...

Il laissa planer un silence, le stress lui gardait la mâchoire clos et il se mit à réfléchir d'un trait, s'il venait à devenir très colérique, s'il sortait son épée pour le punir ou pire encore, s'il disait que c'était un morceau du plans et qu'il aurait à présenter ses excuses! Il n'avait aucune idée si Archer avait mentis ou non face à son adversaire! Il tourna donc son visage pour faire face à son maître et d'une voix quelques peu plus sombre lui dit.

-Archer, son nom était Archer... Voilà. Il n'est pas mort, je l'ai épargner, mais il m'a aussi épargner, bien qu'il ai tenter de me tuer... Ce qui évidemment n'a malheureusement pas fonctionner pour lui, bien que ses tactiques étaient assez surprenante par moment. Un combats où j'ai garder mon sang froid, mais qui à réellement tourner au bain de sang. Voilà.

Il n'osa pas regarder le Duc dans les yeux et reposa son regards sur le plafond en soupirant, maintenant quoi qu'il advienne, quoi qu'il fasse, au moins sa conscience était libérer et le Duc le savait. Il en profita pour fermer les yeux, ce qu'il n'avait pas fait depuis des années, se laissant bercer par le silence, mais aucune chance qu'il ne s'endorme, il ouvrit quand même un oeil au final pour garder attention sur la suite.
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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptyMer 30 Sep - 23:28

Arrivé dans la chambre, le duc se mit immédiatement à l'air en s'asseyant sur son lit, qui était il fallait l'avouer bien douillet, afin d'être prêt à écouter la petite histoire de son camarade qui le suivant. Ce fut Stanislav qui referma la porte de la chambre derrière eux, et tandis qu'il le faisait, le maître des chevaliers prépara quelque peu la sacoche qu'il avait pris du paquetage de son cheval, qui contenait son livre fétiche, celui qui était écrit dans un langage étrange, des pochettes dont le contenu ne filtrait pas, ainsi enfin que différents crayons colorés ou non, ainsi qu'une plume et un encrier.

Cette sacoche fut déposée sur le lit à la droite du mort vivant, qui se retourna ensuite vers son ami et collègue qui rassemblait en lui le courage de raconter, ou alors peut être remettait dans l'ordre des événements qui s'étaient déroulés il y avait un moment déjà.

Ce qu'il révéla à Mannfred fut écouté avec la plus grande attention, et il ne fut jamais interrompu dans son récit, bien que le mort vivant pris mentalement note de tout ce qui était dit. Qu'il eut s'agit du fait que le chevalier des enfers eut omit de transmettre le nom de l'adversaire quand il raconta brièvement ce qu'il s'était passé, qu'il fut question des raisons du combat ou même de la manière dont il s'était déroulé. Tout ceci était gravé dans l'esprit du revenant qui essayait de retracer une petite scène de ce qu'il s'était passé, hochant du même temps la tête pour montrer à Stanislav qu'il l'écoutait et qu'il pouvait continuer son récit.

Lorsque ce dernier eut fini de raconter, il était allongé sur son lit, fixant le plafond sans fixer son interlocuteur, qui lui au contraire regardait l'homme allongé avec intensité. Il ne répondit pas tout de suite, pondérant en son for intérieur les informations qui avaient été données, tandis que l'ami du revenant fermait les yeux comme pour se donner une contenance.

Sentant que le silence devenait pesant et que le laisser durer plus longtemps le rendrait gênant, le duc prit un air de faux sérieux comme il savait si bien le faire pour effrayer les nouvelles recrues, et du ton le plus menaçant qu'il pu prendre, déclara :


« Stanislav... Effectivement, vous me voyez bien fâché. Ne vous méprenez pas, je suis soulagé que vous m'ayez révélé ceci mais... Vous m'avez forcé à médire de lui, pardi ! »


Il laissa traîner cette sentence quelques instants, comme savourant la confusion qu'il avait probablement instillé dans l'esprit de son ami ; puis, avant que l'autre ne puisse répliquer quoi que ce soit ou formuler l'envie de se justifier ou de s'excuser, n'y tenant plus, Mannfred partit d'un léger rire élégant mais un tantinet moqueur et se leva, s'approcha du lit de Stanislav et, les poings sur les hanches, lorsqu'il se fut remis de son  amusement, sermonna son collègue pour une tout autre raison :

« Enfin ! Vous vous faisiez un tel mouron pour une histoire pareille ! Oui, effectivement, je connais Archer, je l'ai croisé quelques fois et sa compagnie m'est agréable. Mais soyez raisonnable, je ne suis pas arbitraire ! Vos raisons pour vous battre vous regardent, honnêtement, ce ne sont pas mes affaires, mais il ne sera pas dit que j'aurai aliéné un ami parce qu'il se sera battu avec un autre de mes amis. Ces querelles ci ne me regardent en rien, c'est votre affaire, vraiment. Il réfléchit un moment avant d'ajouter : il est vrai que vos raisons pour vous battre m'ont semblées un peu puériles, à tous les deux, mais bon, vous vous en êtes sortis et aucun d'entre vous ne jette l'opprobre sur l'autre, tout va bien. Par contre, dites moi... Je suis intéressé par les tactiques que ce jeune homme emploie, racontez moi un peu plus en détail, je vous prie ! »

Une fois que ce sujet fut réglé, que la leçon eut été faite, Mannfred se recula et retourna s'asseoir sur son lit. Il fit un genre de pause, histoire d'écouter son collègue si celui ci voulait bien lui raconter ce qu'il lui avait demandé de lui dire, puis, prenant son tour, ajouta sans tarder :

« Dites, dites, je vous avais annoncé que j'avais quelques petites esquisses, trois fois rien, à vous montrer, lorsque nous sommes venus ici. Il lui lança la petite sacoche avant de continuer : ouvrez donc ce petit sac et prenez la pochette. Feuilletez en le contenu et dites moi ce que vous en pensez, ce que vous préférez. Il ajouta d'un ton badin : Prenez garde à ce que vous en direz, j'ai passé du temps sur ces croquis ! »

Cette dernière phrase était manifestement une demi vérité, puisqu'elle était dite en riant, car si ces pauvres dessins ne lui avaient pas demandé un temps fou à réaliser, il avait passé un instant raisonnable de réflexion pour la mise en place des symboles et le choix des couleurs. Dans la pochette, voici ce que l'on pouvait trouver :

Esquisse 1:

Esquisse 2:

Esquisse 3:

Esquisse 4:

Esquisse 5:

Esquisse 6:

Essai de code:

Il regardait Stanislav les manipuler sans mot dire, ne laissant pas transparaître ses possibles préférences dans les esquisses ou son avis sur le code : il ne voulait surtout pas influencer son ami dans l'avis qu'il allait lui donner ! Il ne lui avait même pas expliqué non plus ce que les symboles voulaient dire, il voulait d'abord un avis esthétique avant de savoir ce qu'il pensait des meubles héraldiques utilisés. Il attendait donc qu'il ait passé son regard sur tout ceci, patiemment.
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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptyVen 2 Oct - 6:17

Ce silence qui pesait dans la pièce après lui avoir raconter son petit accrochage laissa quand même un air de malaise sur le regards du maître des enfers, il attendait lourdement la chute, lorsqu'enfin se plaça l'amer humour de son frère d'arme suivis d'un quelconque rire. D'un long soupir, un relâchement se laissa aller et il reprit totalement confiance en lui, oubliant ce qui venait de se produire et tournant donc une page mentalement sur cette histoire! Il était bien heureux qu'il n'ai pas à réellement accorder plus d'importance. Son amis ajouta également quelques complément, spécifiant que ce genre d'acte ne le regardait que lui et lui-même, donc, excluait toute part de responsabilité ou de partit.

Ça arrangeait et de loin Stan, puisqu'il préférait garder son collègue de loin dans cette histoire, pouvant lui-même corriger cette situation puéril avec Archer, sans que le Duc ne mettent son nez dans tout cela. D'un intérêt plus intriguer toutefois, le Duc continua dans sa lancée, ce qui laissa silencieux le maître des enfers qui se mit à écouter avec attention tout ce qu'il disait. Une sacoche s'élança dans sa direction et d'une mains il l'attrapa en ne quittant pas son frère d'arme des yeux. Elles contenait des esquisse? Là à son tour il devait admettre que son frère d'arme avait sût l'impressionner. Il le savait grandement motiver par sa passion, mais là elle venait de gagner d'un crans encore plus élever.

Sur sa petite blague en terminant il gloussa également, prenant le temps de soigneusement vider son contenus et de jongler sur le contenus de la pochette. Ce qui lui attira l'oeil fût les variétés entre 5 modèle, tant bien qu'une certaine similitude sur les deux dernier ce qui rendait le choix un peu plus difficile. Il trouvait tout ceci merveilleux en soit, autant qu'une jeune femme regardant pour la première fois une robe de bal dans une vitrine. Toutefois, la sélection devait se sentir légèrement difficile entre certains choix et il laissa une petite respiration plus forte qu'à l'habitude, se concentrant bien comme il le devait pour observer chacun des détails qui embellissait le tout.

Enfin, lorsqu'il eu terminer, il s'assied dans son lit, sur le bord pour en faire face à son maître, se grattant le menton. Il allait dire ses commentaires, lorsque ses yeux se mirent à lire un... Code d'honneur? Chaque mots d'écrit laissait un sourire sincère se dessiner sur ses lèvres, son collègue avait réellement passer du temps de qualité à s'appliquer sur chacun de ses détails et rien n'avait été laisser au hasard, rien qu'à en lire la qualité de chaque phrase. Il reposa donc doucement le contenus sur ses jambes en haussant la tête pour fixer son camarade et ricana légèrement avant de dire.


-Pour une fois cher Duc, il est en mon honneur de vous dire qu'à votre tour, vous saurez toujours sortir une carte de votre manche pour me mettre la langue contre le sol! Jamais je n'aurais imaginer une si belle chose! Avant de m'exprimer sur les esquisses toutefois, je tiens à dire que ce code... Est une simple réalité d'une vision que nous pourrons partager et faire promettre à nos futurs frère d'armes!...

Il le fixait avec un sourire en coin et s'en remit donc aux esquisses, les plaçant lentement dans un ordre mental pour pouvoir lui dire laquelle à son avis serait la plus favorable. D'un point de vue critique, rien que le fait d'avoir une esquisse en soit était déjà un grands bonds hors de l'ordinaire pour lui et elles étaient toutes très bien dessinée. N'empêche seulement qu'il s'attendait à avoir un opinion légèrement plus développer que de dire les aimer toutes, il se mit donc lentement à réfléchir, à observer, mais surtout à prendre un air songeur et très concentrer une fois de plus. Non, le jugement n'allait sans nul doute rien changer, mais il ne voulait pas parler pour se rendre intéressant et simplement décevoir le Duc.

-Voici donc comment je vois la chose, dans mon esprit, les esquisse sont en soit à chacune d'elle réussie. Toutefois, j'imagine que je devrai utiliser un oeil légèrement plus critique que d'en dire autant, ce que je ferai donc en les classant de ce qui pourrait être un favoris, jusqu'à celui que je regarde d'un oeil plus critique. Numérotons les dans cet ordre, celle ci sera la première et celle-ci la sixième, nous sommes bien d'accord. Dans ce cas je dirais que la cinquième tout comme la sixième on si peu de différence, qu'ils sont à égalité. Ensuite, la quatrième, la deuxième, la première et manifestement ça nous laisse donc pour clore le décompte... La troisième.

Il révisa lentement chacune des esquisse de nouveau pour s'assurer qu'il avait bien annoter comme il le pensait et une fois sûr de tout, il fit un sourire à son collègue en remettant le tout tels que c'était dans la sacoche pour lui rendre. Il avait trop peur d'abimer quoi que ce soit ou même de déchirer ne serai-ce qu'un coin de ses si jolies esquisses qui avaient été dessinée avec passion et surtout une pétale de passion. Ça étonnait quand même son collègue de le voir faire des esquisses aussi bien réussie alors qu'ils ont habitude de parler conquête, tactique ou même encore tout ce qui touche l'attrait militaire. Stan prit son courage à deux mains en fixant son amis.

-Et vous l'ami, qu'es-ce que vous préférez.

Il voulait voir avec impatience.

(Désoler du retards, ma réponse s'était perdue dans les abysses)
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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptyVen 2 Oct - 20:36


Le duc était assez fier de ce qu'il avait devisé et était manifestement content de voir que tout ceci plaisait également à son ami. Il avait d'abord eu envie de partager ces esquisses dans la taverne à Sylviosse, mais le nombre de clients l'en avait dissuadé. L'instant n'était pas bon. Ici, cependant, dans la relative intimité d'une chambre, c'était parfait : ils pouvaient discuter librement et jouer avec le papier sans risquer de le tâcher ou qu'un accident renverse de la bière dessus, que savait-on encore.

Il écouta les commentaires de son collègue avec plaisir, un sourire réprimé et modeste sur les lèvres, puis décida, à la question qui lui fut posée, de se rapprocher pour mieux observer. Il se leva de son lit et vint s'installer aux côtés de l'autre chevalier, prenant quelques feuillets dans ses mains. Il avait déjà pensé à ceux qu'ils préféraient, et cela coïncidait avec l'avis de Stanislav, c'était une bonne chose. Il prit tout de même le temps d'expliciter chacun de ses choix avant de donner son avis, à la manière dont un professeur ferait une leçon avant de donner une critique :

« Voyez, rien n'a été laissé au hasard, sauf peut être la forme de l'écusson qui elle m'a juste paru esthétique. Le rouge, au centre, représente notre valeur guerrière, qui est entourée de bleu, elle même la couleur de la noblesse. Noblesse de cœur et noblesse de sang, c'est pareil, pour nous ! Si à chaque fois le meuble central est bordé d'un cadre d'argent, c'est que cette couleur représente la sagesse, rappelez vous en, ce sera important pour ce que je vais expliquer ensuite. Après les couleurs, les meubles donc, ont chacun leurs petites définitions. Il va de soi que l'épée est guerrière, mais pas seulement, elle représente aussi la noblesse, car l'épée est l'arme des gentilshommes, la roture n'a qu'à se servir de ce qu'elle trouve. Mon dilemme était le suivant, pour lui : je devais en mettre plusieurs, mais qu'y signifier ? Notre lutte perpétuelle, par des lames croisées, ou notre camaraderie, en parsemant la couleur d'épées ? Selon le modèle, c'est ce que j'ai essayé de montrer. La tour, ensuite, montre notre propre grandeur et notre puissance. Le château, encore, n'est pas redondant, il est notre détermination, par ses fondations, mais aussi une mise en garde. Avec nous, c'est la guerre qui arrive, préparez vous ! C'est ce que crie ce château, symbole même de la puissance du seigneur, à nos ennemis. Enfin, le soleil. Il est à chaque fois bordé d'un cadre d'argent. C'est normal, il représente notre Maître qui, dans son infinie sagesse, nous a donné et la puissance et la mission de nous battre pour ces terres. Voilà ce que j'ai essayé de mettre dans ces simples images et coloris. »

Se taisant pour laisser son ami intégrer ce qu'il venait de lui dire quant à la signification « globale » des esquisses qu'il avait produite, il s'empara de celles que le chevalier des enfers avait numérotées cinq et six, leur jetant un coup d’œil assidu. Un petit moment passé, quand il eut considéré que son collègue avait assimilé ce qu'il y avait à assimiler, il ajouta en montrant ces dessins :


« Vous voyez, ce sont également mes deux esquisses préférées. Outre le soleil, pareillement placé dans tous, ainsi que les couleurs, qui si elles sont arrangées différemment sont ultimement les mêmes, ce sont les épées, la tour et le château qui font la différence. En encadrant le soleil, le Maître, avec des épées, c'est notre mission et notre groupe qui est représenté. Nous sommes sa force armée, sa lame qui se meut en son absence pour faucher les faibles et conquérir leurs terres. Par la tour, en haut, nous démontrons notre propre grandeur, bien au dessus des gens du commun, nous les toisons et ils ne peuvent espérer nous atteindre. Par le château en bas, comme je l'ai exprimé plus tôt, nous ne montrons pas seulement les sièges et les combats à venir, mais aussi une fondation puissante, qui comme vous le savez s'est faite dans le sang mais aussi dans la solennité la plus profonde, prête à soutenir l'effort de la guerre et la grandeur de nos membres. C'est pour ça que c'est bien la sixième que je préfère et qu'avec votre accord, ce sera officiellement notre emblème. »

Mannfred avait délaissé le papier sur lequel il avait dessiné la cinquième esquisse pour se concentrer sur celle là, qui le contentait tout à fait. Il n'avait pas parlé du Code, puisque Stanislav semblait y adhérer totalement. Le seul véritable choix était entre les différentes esquisses et en l'absence de contribution supplémentaire, le duc prenait ça pour un acquiescement pour le tout.

D'ailleurs, en prenant en compte toutes leurs péripéties, leur voyage, ainsi que cette longue conversation, il était possible de voir par la fenêtre que le jour commençait à poindre. Le moment allait donc être propice pour aller enfin chercher les artisans qui œuvreraient dans leur cachette commune à Sylviosse. Il se leva, rassembla les papiers dans leur pochette, et annonça sans plus attendre, debout près de la porte :

« Nous séparerons nous ou irons nous ensemble ? À moins que cette lumière blafarde qui respire la joie de vivre ne vous dérange, que l'air qu'elle inonde ne résonnant point encore d'airs martiaux ne vous répugne ! Vous pouvez alors m'attendre ici. Dans le cas contraire, j'aimerais m'occuper d'un peu de décoration, comme faire faire notre emblème en grand ou écrire d'une calligraphie e qualité notre code, pour les afficher. Si vous pouviez vous occuper de l'ébéniste pour quelques meubles, ou alors de l'armurier si le cœur vous en dit -mais je vous préviens les armes sont hors de prix, il vaut mieux s'abstenir-, ou peut être un épicier pour les vivres non périssables, sait-on jamais. Dites moi et partons au plus vite ! Nous avons fort à faire ! »
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MessageSujet: Re: Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]   Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann] - Page 2 EmptySam 7 Nov - 6:53

Après grande explication de son amis, les minutes avaient défiler, les heures avaient passer et même quelques idées s'étaient entremêler dans la tête du maître des enfers. Évidemment que tout ceci était très intéressant, mais les quêtes ne se font pas en un jour et les conquêtes encore moins. Il le laissa donc terminer toutes ses belles paroles si bien synchronisées et se contenta de simplement lui sourires, heureux de voir qu'il avait mis coeur à la tâche pour s'assurer que chaque détails de ce qui allait suivre serait parfaitement calculer. Évidemment qu'avec Mannfred comme équipier, aucun détails ne tromperait et ne serait laisser derrière sans aucune explication, mais dans l'instant ils ne seraient pas plutôt sage que leur route se divise?

Après tout, chacun serait donc à sa tâche et se retrouverait au point de rencontre quand le tout serait respecter. Il prit donc le temps d'inscrire sur un bout de papier toute la liste des personnes à trouver, histoire de gagner du temps et déchira la liste en deux. Ainsi, Mannfred aurait sa moitié et Stan aurait la sienne. Chacun irait recruter ce qui manque pour mettre en route les travaux et tout deux pourraient se réunir par la suite au beau milieu du lieu de rencontre avec les hommes nécessaire pour tout mettre à effet. Ce serait une dur tâche, une dur labeur, mais au moins le tout serait largement plus facile. Gardant les papiers dans ses mains, il prit la peine de lui expliquer attentivement le concept.

-Mon amis, du moment que nous avons autant d'homme à recruter, j'ai prit le soin d'écrire ce que nous avons tant besoin. Ainsi, chacun respecte son morceau de liste et rejoindra par la suite tout ses hommes au chantier histoire de peaufiner tout cela.

Une idée simple, rapide et pour le moins beaucoup plus simple que d'essayer de chercher une aiguille dans une botte de foin. Il donna une tape sur l'épaule de son amis en signe de courage, prit doucement ses choses et se mit donc en route histoire de pouvoir commencer à chercher ce qui en serait. C'était dur de quitter son maître, mais il n'avait pas le choix et préférait de loin ce concept.

-Nous allons nous revoir dans quelques lunes. D'ici là, prenez soins de vous mon amis.

Il prit donc route de son coté, déterminer par son but de recruter les hommes à la tâche.

[Réponse très écourtée, j'en suis désoler. Fin de la première partie du RP, suite à quelques absences de Mann et Stan. À SUIVRE]
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Nulle terre sans guerre. { Partie 1 [PV Mann]

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