Cette douce Brise Polaire

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Ça avait été un très long voyage, Celestii était très loin géographiquement de Viridia et je dois avouer que je me fichais pas mal de la distance. Il y avait ce vent polaire qui dirigeai mes pas vers cet endroit à chaque fois qu'il en avait l'occasion.

Évidemment, la réaction de la Prussienne avait été assez extrême, elle se demandait certainement pourquoi, moi qui déteste tant le froid étais inéluctablement attiré vers les endroits les plus glaciaux.

La réponse était pourtant simple... Je me sentait comme si j'étais à la maison.

Nous étions depuis peut arrivé à celestii, le temps était aussi froid que lors de ma dernière visite, et je décidai de grimper sur les remparts de la ville, tenant fermement la main de la Prussienne dans la mienne. Je ne souhaitais pas qu'elle glisse et se fracture quelque chose dans les marches.

Je ne lâchai sa main que lorsque je jugeai qu'il n'y avait plus de danger de tomber.

Arrivé au sommet je m'adossai contre la pierre, observant le paysage polaire à perte de vue. La température était froide, mais il n'y avait pas de tempête aujourd'hui, le soleil brillait de mille, ais réchauffait à peine mon corps déjà meurtri par le froid.

Parfois...je me demandais comment je pouvais apprécier de me sentir comme ça...je haïssais le froid, mais lorsque j'étais complètement frigorifier..Je m'en fichais. Je remontai simplement mon écharpe afin de couvrir un peu plus là-bas de mon visage et me perdis dans la contemplation de la ville en contre bas, et des plaines enneigées de l'autre côté.

Toutefois, un bruit près de moi me sortit de ma contemplation, je tournai la tête, observant la jeune femme qui était désormais ma compagne. Était-elle frigorifiée comme je l'étais? Le vent était fort là où nous nous trouvions, peut-être voulait-elle descendre.

«Maria....»

Je lui souris doucement, les joues rougissent par le froid qui frappait sans cesse mon visage et qui me donnait maintenant un air presque angélique.

«Si tu a froid tu vas ravaler ta fierté et me le dire da?»

Lutter contre sois-même

feat Un russe et une prussienne

Comme à chaque fois que quelque chose ne plaisait pas à l'ex-nation...Elle faisait tous son possible pour exprimer son mécontentement. Par exemple, lors de ce voyage BEAUCOUP trop long que le russe avait décidé d'entreprendre avec elle...Et surtout de la destination choisie, Maria n'avait pas hésité à râler tout le long du chemin.

Oh, elle ne c'était pas gêner non plus pour ralentir le trajet en trainant des pieds ou en marchant le plus lentement possible. La motivation pour allez là ou voulait allez Russie...n'était pas présente.

Malheureusement, le trajet pris fin et la re-voilà à devoir affronter le froid glaçiale de la ville. Cela la fit grincer des dents.Trop de mauvais souvenir remonter à la surface et elle du se résoudre à essayer de les ignorer, sous peine de s'énerver contre la personne responsable de tout ces malheurs.

Pourtant..elle ne refusa pas son aide lorsqu'il décida de grimper sur les remparts...Nul doute que sans lui, la prussienne aurait déjà glisser plus d'une fois.

Une fois arrivé à "destination" , l'ex-nation ne dit rien et contempla le paysage enneiger d'en bas. Ses yeux se plissèrent et ces poings de fermèrent...avant de soupirer et de finalement se détendre. Faire la croix sur son propre passé n'était pas chose aisé.

Au bout de plusieurs minutes, la demoiselle finit par éternuer...et...etrangement...Maria resta Maria. Comme si quelque chose d'invisible empêcher le changement. Peut-être parce que la prussienne était trop occuper à oublier son Histoire...ou que sa volonté était trop forte.

Et comme n'importe qui...Prussia commencer à trembler de froid, son nez devenant de plus en plus rouge, comme si elle venait d'avoir un gros rhume.

- Je n'ai jamais aimé les températures trop basse....A cause de toi.

Pour une fois, elle ne disa pas cette parôle à très haute voix. Préférant faire en sorte qu'Ivan n'entende rien. Cela valait mieux ainsi, inutile de crée d'autres problèmes.

La dernière phrase du russe lui fit arracher une grimace. Comment ça ravaler sa fierté? Et il ne voulait pas aussi qu'elle lui donne sa croix par la même occasion? Bien sur qu'elle avait froid et que tous a l'agacer...Mais au grand jamais elle ne le lui dira !

Tripotant ça croix de fer pour se donner du courage, Maria fit de son mieux pour arrêter de trembler et finit par se forcer à afficher son sourire moqueur.

- Moi? Froid? Nein je n'ai pas froid! Je meurt même de chaud, j'hésite à ôter ma veste ! Je ne suis pas une russe!....Même si mon peuple était surnommée les "presque-russe" CA NE COMPTE PAS ! KESESESE!

Suite à cette phrase, elle prit une de ses célèbres poses ...et failli glisser. Elle se remit aussi tôt droite et se frictonna les bras, essayant de se réchauffer.

- C'est bizzare, mais je viens de me rappeler du jour ou j'ai voulu prendre une douche...et que tu a éteins l'eau chaude pile à ce moment là....Russland...Mein gott...

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

À peine j'avais terminé ma phrase que Maria me criait déjà dessus qu'elle n'avait absolument pas froid et même que la température était si agréable qu'elle aurai pu retirer sa veste.

Je l'aurais certainement cru, si son corps n'était pas en permanence tremblant et ses joues si rouges que l'on aura pu croire qu'elle saignait. Je m'apprêtais à répondre lorsqu'elle prit l'une de ses fameuses poses et faillis glisser sur le sol.

Je ne pue m'en empêcher et un léger rire m'échappa.

Lui laissant le temps de se redresser calmement, je cessai de rire avant qu'elle décide de me sauter dessus pour se venger, on ne sait jamais avec elle. Je remarquai aussitôt son mouvement sur ses bras, elle avait froid et ne mettrait définitivement pas sa fierté de côté pour me l'avouer.
Je souris amusé et elle ce mis à parler de ce jour ou je l'avais énervé dans la salle de bain. Je ne pus m'empêcher de sourire encore plus. C'était confirmé, elle était morte de froid pour me parler d'une telle chose.

Je pouffai à nouveau de rire et l'observa , prenant un air plus que satisfais de la situation.

«Maria...si tu me dit que tu à froid je t'aiderai à te réchauffer, mais si tu ne le fais pas je continuerai à m'amuser de tes réactions plus que délectables »

Ça y est, je recommençais à parler comme un agresseur sexuel, mais que pouvais-je y faire? C'était dans ma nature après tout, elle avait juste réveillé cette part de moi en me donnant son amour.

De plus, je n'avais ces réactions perverses qu'avec elle, c'était peut-être quelque chose dans son parfum? Hum...Je l'espérais vraiment, car parfois je me faisais presque peur....presque.

Je me détournai lentement d'elle avant de m'asseoir sur le rempart, les jambes dans le vide et les balançant comme un enfant dans une cour d'école à la récréation. Je fermai ensuite les yeux, me laissant envahir par le froid et laissant le vent faire voler lentement à un rythme régulier mes cheveux et mon écharpe.

Après quelques minutes dans cette position , je tournai la tête vers Maria, vérifiant surtout si elle n'était pas devenue un glaçon vivant et lui sourit tendrement.

«Alors? Veux-tu de l'aide de Mother Russia ou bien tu continue à t'entêter?»

Cold

feat Un russe et une prussienne

Son compagnon s'amuser d'elle et finit même par s'asseoir, comme si de rien était.Lui il avait l'habitude des froid pareils...Mais pas elle. Le vent n'arranger pas les choses et ne faisait qu'empirer la situation.

Ainsi, Ivan lui proposa à nouveau le même marché. Sa fierté pour ne plus avoir froid. Pourquoi avait-elle cette impression que le but d'Ivan était de la...dressée? Voulait-il essayer de la dompter, comme pour les Baltes?

Prussia se résigna et resta là, à grelotter contre le froid ambiant. Toutefois...Maria fut finalement tenter de tout lâcher, tellement elle en avais assez.

- Si tu savais à quel point je te déteste par moment...

Finit-elle par dire sur un ton assez sarcasstique. Non mais...Il n'avait pas peur qu'elle meurt de froid?
- Bon très bien, tu a gagner sale Ruskov...L'awesome moi à froid. Content?

Râla-t-elle tandis que son ego en pris un sacré coup.Avouez ces faiblesses n'était pas bon pour un soldat et cela conduiser directement à la mort...Surtout en présence de Russie.

- Et tu compte faire quoi maintenant? Claquer des doigts et faire disparaitre le froid pour mettre une tempêrature ambiante ?

Oui...elle se moquer complétement de lui.Et juste après elle croisa les bras et regarda ailleurs, comme si elle le ...bouder?

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Enfin, cette tête de mâle avait cédé à l'une de es demande. Ça n'avait pas été facile vue, mais elle avait enfin avoué quelque chose d'important pour sa survie. Il était vrai que d'une certaine façon je voulais la dresser, mais uniquement pour son propre bien.

Je ne pouvais pas toujours deviner lorsqu'elle était aux prises avec un problème ou bien lorsqu'elle était en détresse psychologique. Je voulais vraiment qu'elle s'habitue à se confier à moi lorsque quelque chose n'allait pas, même si c'était insignifiant.

Il était vrai que je devais moi aussi m'améliorer sur ce point, mais j'étais certain que cela m'aiderait, si je la voyais y arriver avant moi.

Je ne pus m'empêcher de sourire d'amusement lorsqu'elle se moqua de moi, me demandant comment je pouvais faire pour la réchauffer.

Je me levai donc lentement et m'approcha d'elle tranquillement, j'ouvris mon manteau et sans lui demander la permission, la plaqua contre moi avant de refermer pour la garder la. Je me félicitai mentalement de porter des vêtements amples et la garda la, souriant. Le vêtement n'était pas totalement fermé pour que la tête de la jeune femme puisse être libre de mouvement.

Je retirai ensuite mon écharpe, pour la remettre autour de nos deux coups, afin que la chaleur soit partagée. Je n'était pas la personne avec la température corporelle la plus élevée, mais j'étais plus chaud que la température externe.

Je l'enlaçai tendrement, mes bras dans son dos part dessus le manteau, mes bras étant encore dans les manches. Nous étions à l'étroit ça c'était certain, mais au moins j'espérais qu'elle ce réchauffe un peu.

J'aurai aimé pouvoir diminuer la température ambiante, mais je ne pouvais que l'augmenter et la remettre à son état original. De plus, quelque chose me disait que des degrés de plus ne serait pas une bonne idée.

«En général, il n'y a pas ce genre de service en Russie...»

Je lui donnai un baisé sur le frond.

«Mais, je suis prêt à faire une exception en ce qui te concerne»

Cold

feat Un russe et une prussienne

Une personne normalement constitué serait mort de peur à ce moment là . Au sens propre et au sens figuré. Cependant, la prussienne avait la force de caractère nécessaire pour ne pas paniquer tel un letton.

Seul son cerveau de moineau avait du mal à traiter les informations reçue. Elle était trop proche du russe...et pourtant elle avait peur de se plaindre, ne voulant pas que le russe décide de la repousser et de la laisser grelotter dans le froid.

Ivan n'était pas un radiateur...Mais il réchauffer tout de même suffisamment la prussienne qui en était ravie. Toutefois, elle ne savait pas exactement comment elle devait réagir...ou si Russie s'attender à quelque chose de sa part.

A présent, ces joues c'étaient teintés de rouge, non pas à cause du froid, mais surtout à cause de la gêne d'être bien au chaud sous le manteau du russe.

- Danke...

Ah, les fameux services en Russie...Même elle n'avait pas envie de les connaitres, sachant que c'était un pays cruel et sans aucune pitié. Cela ne donnait pas très envie. Maria fixa longuement Ivan, sans rien dire, puis elle finis par lâcher un petit soupire et se blottir un peu plus contre le russe.

- Je pourrais tout aussi dire que en Allemagne, on n'accepte pas ce genre de service et qu'on préfère mourire dans le froid que de demander de l'aide. Surtout à son ennemie.

En tout cas, cela aurait pu être sa réaction, si ces sentiments ne la pousser pas à aimer Ivan. Comme dirait un certain Francis, l'amour est un sentiment passionnant...Dit comme ça, c'était surtout un mixe avec Espagne.

L'ex-nation passa ses bras dans le dos de son amant de telle sorte qu'elle entourer le russe, toujours sous le manteau. Peu à peu, la froideur disparaissait...Et elle avait moins envie de partir quitté l'endroit chaud.

- Tu n'a pas peur que j'en profite, que je sois la en dessous?

Ricana-t-elle doucement, sans pour autant faire quoi que se soit. Puis, une question vient à son esprit...Une question assez importante qu'elle ne se gêna pas de poser.

- Hoy Russland...Pourquoi nous avoir emmené à Celestii? Tu a oublié quelque chose ici?

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Lorsque la jeune femme passa ses mains dans mon dos, je frissonnai de bien-être et lui donna un nouveau baisé sur le front, la serrant encore plus fort contre moi. Je me remis à sourire lorsque Maria tenta de me faire peur en me lissant croire qu'elle oserai me chatouiller maintenant.

Ce n'était pas vraiment une bonne idée, même venant d'elle, car c'était elle qui était en position de faiblesse à cet instant, pas le contraire comme elle semblait si ardemment le croire.

Puis elle ajouta autre chose, semblant tellement sérieuse que ça me fit froncer les sourcils. Elle voulait comprendre pourquoi j'avais tant souhaité venir dans cette région en particulier.

La question était légitime et il était vrai que je ne lui avais rien dit en ce qui concernait mon drôle de sentiment concernant l'endroit. Je soupirai et lui donna un doux baisé sur le dessus de sa tête, la regardant ensuite sérieusement.

«Pour être honnête avec toi je n'en aie pas la moindre idée...»

Je sentis que si j'en restais la avec mes explications ça allait très mal ce terminer, elle détestait cette région et me l'avais exprimé à de nombreuses reprises. Elle l'avait très bien démontré lors de notre voyage pour venir jusqu'ici à tel point que j'avais voulu la frapper à un certain moment.
Je me devais de lui en dire plus, sinon je ne comptais plus les minutes qu'il me restait à vivre.

Je détournai le regard, observant le lointain, une expression calme au visage.

«Je ne sais pas pourquoi, mais une force ne cesse de me pousser à me rendre dans cette ville. Je ne sais pas si ses parce que le climat est semblable à celui de mon ancienne maison, ou si une raison plus forte y est rattacher, mais dans les deux cas, je me sens bien ici...serein.»

Je reportai mon regard sur elle, espérant qu'elle puisse comprendre un tant sois peu ce que je pouvais ressentir à cet instant. Je n'aurais probablement jamais quitté la région pour retourner à Viridia si ce n'avait pas été d'elle. Mais même si je me sentais bien ici, ne pas l'avoir auprès de moi me fessait mal.

Bien sûr, c'était une information don je ne lui ferai pas pars.

La Russie sur Horizon

feat Un russe et une prussienne

Perplexe, le royaume déchu écouta sans rien dire les expliquations fort étrange de la nation du froid. Pourquoi n'était-elle pas surprise de l'entendre dire qu'il était attiré par le froid? C'était Russie après tout, il devait aimer vivre dans la neige, à faire de la luge comme un enfant ...ou à essayer de faire manger de la neige par le nez à Amerique.

En se rappelant se souvenirtrès drôle elle ne pu s'empecher de rire et se blottit un peu plus contre sa source de chaleur du moment. Si seulement se moment pouvait durer éternellement..

- Peut-être un signe pour te dire que tu devrais acheter une maison ici et y vivre? Après tout, tu n'à plus aucune obligation envers ta patrie...Tu peut vivre une vie normale en tant qu'humain ici...C'est calme.

Elle se mit à lui caresser le dos, sans doute parce qu'elle pensait que lui aussi devait avoir froid un peu. Puis..quelque chose l'alarma un peu..elle n'entendais aucun bruit dans la poitrine de son compganon et durant un court instant, la pauvre Maria paniqua...

Toutefois...lorsqu'on se rappel qu'une grande rumeur disait que le russe ne posseder pas de coeur...La Prusse soupira et finit par abandonner. Tant qu'il rester en vie, c'était tout ce qui lui suffisait.

-Sinon...On va rester longtemps là haut? Ou tu à envie de sauter du haut du rempart sans parachute en criant le mot "vodkaaa"?

Ricanat-elle en se souvenant de l'article du journal dans lequel avait figuré ce moment. D'ailleurs, il ne c'était pas cassé quelque chose à ce moment là? Et après on osait que les allemands aimaient se faire mal...Les russes aussi alors !

Puis...une idée lui vint, malgrès que l'endroit ne sois pas très propice pour faire la mauvaise idées que venait d'avoir la prussienne.

- Hoy Russland...Est-ce que ça te tenterais une partie du jeu action veritée? Cela fait un moment que j'y est plus joué ...Et peut-etre que descendre pourait être awesome pour pouvoir s'amuser.

Comme ça...elle pourra profiter du jeu pour lui poser des questions assez dérangeante, tout en faisant passer cela pour un jeu. Brillant, n'est-ce pas?

- Et comme je suis géniale, je te laisse commencer et je choisis action ~

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

La gardant contre-moi, je l'écoutais parler, profitant de sa présence à mes côtés pour réfléchir à toute sorte de choses, surtout ce don elle me parlait.

Prendre une maison ici ne serait très certainement pas une mauvaise idée. Mes pas me ramenaient toujours ici de toute manière et j'avais un malaise constant lorsque je n'y étais pas. Il devait certainement voir quelque chose d'important ici.... Était-ce en rapport avec mon désir de protéger ce monde?

Je sortis de mes pensées lorsqu'elle parla de mon saut en parachute et je ne pus m'empêcher de rire à ce souvenir. Hm... Tournant la tête vers le vide, je me dis que ça pourrait être amusant de sauté en criant vodka....mais avec Maria dans les bras c'était plutôt délicat et je souhaitais la garder contre moi.

Ufufu , je n'avais qu'a sauter avec elle!! Cette idée n'eut le temps d'aboutir nulle part puisque la Prussienne me parla de jouer à un jeu. La partie enfantine de mon être ne put résister et je la regardai, très attentif aux règles.

Je connaissais le jeu action-vérité, j'y avais souvent joué avec elle, mes sœurs et les Baltes durant l'URSS. Je souris, tout content de pouvoir y jouer à nouveau.

Je devais réfléchir maintenant, elle avait décidé de commencer, et surtout de choisir action. Je e devais de trouver quelque chose de plutôt gênant, mais ni trop cruel, ni trop impossible.

C'était vraiment plus difficile que dans mes souvenirs de trouver une conséquence. Avant je me fessais un plaisir fou à maltraité lors d'une action, mais la je ne croyais pas que ce serai une bonne idée.

Je détachai donc mon manteau et l'éloigna de moi à contrecœur, se serai difficile de jouer si elle me collait comme ça. Je refermai mon manteau et lui sourit tendrement.

«Ta conséquence est à long terme. Je t'oblige à t'établir ici avec moi et de demeure à mes côté.»

Il y avait songé un petit moment avant de pondre cette idée et en était très fier maintenant.

«Oh et je choisis vérité.»

Un jeu

feat Un russe et une prussienne

Pourquoi avait-elle eu cette mauvaise idée de jeu? A présent,il l'avait lâcher, bien que la prussienne n'epprouvait plus grand chose du froid. Au fond, elle n'avait juste qu'à se répéter que non, il ne fait pas froid.Après tout, tout est dans la tête , non?

Le royaume dêchu croisa alors les bras, fixant de ses deux yeux rouges la nation froide...Ne jamais dire action en présence de Russie. Il confondait le mot "action" avec " conséquence" ...Et c'était le genre de personne qui parfois ne laisser aucun choix.

-Arschloch...

Puis en soupira. On aurait dit une espèce de demande en mariage mais en version Russie. Sauf que c'est sans la bague et sans aucun choix pour accepter ou refuser.

- J'ai l'impression de re-vivre la guerre froide, russkov

Tout en disant cela, une jolie grimace vient décorer son visage. Puis, lorsque ce fut son tour, elle n'eu même pas besoin de réfléchir longtemps. Il l'embêter? Et bien elle aussi, elle allait faire pareil.
- Avec qui était ton premier baiser? ~

La prussienne était sur à 91% qu'Ivan devait avoir une belle vie amoureuse, un peu plus violente que celle de France et Spain, mais il devait en avoir une. La Russie était célèbre pour forcer les autres.

La jeune femme ne put s'empêcher de ricnaner et observa les réaction de son partenaire, se préparant tout de même à esquiver s'il venait à la frapper. N'oublions pas que le russe était un être
bipolaire, si la question lui était trop problématique, il pouvait très bien avoir envie de l'éliminer.

- Et ce sera vérité pour moi aussi...

Mieux valait evitez de re-demander une action. Question de survit surtout.

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Je ne pus m'empêcher de rire lorsqu'elle m'insulta dans sa langue natale, j'avais choisi une conséquence des plus brillante et je me féliciterai toute ma vie pour ça. J'ignorai toutefois si elle en était vraiment contrariée ou si elle appréciait au fond d'elle-même ma demande.

Je me déplaça un peu la laissant râler sur le passé pendant que je cherchais ce que je pourrais bien lui demander d'autre si elle me redisait conséquence.

Je finis par tourner la tête vers elle, un doux sourire aux lèvres prêt à le lui dire, mais elle me coupa dans mon élan. Je devais répondre à sa question après tout, c'était mon tour de subir les règles du jeu.

Hm...La question me sembla fort étrange. Je me demandais vraiment ce qu'elle allait en tirer d'avoir une telle information. Je haussai les épaules et lui répondit calmement, comme si ça ne me fessait pas grand-chose, alors que je n'en étais pas vraiment fier.

«Mon premier baiser était avec ma petite sœur Belarus.»

Je la regardai souriant, cachant ce que je pensais et espérais sincèrement, pour la première fois de ma vie que rien ne trahisse ce à quoi je pensais. Pour être honnête, j'étais plutôt honteux de cette action. Je lui avais fait tant de choses obscènes après ça...elle pouvait bien me courir après maintenant.

Mais ça, je ne le dirai jamais à la Prussienne.

Pour mon plus grand malheur elle choisit vérité et je dus me concentrer pour trouver quelque chose, commençant même à faire les cent pas comme lorsque j'étais dans mon bureau, en train de traité un événement politique important.

Je fini par trouver et pouffa de rire, me stoppant et tournant la tête vers elle.

«J'ai entendu certaines rumeurs qui disaient que ton frère et toi avez déjà été amants, c'est vrai?»

Si c'était vrai, elle allait certainement rougir et tout nier en vrac puis me frapper en me traitant d'idiot, si c'était faux elle allait probablement me taper et ensuite me traiter d'idiot. Dans les deux cas, je me faisais taper...Ahlala, moi et mes questions stupides.

«Oh, et je prends action ensuite ufu.»

L'aigle noir c'est eveillé

feat Un russe et une prussienne

C'était toujours très intéressant d'apprendre que le russe faisait aussi dans l'inceste. Cela ne faisait que montrer à Maria à quel point Ivan pouvait faire tout et n'importe quoi pour assouvrire ces besoins pervers...et bientot Prussia finira aussi dans le même bain, tôt ou tard elle n'arrivera plus à fuir ce moment tant redouté, sous peine que Russie s'ennuie et l'abandonne lâchement .

L'ex-nation soupira doucement et releva la tête...et failli sauter au cou du russe pour pouvoir l'étrangler. Comment oser-t-il...? Elle avec son frère? Son genial et adorable petit frère qui est naît graçe à elle? Bien sur qu'elle l'aime, mais pas dans le sens amour et tout le baratin qui va avec!

Ces poings se serrèrent tandis que sa colère était soudainement monté d'un bloc. Elle devait se calmer...Après tout, Ivan ne le faisait-il pas exprès? Tester combien de temps elle pourrait tenir sans vouloir lui arracher la tête pour la planter sur un piquet?

A la place, la prussienne s'approcha de lui et lui donne un coup sur l'épaule, tout en lui jetant un regard meurtrier. On.Ne.Raconte.Pas.De.Bêtise.Sur.Allemagne. Jamais. Tous le monde savaient très bien que la seule personne qui pouvait potentiellement être en couple avec son petit frère...était Italie.

- Cette rumeur c'est toi qui la créée hein? Je l'ai élever je te rappel...Contrairement à une certain Russie, je ne fais pas de l'inceste, il en va de mon honneur de chevalier !

Elle tapa du pied, agaçé et toujours aussi en pétard. Et le russe n'arreangea pas les choses en demandant une action à une Maria énervé. Elle cessa de taper du pied et avec un sourire mauvais, pointa le sol du doigt.

- Tu va faire vingt pompes en chantant l'hymne nationale de mon bruder. Puisque tu comprend l'allemand...Tu dois la connaitre, non?

Comment ça? Elle? Sadique? Ce n'était rien comparé au goulag russe. Rien du tout. Son regard c'était fait dure et elle ne souriait plus.

- Quand tu aura finis, ce sera action aussi.

Maria savait très bien qu'elle allait subir les foudres du russe, mais son ego était toujours là et inébranlable. Peu importe l'ordre reçu, l'awesome prusse s'exécuter, comme un chien.

C'était ça...elle était presque devenue un chien enfaite...

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Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Je fus quelque peu insulté lorsqu'elle m'accusa d'avoir propagé cette rumeur, ce n'était pas du tout le cas. Celui qui m'en avait dabors parler était France lors d'une réunion et pour être honnête je n'en avais pas crue un seul mot. Toutefois, je n'avais juste pas pu m'empêcher de le lui demander, juste au cas.

Mon instinct avait été le bon, elle n'avait rien fait et au fond de moi j'en fus soulagé.
Mon sourire permanent s'effaça laissant place à un inconfort total....les pompes d’accord...mais mon esprit hurlais de douleur à cause de l'hymne national.

Oui je la connaissais, je la connaissais très bien même, cette horrible chanson qu'avaient à de nombreuses reprises chantée les troupes allemandes sur mon territoire juste avant d'exécuter mes citoyens.

Je grognai de colère, je n'y arriverai pas....jamais je n'y arriverai.

Je levai le regard vers elle, lui montrant clairement l'envie de meurtre qu’elle avait causé en moi. Je me couchai donc au sol, près à commencer à faire les pompes demander et leva le regard vers elle.

«Je ne connais que l'ancien hymne...»

Je souris sadiquement et pouffa d'un rire cruel.

«Pardon si ça te remémore de mauvais souvenirs.»

Oui...j'osai...j'osai lui faire du mal pour me venger, j'étais trop en colère pour me sentir coupable de faire ça. Par contre, j'avais dit la vérité, je ne connaissais que l'ancien, alors même si elle me hurlait dessus pour que je chante l'actuelle ce serai impossible pour moi.

Je terminai donc ma conséquence, souriant comme ha mon habitude et me relevant. Elle m'avait dit conséquence alors je pouvais lui demander quelque chose d'aussi cruel que ce quelle m'avait fait, mais je décidai que non.

Je ne voulais pas que la dispute aille plus loin, je l'aimais et j'avais eu ma dose de frustration pour la journée, s’il y en avait plus j'aller taper la chose la plus proche....sois Maria.

Je soupirai doucement, prenant sur moi et lui pris doucement les mains, j'allais lui donner la conséquence que je souhaitais plus tôt. Tant qu'a l'avoir obligé à vivre ici avec moi, pourquoi pas ne pas aller plus loin...je n'étais pas du tout romantique alors sa allais être très sec, mais au moins elle comprendra que c'était sérieux pour moi.

«Comme conséquence je t'oblige à me marier....pas tout de suite....mais un jour....da?»

Je lui souris tendrement ne lâchant pas ses mains.

«Je choisis vérité.»

C'est une blague?

feat Un russe et une prussienne

Intérieurement...elle brulait..et le fait que le russe chante l'ancien hymne n'avait fait qu'augmenter cette colère qui grandissait en la prussienne. Toutefois, contrairement à Ivan, Maria est inoffensive, n'ayant pas de capacité pouvant geler un pays.

Malheureusement, plutot, heureusement, il ne fallut que d'une seule phrase pour faire disparaitre cette haine et cette colère par un énorme et grand sentiment de gêner. Son esprit et son cerveau ne répondait plu non plus...

Maria regarder sans vraiment voir, le temps d'enregistrer que sa conséquence serait d'épouser un russe psychopathe, cette même personne qui avait anéantie son armée un en claquement de doigt.

La jeune femme cligna des yeux et repris peu à peu ses repères, fixant son amant comme s'il était soudainement devenue un extra-terrestre. Il avait de ces idées lui par moment...De plus, l'ex-nation avait cette étrange sensation qu'Ivan essayer de lui remettre des...chaînes, sauf que cette fois ci, celles-ci, elle pourrait les briser très vite.

- On va faire un dernier tour...Jouer à ce genre de jeu est trop dangereux pour toi....Mein gott...Parfois je me demande ce que je fais avec toi..

Elle soupira, et regarda longuement le russe, cherchant une question assez simple, de tel sorte à ce que le russe ne lui en pose pas non plus une trop compliqué non plus. Plus jamais elle ne jouera à un jeu avec Ivan. Jamais.

- Quel est ta plus grande peur, Russland?

Toujours utile de savoir ça, elle pourra toujours essayer de faire peur au russe une fois, de préférence lorsqu'il est de bonne humeur et qu'il fait environs 20 degrés....Pourquoi la chaleur? Parce que le monsieur à l'écharpe nommé Ivan aime bien les temperatures chaudes, c'est evident !

- ça sera verité pour moi aussi....et après on arrête!

Mesure de sécurité aussi. De plus, elle reccomencer à avoir froid et s'ils rester encore un peu dehors, nul doute qu'elle va vraiment tomber malade. Peut-etre que c'était ça, le but de Ivan de puis le début.

- On peux descendre? J'ai froid, au cas ou tu ne l'aurai pas remarqué !

Congeleur

Ivan and Maria

полярный ветер

Ma demande avait eu l'effet d'une bombe, je l'avais totalement gelée sur place. La pauvre femme qui me servait de compagne ressemblait vraiment à une statue maintenant. Elle finit par ce reprendre, probablement pas trop sur et déclara que c'était le dernier round de notre jeu.

Je souris amusé, sachant que c’était entièrement ma faute, mais j'en étais plutôt fier.

Je la redemanderai probablement à nouveau en mariage plus tard pour m'assurer qu'elle respecte sa conséquence, mais je devrais mettre ma fierté de côté pour que ce soit au moins un peu romantique.

Ce mot m'était presque totalement inconnu, j'en connaissais bien évidement le sens, mais mon être n'était composé d'aucunes fibres amoureuses. J'avais découvert ce sentiment il y a peu de temps, alors me demander de faire quelque chose que je n'avais jamais fait c'était compliqué.

Je soupirai, me disant que si France avait été là, j'aurai pu lui demander quelques conseils, malheureusement, il n'y avait que moi et Maria.

Je levai les yeux vers elle sortant finalement de mes pensées et me rendant compte qu’elle m'avait posé sa question. Je papillonnai quelques secondes des yeux, réfléchissant à ma réponse, et fini par trembler juste à y penser.

«Ma plus grande peur est également ma seule crainte. J'ai une atroce frayeur lorsque ma sœur Belarus est présente à la maison, ou tout simplement quand elle est là.»

Je tremblai encore un instant avant de me ressaisir et la regarder calmement cherchant une question à lui poser pour terminer le jeu.

Je souris, ayant trouvé.

«Qu'est-ce, qui t'effraies le plus chez moi? Ne me dit pas rien, je sais quand une personne à peur, il y à certaine chose que l'on ne peut plus me cacher.»

Je voulais savoir, je pourrais peut-être m'améliorer en le sachant, je me rendais rarement compte quand j'étais méchant.

«On descendra quand tu auras répondu à la question Ufufu.»

Je la pris pourtant dans mes bras, pour la réchauffer un peu, le temps qu'elle réfléchisse et réponde à la question.

C'est une blague?

feat Un russe et une prussienne

Belarus était tout aussi effrayante que son frère. Une lame en main, elle n’hésiter pas à menacer les autres à devenir amis avec son frère…Sous peine de se faire poignarder. Certains on même plus peur de Belarus que de Russie, chose qui était compréhensible…Même Prussia éprouver une certaine répulsion à son égard.

D’ailleurs, Maria se demander si c’était vraiment la seule et unique peur du tyran russe. Un être enfantin comme lui devait en avoir une bonne dizaine, qu’elle verrais sans doute les jours ou le russe aura envie de les lui montrer involontairement.

Une nouvelle fois, l’ex-nation se retrouva dans les bras du tyran russe qui lui posa une question assez…délicate. Levant son regard vers lui, elle fit une magnifique grimace à son amant. Pas très parlant comme réponse.

- L’awesome moi n’ a peur de rien ! Kesesese !

S’esclama-t-elle plutôt confiante…avant de finalement soupiré. Est-ce qu’il voulait réellement la liste entière ? Si elle le faisait, il serait encore la demain matin. Et non, ce n’était pas une blague.

- Ce qui m’effraie le plus chez toi…C’est ta colère. Lorsque tu ne te contrôle plus…Tu n’est ni Ivan , ni Russie…Juste un monstre qui serait capable de torturer des enfants pour son plaisir personnel. Pour le moment ça va, mais je ne sais pas si tu te rappel… Mais parfois lorsque tu était très énervée, les Baltes et moi on fuyez temporairement la maison.

C’était la meilleure réponse qu’elle trouva. La prussienne se blottit un peu contre lui, en quête de chaleur contre la froideur qui reigner à ce moment là. Maria esperait juste que le russe ne réagisse pas trop violamment à cette réponse, de plus le terrain n’était pas propice à la fuite. Dommage..

- C’est bon ? On peu descendre, Russland ?

» Excusez-moi mon bon monsieur, mais cette gamine aux gros yeux est-elle la vôtre? [PV Tracyn]
» Par la victoire je brise mes chaînes !
» Que veut-tu de moi vent polaire...
» Cette unité a-t-elle une âme ? // Légion
» Est-ce un volatile présent sur le toit de cette habitation? [PV Ruby]

Cette douce Brise Polaire

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